« C’est vraiment inquiétant » : les révélations de Carla de Coignac lors de l’avant-première de « Star Academy » font soudainement le buzz sur les réseaux sociaux

La jeune chanteuse de 27 ans, qui sort un livre et un EP, a eu l’heureuse surprise d’entendre deux de ses créations reprises samedi dernier dans la téléréalité musicale de TF1.

«Peur de l’amour (Another love), Carla de Coignac (Tom Odell)». Samedi 18 octobre, peu après 22h30 en direct sur TF1, le jeune Léo se produit pour la première fois sur la scène de « Star Academy » . En bas à droite de l’écran, les 3,5 millions de téléspectateurs ont vu apparaître le titre de la chanson reprise et le nom de son interprète. Une demi-heure plus tard, le nom de Carla de Coignac  est apparu une seconde fois en marge de la prestation de Mélissa sur une version française réécrite de What Was I Made For? de Billie Eilish intitulée Pourquoi m’a-t-on faite ?.

Qui est cette chanteuse dont deux titres ont eu l’honneur d’un prime time de « Star Academy » sur TF1 ? « C’est un truc de fou », a réagi à chaud Carla de Coignac sur ses réseaux sociaux en découvrant les séquences. Révélée en 2017 dans la saison 13 de « Nouvelle Star » sur M6, la native de la région parisienne nous raconte son parcours et nous parle de son actualité avec la sortie d’un livre intitulé Intime, de vous à moi (éditions du Rocher) et celle d’un EP, Confession.

LE FIGARO. – Regardiez-vous le prime du lancement de « Star Academy » samedi dernier ? 
Carla DE COIGNAC. – Oui, j’avais reçu des messages de personnes présentes durant les répétitions me disant de regarder attentivement l’émission. Mais je ne savais pas pourquoi. Quand j’ai entendu Léo reprendre Peur de l’amour puis Mélissa avec Pourquoi m’a-t-on faite ?, j’ai ressenti beaucoup d’émotions. Mon chéri était avec moi et m’a filmée à ce moment-là, ça restera gravé dans mon téléphone. C’était vraiment troublant.

Quels ont été vos ressentis ? 
Il y a ce paradoxe du fait que ce soient des chansons que j’ai réécrites, donc qui ne sont pas…

Le deuxième prime de la Star Academy a été marqué par une série d’événements dramatiques et surprenants qui ont secoué l’ensemble de l’émission. Si l’élimination de Mehdi a été un coup de théâtre pour les téléspectateurs, elle n’est que la partie émergée de l’iceberg. Au cœur de ce prime catastrophique se trouve une série d’erreurs, de fausses notes et, surtout, une erreur de jugement de la part du professeur de théâtre, dont les conséquences ont été désastreuses pour l’un des candidats les plus prometteurs de cette saison.

Le professeur de théâtre : une erreur irréparable

Le rôle du professeur de théâtre dans une émission comme Star Academy est crucial. Il ne s’agit pas seulement d’enseigner des techniques d’interprétation, mais aussi de donner de la confiance aux élèves, de les guider et de les préparer à briller sous les projecteurs. Malheureusement, cette mission a été gravement compromise lors du deuxième prime, où l’un des professeurs de théâtre a commis une erreur catastrophique.

Tout a commencé lorsque le professeur, dans un élan de pédagogie mal orientée, a proposé une performance particulièrement complexe pour ses élèves. Au lieu de stimuler la créativité et l’expressivité des participants, il les a poussés dans une direction trop ambitieuse, sans tenir compte de leurs capacités réelles. Une telle erreur, bien que partiellement due à une volonté d’excellence, a mis en lumière les failles du système. Il est évident que certains candidats, comme Mehdi, n’étaient pas prêts à endosser un tel défi. L’exécution de la prestation a donc été chaotique, et cela n’a pas manqué de se refléter sur la note attribuée aux élèves, alimentant ainsi un climat de tension.

Les téléspectateurs, les jurys et les autres professeurs ont immédiatement remarqué que l’erreur venait du manque de préparation et du choix contestable de la scène. Mais qu’en est-il du professeur de théâtre, censé apporter des conseils constructifs et offrir des solutions face aux difficultés des élèves ? La question reste posée : était-il vraiment préparé à accompagner les candidats dans un contexte aussi exigeant ? L’échec de Mehdi, ainsi que d’autres candidats, semble en grande partie être lié à ce manque de prise en charge adéquate.

