Un séisme politique secoue les fondations de l’Union européenne, et son épicentre se trouve à Rome. Giorgia Meloni, la Première ministre italienne, cette femme autrefois vilipendée par les médias et les dirigeants européens comme “post-fasciste” ou “menace pour la démocratie”, non seulement tient bon, mais est en train de redéfinir les règles du jeu. Elle le fait avec une détermination qui panique Bruxelles et, ironiquement, laisse pantois même ses alliés naturels présumés, comme le Rassemblement National (RN) en France.

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Pendant que Paris se noyait dans ses titres de presse hystériques et ses prédictions apocalyptiques sur l’Italie sous Meloni, la “dame de Rome” a tranquillement suivi sa propre voie. Ignorant les insultes, elle a gagné l’attention du monde entier avec une boussole conservatrice clairement assumée. Depuis son entrée au Palazzo Chigi en 2022, Meloni a apporté une stabilité que l’Italie n’avait plus connue depuis des décennies. Rappelons que le pays a enchaîné 68 gouvernements depuis 1945, avec une espérance de vie moyenne d’à peine plus d’un an. Étonnamment, Meloni tient bon depuis 3 ans, et la fin n’est pas en vue.

Les scénarios catastrophes annoncés avec gourmandise par la presse française se sont évaporés comme de la vapeur. Ils alertaient sur une Italie sombrant dans la dictature, une Europe en éclats, une liberté disparaissant sous un drapeau noir néo-fasciste. Le journal Libération s’est empressé de lui coller l’étiquette de “populiste” et “nationaliste”. Le résultat ? Rien de tout cela.

Meloni gouverne avec calme, recentrée sur des valeurs terre-à-terre : la famille, la nation, la responsabilité. L’économie italienne redresse la tête. Le chômage baisse. Même l’immigration illégale, autrefois incontrôlable, reflue grâce à des accords fermes signés avec Tripoli et Tunis. Quand on lui demande ce qu’elle pense de la haine de la gauche, Meloni sourit et réplique : “C’est la preuve que je suis sur la bonne voie.”

Mais le succès national n’était que le prélude. Le véritable choc que Meloni réserve à l’Europe réside dans sa politique étrangère. Elle a perdu patience avec les sermons de Bruxelles. Elle déclare sans filtre que sur la scène géopolitique, l’Union européenne n’est qu’un “figurant de luxe”, tandis que la vraie scène appartient à Washington et Pékin.

Le premier discours de Giorgia Meloni? Techno-souverainiste! - l'Opinion

Et pendant que Bruxelles palabre, Meloni agit. Récemment, une rumeur (bien que démentie par Rome) a secoué les couloirs du pouvoir : Meloni préparerait un accord commercial en solo avec les États-Unis. Si cela se confirmait, ce serait un “missile” lancé directement contre l’intégrité du marché commun européen, un coup fatal porté à la technocratie de l’UE.

Meloni a aussi habilement rompu son isolement en positionnant Rome comme un allié fiable de Washington, notamment par son soutien ferme à Kiev contre Moscou. Cette manœuvre lui a valu une reconnaissance internationale, le magazine Time la classant parmi les figures européennes les plus influentes.

L’ascension déterminée de Meloni ne fait que souligner la paralysie et le déclin de l’autre côté des Alpes. La France d’Emmanuel Macron est dans une situation diamétralement opposée. Sous le “règne” de Macron, la dette publique a augmenté de plus de 300 milliards d’euros. Pendant qu’il “arrose” l’Ukraine de milliards, il “serre la vis” à domicile.

Le résultat est un désastre pour le peuple français. Les impôts explosent, avec plus de 127 milliards d’euros “siphonnés” via la TVA, l’impôt sur le revenu et autres taxes. En à peine trois ans, le ticket de caisse moyen est devenu un cauchemar, grimpant de 122%. Votre salaire fond comme un glaçon sous un sèche-cheveux.

