Héritage, Dette, Retraite : Le Plan Choc pour Vider les Bas de Laine et Tuer la Propriété en France

Article: Héritage, Dette, Retraite : Le Plan Choc pour Vider les Bas de Laine et Tuer la Propriété en France
Dans le paysage économique français, la voix d’Olivier Delamarche résonne souvent comme un coup de semonce, et ses dernières révélations ne font pas exception. Face à une dette abyssale et à des caisses vides, l’économiste met en lumière un plan d’action politique qu’il qualifie d’idéologique et de profondément destructeur pour la nation : l’obsession de taxer toujours plus pour financer une dépense publique incontrôlée. Ce n’est pas seulement une question d’impôts supplémentaires, mais une attaque frontale contre la propriété privée, l’épargne des ménages et, au final, contre la souveraineté économique et le contrat social français. Pour Delamarche, la solution n’est jamais de régler le problème à la racine — c’est-à-dire dépenser moins — mais d’aller « piquer l’argent des gens qui ont réussi et qui ont fait du fric » pour le donner à d’autres, une idéologie qu’il qualifie de « gauchisante » et d’inopérante.
La Fixation Mortelle sur la Taxe : Quand le Gouvernement Refuse de Dépenser Moins
Le cœur du problème français, selon l’économiste, réside dans la rigidité de la pensée politique. Dès qu’un trou budgétaire apparaît, le réflexe pavlovien est d’inventer une nouvelle taxe ou d’augmenter un impôt existant, au lieu de se poser la question inverse : comment peut-on enfin dépenser moins ? Cette approche mène à une stigmatisation permanente des travailleurs et des entrepreneurs. L’idée de base est de prendre l’argent « chez des gens qui ont bossé pour l’avoir » pour subvenir aux besoins de l’État, un principe qu’il dénonce avec force.
Cette idéologie est particulièrement visible dans les discussions sur l’impôt sur la « fortune improductive ». Derrière ce jargon technique se cache la volonté de cibler l’épargne accumulée, souvent déjà lourdement imposée. Le message est clair : en France, le succès et l’accumulation de capital sont punis, alors que l’emprunt et la dépense sont encouragés. C’est un système qui marche à l’envers, qui n’a jamais fonctionné historiquement et qui, au lieu de ruisseler vers le bas par une gestion saine, ne fait qu’assécher les sources de l’investissement et de la confiance.
L’Héritage en Ligne de Mire : Vers la Confiscation du Patrimoine Familial
La cible la plus choquante de cette soif fiscale est sans doute l’héritage. Les droits de succession sont de l’argent qui a déjà « subi l’impôt main et main de fois », un capital qui a été constitué par le travail et l’impôt sur le revenu. Pourtant, la France applique déjà l’une des fiscalités successorales les plus lourdes d’Europe, atteignant 46 % en ligne directe. Ce chiffre est vertigineux comparé à l’Italie (4 % maximum), au Portugal (bien moins), ou même à la Suisse, où l’impôt sur les successions n’existe tout simplement pas.
Mais la surenchère ne s’arrête pas là. Delamarche met en garde contre la tactique politique du « Bon Tau », qui consiste à annoncer une mesure extrême pour mieux faire accepter un recul jugé “raisonnable”. L’idée choc d’une taxe de 100 % sur les héritages, avancée par certains cercles, est brandie pour habituer l’opinion à une ponction de 80 %, que les citoyens finiront par accepter avec soulagement. Si une taxe à 100 % devenait réalité, l’économiste est formel : cela signifierait la fin du droit de propriété en France. « Tout appartient à l’État », résume-t-il, l’individu n’étant qu’un locataire temporaire de quelques miettes. Il prédit avec pessimisme que cette taxation, même si elle n’est pas de 100 % tout de suite, continuera de progresser pour arriver à des niveaux confiscatoires d’ici « deux, trois, quatre ans ».
Assurance Vie, la Prochaine Cible : Le Vol de l’Épargne des Français
Au-delà des successions classiques, l’œil du fisc se tourne déjà vers le produit d’épargne préféré des Français : l’Assurance Vie. Bien que ce placement bénéficie d’une taxation allégée sur les revenus, il est la cible de critiques, notamment en raison de son abattement de 152 500 euros, qui permet de retirer l’Assurance Vie de la succession générale. Pour les partisans de l’impôt à tout prix, cet abattement est jugé « inadmissible », car il représente une source d’argent à récupérer.
