Dans une interview fleuve pour Gala, David Pujadas s’est confié en toute transparence sur sa vie privée. Le journaliste a notamment évoqué sa petite taille, qui l’a un temps complexé.

David PujadasPour sa série d’été, Gala a consacré un portrait à David Pujadas. Le journaliste s’est confié sur les moments qui ont marqué sa vie, à commencer par son adolescence. En évoquant sa jeunesse, il s’est notamment exprimé sur sa taille (1m65) et son impact sur la confiance en soi. “C’est quelque chose qu’il a fallu surmonter”, avoue David Pujadas. “Quand on arrive à l’adolescence, qu’on a un an d’avance et qu’on fait 1m65, certaines filles sont bien plus grandes que vous”. 

“Se blinder” : David Pujadas complexé, il évoque son adolescence

Qu’à cela ne tienne, le journaliste a su tirer son épingle du jeu. “Pour séduire, je faisais le malin, je misais sur l’humour et la vivacité. Et heureusement, ça a marché”, explique David Pujadas. La clé pour accepter sa différence ? “Avoir confiance en soi”, assure l’ancienne star du 20h. Un sentiment qu’il a réussi à obtenir grâce aux “relations amoureuses” et qui lui a permis de “se blinder”. 

Si David Pujadas a surmonté son complexe, il avoue avoir été grandement marqué par cette période de sa vie. “Je ne dirais pas qu’il ne me reste pas des fêlures. Celui qui le nie, il ment”, déclare le journaliste. “Cette petite sensation, on la ressent toujours quelque part. On l’a apprivoisée, elle ne vous empêche pas de dormir, vous n’y pensez même plus mais ça ne quitte jamais votre identité, d’une certaine manière”.

“Difficile d’entretenir…” : David Pujadas cash sur sa vie amoureuse

Au cours de l’interview, David Pujadas s’est également confié sur sa vie amoureuse, lui qui a divorcé de la mère de ses premiers enfants puis qui s’est séparé de celle de ses deux derniers. “J’ai été chanceux, parce que j’ai aimé beaucoup et j’ai été beaucoup aimé”, confie le journaliste avant de préciser qu’il était “célibataire” aujourd’hui.

Sur l’art de faire durer la flamme, David Pujadas se montre sans fard. “L’expérience me conduit à dire qu’il est difficile d’entretenir le feu. C’est sans doute l’un de mes échecs : ne pas avoir su faire durer l’amour et le transformer”, reconnaît le journaliste. “J’ai trop souvent été un enfant gâté qui cherchait toujours la passion folle des premiers instants”.