« Mieux Qu’il se Taise » : L’Aveuglement d’Emmanuel Macron Mène la France au Chaos, Révélations Choc sur les Coulisses de l’Élysée

Emmanuel Macron aux députés LREM : «Soyez fiers d'être des amateurs» - Le Parisien

 

« Mieux Qu’il se Taise » : Le Capitaine Macron Lâche le Manche et Plonge le Pays dans l’Inconnu

 

La scène politique française est secouée par une onde de choc dont la violence est à la mesure de l’aveu : Emmanuel Macron est en pleine déroute psychologique et politique. Le Président, jadis réputé pour son contrôle implacable, montre des signes spectaculaires de craquement, au point d’exprimer le souhait d’abandonner le gouvernail. Les révélations crépusculaires du Parisien et de RTL, parues début novembre, dessinent le portrait d’un chef d’État isolé, haï d’une grande partie de la population et désormais désavoué par son propre camp. L’air est lourd à l’Élysée, et la France s’interroge : un Président peut-il constitutionnellement « lâcher le manche » ? Et surtout, quelles dérives dangereuses cette vacance du pouvoir risque-t-elle d’entraîner ?

Le Mur du Silence et la Confession Choc : « Je Lâche le Manche »

La première alerte, symbolique et pourtant terrifiante, est venue du Parisien le 3 novembre, avec un titre évocateur : « Mieux qu’il se taise Emmanuel Macron face au risque d’effacement. » Le quotidien révélait alors une réalité brutale : le Président a effectué son premier déplacement sur le sol français, en Charente, depuis un mois et demi. Une absence prolongée du territoire national qui n’est pas le fruit du hasard, mais bien la conséquence d’une impopularité record qui le rend littéralement incapable de se montrer en public sans provoquer un tollé. Il est, pour ainsi dire, banni de son propre pays.

Mais le véritable tremblement de terre est venu de RTL le 4 novembre, citant des propos stupéfiants tenus par le chef de l’État à ses proches : « Sur la politique nationale, je lâche le manche », aurait-il confié. Cet aveu, s’il soulage apparemment certains au sein de sa majorité, est un signal d’alarme pour la République tout entière. Il ne s’agit pas d’un simple coup de blues, mais d’une confession d’impuissance et d’une démission de fait, révélant une rupture profonde entre l’homme et la fonction, entre le pouvoir et ses obligations fondamentales.

La Défection du Clan Présidentiel : Un Désaveu sans Précédent

Ce qui rend la situation actuelle si critique, c’est que le désaveu ne vient plus seulement de l’opposition ou de la rue, mais de l’intérieur même du camp présidentiel. L’épuisement et la colère des députés et ministres sont palpables. Après la sortie très controversée d’Emmanuel Macron sur la réforme des retraites, où il a contredit son propre gouvernement en parlant de « décalage » plutôt que de « suspension », la patience de sa majorité a atteint son seuil de rupture.

Les citations anonymes recueillies par la presse sont accablantes. « Désormais, je ne l’écoute plus. Il nous a fait beaucoup de mal. Si on veut essayer de sauver la fin de ce quinquennat, c’est plus raisonnable qu’il se tienne éloigné de nous », explique sans ambages un député du groupe « Ensemble pour la République ». Un ministre va plus loin, exaspéré : « Pour nous, c’est mieux qu’il se taise. Pourquoi est-il venu contredire Le Cornu ? Il veut quoi ? Une censure et une dissolution ? » Ces voix traduisent une perte de confiance irréversible. Le Président est en « rupture totale, y compris avec son propre camp », confirmant l’isolement politique qui précède souvent les chutes retentissantes.

L’Illégalité Constitutionnelle de l’Abandon : L’Article 5 en Péril

Au-delà de l’aspect psychologique, la déclaration de « lâcher le manche » est d’une gravité institutionnelle majeure. Le Président de la République n’est pas un dirigeant à option. L’Article 5 de la Constitution est catégorique : il a l’obligation « d’assurer, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. » Il ne peut pas, légalement, s’abstenir de s’occuper de la politique nationale.