La France est un pays d’écureuils, remarque ironiquement Delamarche, rappelant que les Français n’ont jamais autant épargné. Cette réserve financière est perçue non pas comme une sécurité pour les familles, mais comme un butin potentiel pour l’État. L’épargne serait donc volée pour financer, entre autres, « l’industrie de la guerre », une justification cynique qui vise à légitimer la spoliation de l’économie populaire.
La Dette : Point de Non-Retour et Croissance Illusoire
Si l’État cherche désespérément de nouvelles recettes, c’est parce que la France a dépassé son « point de non retour » en matière de dette. L’économiste alerte sur une mécanique funeste : pour produire seulement 1 euro de Produit Intérieur Brut (PIB), il faut aujourd’hui injecter entre 4 et 6 euros de dette. Cette proportion démontre un « effet massue » : la dette croît exponentiellement plus vite que la croissance elle-même.

Ce mécanisme pervers a remplacé le véritable moteur économique. La dette est devenue l’énergie de substitution, une source illusoire de croissance qui, tôt ou tard, doit être remboursée. Et là réside le danger suprême. Si d’aucuns suggèrent d’effacer la dette comme par magie, Delamarche rappelle que cette dette est omniprésente dans la finance populaire : elle est dans l’Assurance Vie, elle est dans tous les produits bancaires des ménages. L’effacer, ce serait nous « retrouver tous avec zéro sur le compte en banque ». Ce n’est pas un scénario économique ; c’est une apocalypse financière.
L’Euro Numérique : L’Outil Ultime de la Censure Économique
L’attaque contre l’épargne prend une dimension encore plus inquiétante avec la promotion de l’Euro Numérique par des figures comme Christine Lagarde. Même si ses promoteurs nient toute intention de contrôle, Delamarche y voit l’outil de la monnaie programmable, une monnaie à laquelle on pourrait coller une « date de péremption ».
Citant un exemple d’essai en Chine, il explique que l’on pourrait imposer aux citoyens de dépenser leur argent dans un délai de six mois. Une telle mesure abolirait mécaniquement la possibilité d’épargner. Or, l’épargne est la base de tout investissement à long terme (immobilier, voiture). Si vous ne pouvez plus épargner, vous ne pouvez plus rien acheter de conséquent. Il s’agit d’une régulation totale de la consommation, un moyen de garantir que les citoyens dépendent entièrement du flux monétaire de l’État pour leur survie, annihilant toute liberté économique.
Le Désastre des Retraites : L’Équation Impossible et la Solution Bloquée
Ce chaos financier est amplifié par l’incurie du système des retraites. Malgré les réformes successives, le problème revient tous les deux ans. Delamarche rappelle que l’équation ne peut pas être équilibrée, car le système par répartition a été conçu à une époque où la France connaissait 6 à 7 % de croissance, un taux de natalité très élevé et surtout quatre actifs pour un dépendant. Ces conditions n’existent plus.
Aujourd’hui, le gouvernement joue au « Bon Tau » : repousser l’âge de la retraite, diminuer les pensions, augmenter les cotisations. Mais ces « patchs sur des jambes de bois » ne font que retarder la catastrophe. L’économiste prédit que l’on finira à « 75 ans avec zéro pension et beaucoup de cotisations ». Il existe pourtant des solutions qui fonctionnent, comme le modèle suisse qui combine répartition (premier pilier) et capitalisation (deuxième pilier abondé par les entreprises). Mais l’idée est bloquée en France. Pourquoi ? « Parce qu’on ne veut pas », répond Delamarche, par manque de courage politique et par peur de léser certaines catégories de citoyens, ce qui est ironique puisque le système actuel ne fait que léser tout le monde.
Le refus de changer de système est une soumission à la facilité du court terme, qui condamne la France à une dépendance chronique à la dette et à une destruction progressive de son tissu économique et social. La dette, l’impôt et la soumission à des intérêts supranationaux (notamment l’Allemagne et les « pastèques vertes » de l’Union Européenne, qui ont lutté pour saborder l’avantage compétitif du nucléaire français) sont les piliers de cette décadence. La France se dirige vers l’impasse, où le travail et l’épargne ne sont plus récompensés, mais spoliés, et où l’État ne gouverne plus, mais gère la survie d’un système à bout de souffle en s’attaquant, sans pitié, aux bas de laine de ses propres citoyens.
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