SCANDALE À L’ASSEMBLÉE : UN DÉPUTÉ FURIeux DÉNONCE L’INCOMPÉTENCE ÉCONOMIQUE DEVANT 99% DES FRANÇAIS

Article: SCANDALE À L’ASSEMBLÉE : UN DÉPUTÉ FURIeux DÉNONCE L’INCOMPÉTENCE ÉCONOMIQUE DEVANT 99% DES FRANÇAIS
L’Assemblée nationale est le théâtre de débats cruciaux, mais rares sont les moments où la tension atteint un tel point de rupture, où les mots claquent avec une fureur qui semble provenir directement de l’opinion publique. Au cœur de cette tempête récente se trouvait le débat sur l’instauration d’une nouvelle taxe sur les holdings, une mesure visant à combler certaines failles fiscales permettant à des “petits malins” d’échapper à l’impôt. Ce qui aurait pu n’être qu’un échange technique s’est transformé en une véritable foire d’empoigne, culminant avec deux interventions successives, l’une crépitante de colère et l’autre implacable de logique, qui ont mis en lumière le fossé béant séparant la classe politique de la réalité économique du pays.
Un moment de stupéfaction a saisi l’hémicycle lorsque, visiblement à bout, un député s’est levé pour délivrer une remontrance cinglante, une diatribe qui résonnait comme l’expression de la frustration de milliers de chefs d’entreprise et de citoyens. Le message était clair, brutal, et adressé à l’ensemble de l’échiquier politique.
La Colère des Entrepreneurs Contre la Classe Politique
L’intervention a commencé par une mise en cause retentissante de la légitimité de l’Assemblée à légiférer sur l’économie. “Je vais vous le dire tel que je le pense, ici 95 % des femmes et des hommes de cet hémicycle n’ont jamais créé la moindre entreprise,” a-t-il lancé, dénonçant la facilité avec laquelle les parlementaires “se permettent de donner des leçons d’économie matin, midi et soir à toute l’économie française.”
Cette déclaration, qui a certainement fait mouche au-delà des bancs de l’Assemblée, soulève une question fondamentale : quelle est la légitimité des décideurs publics à imposer de nouvelles charges et des réglementations complexes à un secteur dont ils ignorent les rouages quotidiens ? Le député a immédiatement enchaîné sur les conséquences désastreuses, selon lui, d’une telle ignorance.
Il a averti que les décisions prises, notamment en matière de fiscalité, envoyaient des “messages néfastes” et mèneraient inéluctablement à un “retour de flamme” dévastateur pour l’économie des territoires. Le cœur de son argumentation réside dans la distinction entre les créateurs et les destructeurs d’emplois. “Ce ne sont pas les députés qui créent des emplois dans notre pays, ce sont les chefs d’entreprise. En revanche, les députés par leur décision peuvent tout simplement casser des emplois dans nos territoires.” C’est une inversion accusatoire choc : ceux qui sont censés servir l’intérêt général sont pointés du doigt comme étant potentiellement les fossoyeurs de l’emploi national.
Pour le député, le budget en discussion est déjà criblé de “folie fiscale,” une accumulation de taxes qui a déjà tout ciblé. Il a employé une métaphore puissante pour illustrer l’inefficacité et la dangerosité de cette politique : “Vous allez pas attraper des poissons ou des baleines. Vous allez juste vider la mer.” Sous-entendu : au lieu de cibler les quelques ultra-riches par des mesures complexes, le gouvernement ne fera que décourager l’initiative et appauvrir l’ensemble du tissu économique.
La conséquence de cette frénésie fiscale est claire : “Il n’y aura pas plus d’impôts, il y aura moins d’emploi, il y aura moins de salaire, il y aura moins de création d’entreprise.” Pour ce camp, le seul chemin viable pour la nation est de “baisser la dépense,” une affirmation qui scelle la ligne de fracture idéologique au sein de l’hémicycle.