L’insécurité ne prend pas de vacances non plus. Les tentatives d’homicide augmentent de 7%. Les agressions sexuelles grimpent aussi de 7%. Le trafic de drogue n’est pas en reste avec +6%. Comme si cela ne suffisait pas, la jeunesse se perd dans les écrans, les usines ferment les unes après les autres, et le système de retraite part en miettes.

La Première ministre italienne Giorgia Meloni en visite en Tunisie sur fond  de rapprochement

La source vidéo allègue que pour financer cette descente aux enfers, la solution est simple : continuer de vider les poches de ceux qui travaillent encore. Cette source va plus loin, suggérant que Macron et sa “clique” s’ “engraissent” grâce à des arrangements en coulisses avec des amis et à la liquidation méthodique de ce qui reste du patrimoine national.

Le contraste ne pourrait être plus saisissant. Pendant que Meloni agit pour protéger les intérêts nationaux, Macron est accusé de servir un autre agenda, un agenda dont le peuple paie le prix.

Le choc Meloni ne s’arrête pas à l’Italie. Elle n’est plus une voix isolée. Une alliance inattendue se dessine. Danemark, Pologne, Autriche, Belgique, Estonie, Lituanie, République Tchèque… tous se rassemblent autour d’une idée commune : ils veulent réécrire les règles. Ils veulent revoir la Convention européenne des droits de l’homme pour enfin reprendre le contrôle de leurs frontières.

Ce n’est pas une simple demande de réforme ; c’est une gifle monumentale pour les technocrates de Bruxelles, habitués à se comporter en chefs d’orchestre du continent. Pendant des décennies, Bruxelles a dicté, ordonné et imposé ses dogmes sur tout, de l’économie à l’immigration, sans jamais consulter ceux qui en subissent les conséquences. Aujourd’hui, l’Italie dit “Non”. Le droit de décider chez soi redevient non négociable.

Et la plus grande ironie dans tout cela ? Ce que le peuple français réclame depuis des années, c’est Rome qui est en train de le faire. Pendant que Meloni agit, la France contemple. Résultat : la confiance s’effondre comme un château de cartes. Seuls 34% des Français croient encore en l’UE, un chiffre similaire à leur confiance dans leur propre gouvernement.

Macron peut annoncer des virages à gauche, des virages à droite, mais il ne tourne jamais vraiment le volant. Et pendant que le chef parle, les chiffres s’effondrent : plus d’arrivées aux frontières, moins de croissance, et une population qui décroche moralement et politiquement.

Cette paralysie française, ce “bétonnage” administratif (pas de nouvelles autoroutes, des centaines de chantiers à l’abandon) est un terrain fertile pour la montée du Rassemblement National. Si le RN grimpe dans les sondages, ce n’est pas un hasard. C’est parce qu’il est le seul parti à oser “nommer” les problèmes que tout le monde voit mais que personne d’autre n’ose dire.

Le soi-disant “Front Républicain” – cette stratégie des élites pour barrer la route au RN à tout prix – est désormais considéré comme une “absurdité”, une stratégie qui, en réalité, n’a fait que renforcer le RN.

Meloni en Italie et le RN en France dessinent une nouvelle formule : pas de magie, juste la souveraineté, la sécurité et la clarté des priorités. Une formule simple, loin des expérimentations idéologiques à la sauce technocratique.

Un frisson parcourt l’Europe. De l’Espagne à la Pologne, en passant par la Hongrie, une idée émerge : et si l’avenir de l’Union était une “Europe des nations” et non une “Europe des technocrates” ? Les laboratoires d’idées tournent à plein régime, explorant les scénarios de sortie, les stratégies de repli.

Giorgia Meloni a prouvé qu’une coalition de centre-droit peut tenir et produire des résultats. La femme considérée comme une menace pour l’ordre européen avance désormais tranquillement, pendant que les journalistes et politiciens à Paris et Bruxelles restent bouche bée. Le séisme ne fait que commencer.