JD Vance : « La France commet un suicide civilisationnel » – L’humiliation publique et calculée qui sonne le glas de l’ère Macron.

L’air était épais à Washington en ce début novembre 2025. L’ambassade française jubilait, la presse macroniste exultait : Gabriel Attal, le secrétaire général français, atterrissait pour un sommet bilatéral crucial, censé « renforcer l’axe » entre Paris et la nouvelle administration américaine. Pourtant, ce qui devait être une démonstration de force et d’influence s’est transformé en un spectacle politique d’une cruauté rare, orchestré de main de maître par le vice-président américain, JD Vance.
Ce jour-là, devant les caméras du monde, la diplomatie française n’a pas seulement été bousculée, elle a été démolie. Attal n’a eu droit ni à une poignée de main, ni à une rencontre, mais à une humiliation pure et simple qui résonne comme le règlement de comptes le plus salé de l’histoire récente des relations transatlantiques. Le message, lancé par Vance avec une précision chirurgicale, était brutal : les temps où Paris agitait le doigt moralisateur sont révolus. L’ère de l’impérialisme moral macroniste vient de se heurter de plein fouet à la realpolitik de l’Amérique de Donald Trump et de JD Vance.
La facture des injures : Attal, le « loser » et le « clown »
Pour comprendre l’intensité de cette vengeance, il faut remonter le fil des années, jusqu’aux flèches empoisonnées lancées par Gabriel Attal contre Donald Trump et son mouvement. L’humiliation subie à Washington n’est pas un hasard ; c’est une conséquence directe, une facture présentée en mondovision pour une série d’insultes qui ont profondément marqué la mémoire des républicains américains.
Attal, autoproclamé apôtre de la morale de Renaissance, n’a jamais mâché ses mots. En novembre 2020, lorsque Trump perd l’élection, le secrétaire général français jubile publiquement, le qualifiant de « loser ». Le ton n’a fait que s’envenimer au fil des ans. En 2017, après des critiques de Trump envers l’Allemagne, Attal s’interrogeait ironiquement sur la « position ferme » de Macron après que Trump eut « insulté la France », plaçant implicitement Trump dans le rôle de l’insulteur et Macron dans celui du faible. En avril 2017, l’image de l’Amérique sous Trump n’était plus, selon lui, synonyme de « stabilité et fiabilité », le décrivant comme un « clown imprévisible ». Même en 2024, après la victoire de Trump, Attal le qualifiait encore de « risque sécuritaire pour l’Europe ».
Pendant des années, Attal a brandi Trump comme un épouvantail, un « danger », un « diviseur autoritaire » dans tous les talk-shows. Mais la nouvelle administration a une mémoire d’éléphant. Les tweets, les piques, les déclarations désobligeantes sont des balles qui reviennent aujourd’hui en boomerang. Attal n’a pas seulement insulté Trump, il a moqué tout le camp MAGA et, par extension, l’idée même de souveraineté et de nationalisme défendue par le Rassemblement National en France, que Vance soutient ouvertement. L’arrivée de Trump à la Maison Blanche en 2025 signifiait qu’un règlement de comptes était inévitable. Attal, avec son « impérialisme moral » et ses tentatives de « bashing du RN », se croyait intouchable. C’était le début de la fin.
La stratégie de l’isolement : le coup de poignard de Munich et Paris
L’escalade a pris une tournure dramatique bien avant l’arrivée d’Attal à Washington. Elle a commencé en février 2025, à Munich, où JD Vance, fraîchement investi vice-président, prononçait un discours qui secouait l’Europe. Il y critiquait vivement les « fronts républicains » contre les populistes de droite et louait indirectement les partis qui défendent la souveraineté. Pour Vance, les gouvernements européens, et non la Russie ou la Chine, étaient devenus le principal danger.
Le signal le plus clair à l’intention de Paris est cependant arrivé quelques semaines plus tard. Alors qu’Attal planifiait son sommet bilatéral à Washington pour discuter de l’aide à l’Ukraine et des douanes, l’impensable se produisit. À peine quelques heures avant le rendez-vous, l’annulation tombe. La note de Vance est cinglante : « Pas de temps pour les critiques de la liberté ».