Quand le Consentement à l’Impôt se Fissure
Face à cette diatribe enflammée, la riposte des défenseurs de la nouvelle taxe est venue, non moins percutante, mais avec une approche plus méthodique, centrée sur le principe de la justice fiscale. Le débat, ici, a viré de l’efficacité économique à l’équité sociale, révélant la “nasse des contradictions” dans laquelle se trouve une partie de l’opposition.
Le député en faveur de la taxe a mis en évidence l’hypocrisie de ceux qui, tout en ayant “que le mot fermeté à la bouche,” se montrent “incapables aujourd’hui d’instituer une petite taxe 2 %… sur leur fortune professionnelle.” Le chiffre est martelé : 2 %, pas 70 %, juste 2 %. Pour lui, le refus de cette contribution minimale est un signal désastreux.
L’enjeu, selon le promoteur de la taxe, est le “consentement à l’impôt,” un pilier fondamental de la cohésion sociale française qui est en train de “craquer.” L’équation est simple et alarmante : “en haut les plus riches ne veulent veulent pas consentir à l’impôt et en bas les plus pauvres ne peuvent plus consentir à l’impôt.” C’est la reconnaissance d’une double peine : l’évasion ou l’optimisation légale par les uns, et l’écrasement fiscal et social par les autres.

La cible de cette mesure est précisément le mécanisme de contournement de l’impôt sur le revenu. Il a expliqué que pour les 0,1 % les plus fortunés, l’impôt sur le revenu ne joue plus son rôle car ces derniers transfèrent leurs revenus et leur patrimoine personnel vers le patrimoine professionnel, via leur holding, pour l’exclure du champ d’application de l’impôt sur le revenu et du Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) sur les dividendes.
Le député a démonté la “fiction” d’un paradis fiscal créé par l’opposition, rappelant avec force que “les 10 % des plus riches payent 75 % de l’impôt sur le revenu.” Mais il a précisé que le problème n’est pas le montant global, mais la faille permettant aux dirigeants “qui n’ont pas besoin de sortir leur dividend de la holding” de se constituer un patrimoine personnel colossal sans payer les impôts qui s’appliquent à l’épargne et au patrimoine des individus lambda.
2% : Taxe de Justice ou Coup Fatal à l’Économie ?
L’argument en faveur de la mesure s’est ensuite fait technique pour rassurer sur son impact réel. L’objectif n’est pas “que la justice fiscale amène à appauvrir l’économie,” mais qu’elle assure que les outils fiscaux soient utilisés “au service des entreprises” et que les outils pour les personnes soient plus “efficaces.”
Le député a détaillé l’impact réel de la taxe : en appliquant 2 % sur une part théorique des actifs (estimée à 15 %), le taux effectif d’imposition pour les holdings ne serait que de 0,3 % de leur valeur. Une contribution infime, loin des taxations punitives dénoncées par l’opposition, et qui vise simplement à “limiter une forme d’abus en changeant les règles, en les clarifiant.”
Un autre point crucial a été soulevé : le risque que les actifs et les entreprises se délocalisent en Europe. Le défenseur de la taxe a confirmé que le projet avait bien prévu un “mécanisme anti-abus sur la localisation des holdings à l’étranger.” Pour lui, il serait inadmissible que ce que la France cherche à restreindre — et qui est déjà restreint dans des pays comme l’Irlande — reste permis sur le territoire national.
Le débat a ainsi été ramené à son essence : non pas une punition contre la richesse, mais un ajustement ciblé pour garantir que les outils d’optimisation fiscale professionnelle ne deviennent pas des outils d’évasion fiscale personnelle.
L’échange a pris fin avec un vote public. L’issue est claire : les amendements visant à supprimer cette nouvelle taxe sur les holdings ont été rejetés par 262 voix contre 134. Malgré la fureur, les mises en garde et la dénonciation de l’incompétence par certains, la majorité a tenu bon. Ce débat restera une illustration mémorable du fossé qui s’est creusé au sein de la représentation nationale, entre la nécessité de soutenir l’économie entrepreneuriale et l’impératif, non moins pressant, de préserver un minimum de justice et de “consentement à l’impôt” dans un pays financièrement sous haute tension.
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