Les fausses notes et les conséquences dramatiques

Alors que l’échec de la prestation théâtrale semblait déjà suffisant pour créer un environnement tendu, une autre erreur est venue aggraver la situation : des fausses notes, notamment sur les performances vocales des candidats. Ces fausses notes ont été particulièrement visibles lors de la compétition musicale, un autre pilier du prime. Mehdi, connu pour sa voix puissante et sa technique vocale impeccable, a été particulièrement affecté par cette situation.

Certains observateurs ont suggéré que les fausses notes étaient en grande partie dues à l’énervement accumulé par la prestation précédente. Après avoir été mal guidé dans sa performance théâtrale, Mehdi n’a pas réussi à trouver la concentration nécessaire pour livrer une performance vocale digne de ce nom. Ce cercle vicieux, alimenté par une préparation insuffisante et un stress croissant, a conduit à l’élimination du jeune homme. Mais au-delà de la performance de Mehdi, c’est le jugement global qui a posé problème. Les fausses notes, bien que pouvant être attribuées à un stress excessif, n’auraient-elles pas pu être évitées si la gestion du stress et des attentes avait été mieux encadrée par les professeurs ?

L’élimination de Mehdi : une décision controversée

L’élimination de Mehdi a été vécue comme un véritable choc pour le public et les autres candidats. Dès les premières secondes de l’annonce de son départ, les commentaires ont fusé. Comment un tel talent, à la fois théâtralement et vocalement doué, a-t-il pu être éliminé aussi tôt ? Les critiques ont rapidement tourné leur attention vers le rôle des professeurs, et notamment du professeur de théâtre, dont l’erreur a été mise en lumière.

Il est évident que la tension créée par l’erreur du professeur a joué un rôle majeur dans la chute de Mehdi. Non seulement il a souffert d’une préparation inadaptée pour le numéro théâtral, mais il a également été confronté à un environnement où ses points forts n’ont pas été suffisamment soutenus. Les fausses notes, la prestation chaotique et la pression qui en a découlé ont eu raison de lui. Mais est-ce vraiment juste de tout imputer à Mehdi ? Ou la responsabilité incombe-t-elle en partie à ceux qui l’ont préparé de manière inadéquate ?

La question que beaucoup se posent aujourd’hui est de savoir si le système Star Academy est réellement équitable et si les candidats ont toutes les chances de réussir lorsqu’ils sont mal guidés. Si la préparation théâtrale d’un candidat, pourtant un élément clé de son développement artistique, est négligée, quel genre de message l’émission envoie-t-elle à ses participants ?

Les téléspectateurs et les critiques : un tollé général

Les téléspectateurs, qui suivent chaque prime avec passion, ont été nombreux à exprimer leur mécontentement. Les réseaux sociaux ont été inondés de messages de soutien à Mehdi, mais aussi de critiques acerbes adressées au professeur de théâtre. Beaucoup estiment que Mehdi n’a pas été donné les meilleures conditions pour briller et que son élimination n’est qu’une conséquence directe d’une erreur de préparation fondamentale.

Certains fans ont même suggéré que l’émission, dans sa quête de buzz et de drame, avait volontairement joué avec les émotions des candidats, les poussant à l’extrême dans le but de maximiser l’impact télévisuel. Mehdi aurait-il été sacrifié sur l’autel du spectacle ?

Conclusion : une leçon à tirer

Le deuxième prime de Star Academy aura été un tournant dramatique, non seulement pour les candidats, mais aussi pour l’émission elle-même. L’erreur fatale du professeur de théâtre, les fausses notes et l’élimination de Mehdi révèlent des failles profondes dans la gestion des candidats. Si les producteurs et les professeurs ne tirent pas les bonnes leçons de cet épisode, les drames risquent de se multiplier et de ternir la réputation de cette compétition mythique. Le public attend désormais des réponses : qui est réellement responsable de ce fiasco ? Et, surtout, comment éviter que de tels malentendus ne se reproduisent dans les semaines à venir ?