Le camouflet ne s’arrête pas là. Au lieu de rencontrer le représentant de la Macronie, Vance s’envole directement pour Paris afin de dîner avec Marine Le Pen. C’est une provocation absolue, un acte d’ingérence électorale assumée. Un insider de l’équipe Trump confiait alors à un journal que les insultes passées d’Attal l’avaient rendu Persona non grata. « Nous parlons seulement avec des partenaires respectueux. »
Le plan de Vance était limpide : mettre l’Europe au pas. La priorité est donnée aux alliances fortes de droite, et le Rassemblement National en fait partie. Trump lui-même a confirmé la ligne dure en réunion, déclarant ne pas vouloir rencontrer « d’hypocrites qui nous ont insulté pendant quatre ans. » Pour le gouvernement Macron, c’est un coup de poignard au visage. Sans fil direct avec Vance, l’aide à l’Ukraine est menacée, et des retards diplomatiques majeurs s’accumulent. Le sommet de l’UE qui suit révèle l’isolement total d’Attal. Le concept d’« America First » est devenu une alliance réservée aux seuls coopératifs. Les mots ont eu un prix, et le gouvernement français était sur le point de le payer au centuple.
Le coup de marteau pilon : « Suicide civilisationnel »
La scène finale se déroule à Washington. Attal, abandonné, donne une conférence de presse en solo. Devant les caméras qui tournent à vide, il s’accroche à ses phrases creuses : « valeurs communes », « justice climatique », « durabilité sociale ». Des mots qui allument les débats à Paris, mais qui, à Washington, ne provoquent qu’un sourire moqueur.
C’est alors que Vance monte au pupitre, micro en main. Après une courte pause dramatique, il pose la question fatidique : « Qu’est-ce qui ne va pas avec ce pays ? » (faisant référence à la France). Puis, la sentence tombe, telle un coup de marteau pilon, une phrase qui restera gravée dans les annales de la diplomatie :
« La France commet un suicide civilisationnel. »
Ces mots, lâchés par le vice-président américain, frappent Attal de plein fouet. Ce n’est pas de la diplomatie, c’est une exécution politique. Vance continue, implacable. Il place la France en première ligne de l’Europe, qu’il accuse de sombrer dans l’« entêtement idéologique » – désignant l’« hystérie CO2 » et la « panique RN ». Il oppose cette vision française, qui « prêche le renoncement » et « exporte de la morale au lieu d’auto, des interdictions au lieu d’innovation, de la censure au lieu de liberté », à la nouvelle Amérique qui crée des emplois, rapatrie son industrie et baisse les impôts.
Attal est traité de « secrétaire général moral sans plan » par la presse américaine. L’Europe ricane, notamment en Hongrie, en Italie et aux Pays-Bas, où l’on mise sur les intérêts nationaux. Le représentant français incarne la « relique de l’ère Macron », déconnectée de la réalité. Vance n’a pas seulement démasqué Attal, il a exposé tout le système.
Le miroir de la déconnexion : la France saignée à blanc
L’humiliation internationale n’est que le reflet d’une crise bien plus profonde qui ronge la France. Pendant qu’Attal et la Macronie se posaient en juges de la démocratie américaine et en apôtres de la morale climatique, ils ignoraient superbement le naufrage silencieux de leur propre pays.
La France est au bord de l’asphyxie financière et sociale. En l’espace de sept ans, le gouvernement Macron a ajouté plus de 300 milliards d’euros à la dette publique. Qui paiera les intérêts ? Certainement pas les architectes de cette gabegie, trop occupés à financer des causes lointaines comme l’aide à l’Ukraine, tout en étraglant les contribuables français. Les impôts explosent, avec plus de 127 milliards d’euros ponctionnés via la TVA, l’impôt sur le revenu et les taxes. Les fiches de paie fondent comme neige au soleil, tandis que le pouvoir d’achat s’effondre (le panier moyen de produits de première nécessité a augmenté de 7 % en trois ans).

Pendant que la France se vide de sa substance économique et industrielle, les usines ferment les unes après les autres. La classe moyenne est étranglée. Mais le pire est l’explosion de l’insécurité, avec des hausses vertigineuses des tentatives d’homicide (+7 %), des violences sexuelles (+7 %) et du trafic de drogue (+6 %) en seulement un an.
Attal, qui venait prêcher la « durabilité sociale » à Washington, représente cette élite parisienne déconnectée, qui impose une idéologie coûteuse tout en fermant les yeux sur l’enfer qu’elle contribue à créer dans son propre pays. La seule solution qu’il pouvait offrir à Washington était un jargon idéologique qui masquait une économie qui rétrécit, une industrie qui fuit et une classe moyenne étranglée.
Le gouvernement Macron, accusé par le vice-président américain de « suicide civilisationnel », est désormais confronté à un choix brutal. Continuer à exporter une morale que personne ne respecte, ou revenir à la réalité, à la souveraineté nationale et à la responsabilité devant le peuple. L’image de la politique française en 2025 est celle d’Attal, déphasé, isolé et humilié, qui symbolise la défaite de l’arrogance face à la realpolitik. L’écho mondial donné à la vision du Rassemblement National par JD Vance est la preuve que la France doit urgemment se repenser, loin des dogmes et vers les faits, sous peine de s’effondrer définitivement.
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