Slimane | The French contestant for Eurovision 2024 reveals his exclusive playlist for What the France

“Mon amour”, ses larmes et l’écho de la scène : La vérité bouleversante derrière Slimane à l’Eurovision

Il chante l’amour, mais derrière la voix, un silence. Un silence chargé d’angoisse, de solitude et d’une promesse brisée. Slimane, représentant de la France à l’Eurovision 2024, ne livre pas seulement une chanson. Il livre un cri. Un appel au secours camouflé sous les paillettes. Voici ce que cache réellement “Mon amour”.

Une chanson. Une scène. Une douleur.

Le 11 mai 2024, dans l’arène de Malmö, Slimane s’avance. La lumière se concentre sur lui. Le monde regarde. Il chante Mon amour. Une ballade intense, poignante, d’une simplicité désarmante. À cet instant précis, quelque chose se passe : un frisson collectif.

Mais seuls quelques initiés savent que derrière chaque mot, chaque note, se cache bien plus qu’une chanson d’amour. C’est une confession.

L’envers du décor : un artiste au bord du vertige

Depuis ses débuts fulgurants dans The Voice en 2016, Slimane n’a jamais quitté les projecteurs. Disques de platine, Victoires de la musique, tournées à guichets fermés… Une ascension fulgurante. Trop fulgurante ?

Selon une source proche de l’artiste, Slimane aurait vécu une période de vide abyssal entre 2021 et 2023. Le succès de “VersuS” avec Vitaa cachait en réalité une période de remise en question profonde.

“Il chantait l’amour chaque soir, mais il se sentait seul dès qu’il quittait la scène”, confie un membre de son équipe.
“L’album Chroniques d’un cupidon, c’est un appel. Un dernier espoir.”

Un choix personnel, un poids national

Quand France Télévisions annonce Slimane comme représentant à l’Eurovision, le public applaudit. Mais dans l’ombre, Slimane hésite. Son titre ? Mon amour. Mais à qui est-il adressé ?

“Il ne l’a jamais vraiment dit. Certains pensent que c’est pour un amour perdu. D’autres, pour sa fille. Mais moi, je pense qu’il parle à lui-même.”
Une amie d’enfance du chanteur

“Mon amour” : une ballade écrite dans les larmes

Coécrite avec Meïr Salah et Yaacov Salah, Mon amour n’est pas un tube formaté. C’est une lettre. Une confession crue.

“Je t’aime à m’en brûler la voix.”
“Reviens-moi, ou je me perds.”

Ces paroles, Slimane les a murmurées avant de les enregistrer. La version finale aurait été gravée… après une nuit blanche, seul dans un studio parisien, à 4h du matin.

Léa Salamé : un moment de vérité en coulisse

Quelques jours avant son départ pour Malmö, Slimane était l’invité surprise d’un enregistrement de Quelle Époque !. Lors d’une pause, hors caméra, Léa Salamé l’aurait interrogé discrètement :

“Tu vas bien, Slimane ? Vraiment bien ?”

L’artiste aurait simplement répondu, dans un souffle :

“Je vais là où ma voix m’emmène. Mais j’espère qu’elle me ramènera un jour.”

Un message universel : l’amour comme dernier refuge

Dans une interview accordée à What the France, Slimane a confié que sa playlist était un hommage à “ceux qui ont écrit ce que je n’arrivais pas à dire.” Brel. Cabrel. Amel Bent. Lara Fabian. Des voix de l’intime, du tragique, de la résilience.

“J’ai voulu créer une playlist qui dit aux gens : vous n’êtes pas seuls.”

Mais cette démarche cache aussi une peur : celle d’être oublié. Ou pire : de ne plus ressentir. Comme si Mon amour était une bouteille à la mer.

Et après Malmö ?

Slimane n’a pas gagné l’Eurovision. Il n’en avait pas besoin. Il a conquis autre chose : les cœurs. Mais selon plusieurs proches, l’artiste pourrait s’éloigner de la scène pendant un long moment.

“Il a besoin de silence. De retrouver l’essentiel”, glisse un proche producteur.

Conclusion : Et si Slimane chantait l’amour parce qu’il ne sait plus où le trouver ?

Dans une ère saturée de tubes jetables, Mon amour est une anomalie. Une chanson qui ne ment pas. Une chanson qui tremble. Slimane n’a pas chanté pour la gloire. Il a chanté pour exister. Pour survivre.

Et quelque part, dans les yeux d’un spectateur, dans les larmes de Léa Salamé, ou dans le silence d’une nuit suédoise, sa voix a trouvé un écho.