Si Emmanuel Macron persiste dans cette voie d’évitement et de retrait des affaires intérieures, il enfreint l’obligation même qui fonde sa fonction. Une telle défaillance ne peut avoir que deux issues : soit une démission volontaire, soit une mise à l’écart forcée par destitution, conformément à l’Article 68 de la Constitution. Son retrait de la scène politique intérieure, loin d’être un geste d’apaisement, est une bombe institutionnelle qui rend l’action rapide de l’opposition plus nécessaire que jamais. C’est dans ce contexte brûlant qu’une nouvelle motion de destitution est annoncée au Parlement.

Le Délire du « En Même Temps » et le Culte de l’Hypocrisie

Dans son isolement croissant, les rares prises de parole d’Emmanuel Macron témoignent d’une déconnexion et d’une audace confinant au délire. Lors de son déplacement en Charente aux assises de l’économie de la mer, il s’est permis de sermonner la nation avec un aplomb sidérant : « On ne grandit pas un pays en attaquant ses champions. »

Quel culot ! C’est sous ses mandats successifs que les fleurons de l’industrie française ont été bradés ou affaiblis : Alstom, Technip, Lafarge, Alcatel, Xillon, et plus récemment encore la casse en cours d’EDF. Ce discours sur la défense des « champions nationaux » de la part de celui qui a été l’artisan de leur démantèlement est une insulte à l’intelligence et un sommet d’hypocrisie.

La même dissonance cognitive s’observe sur le dossier de l’énergie. Déclarant que « le tout renouvelable ne marche pas » et que « le tout nucléaire n’est pas soutenable », il prône un « en même temps » qui, en réalité, est une capitulation face aux directives européennes. C’est bien lui qui a détruit le programme de recherche Astrid et fermé la centrale de Fessenheim, c’est bien lui qui s’est soumis au marché européen de l’électricité, contribuant activement à la fragilisation de notre souveraineté énergétique. Son retournement de veste sur le nucléaire, après avoir œuvré à sa destruction, achève de le décrédibiliser.

La Dérive Autoritaire : L’Interdiction de Faire du Bruit

Mais c’est dans la gestion des manifestations que le risque d’autoritarisme, annoncé par de nombreux observateurs, se manifeste de la manière la plus concrète et la plus dangereuse. L’article du Sud-Ouest du 4 novembre concernant la visite à La Rochelle est glaçant. Des manifestants se sont vu interdire de faire du bruit, de scander des slogans ou de faire de la musique. Le plus incroyable : « Trois personnes ont ainsi été verbalisées après avoir sorti des casseroles dont n’ont pas eu le temps de faire usage et devront s’acquitter de 135 € d’amende. »

Une amende de 135 euros pour une simple casserole ! Nous sommes là dans l’illustration la plus parfaite d’un régime en quête d’ordre absolu, qui réprime le bruit, la contestation populaire, et muselle jusqu’à l’intention de manifester. Dans quel régime vit-on lorsqu’il est interdit de manifester sans faire de bruit ? Cette dérive n’est pas anodine : elle ouvre la voie à des usages encore plus extrêmes, comme le possible déclenchement de l’Article 16 de la Constitution – les pleins pouvoirs – ou même une fuite en avant dans un conflit extérieur pour détourner l’attention nationale. Le moment de faiblesse du Président est aussi le moment de danger maximal pour les libertés publiques.

L’Ultime Bataille : Motion de Destitution et Résistance Populaire

Face à ce péril, le temps n’est plus à l’observation, mais à l’attaque tous azimuts, comme l’affirment les forces souverainistes. Il faut profiter de ce moment de faiblesse inédit pour obtenir son départ.

L’outil le plus puissant est la nouvelle motion de destitution en vertu de l’Article 68, qui arrive très prochainement sur le bureau de l’Assemblée nationale. L’échec de la première motion, en octobre dernier, dû en partie à l’abstention de certains députés, ne doit pas se reproduire. Il est impératif que les députés de tous bords, y compris ceux de l’opposition, votent cette fois pour sa recevabilité et son examen en plénière. Un tel vote, même symbolique, serait politiquement dévastateur pour le chef de l’État.

Parallèlement, la mobilisation citoyenne reste essentielle. Le gouvernement, sous l’égide d’un Président en déroute, prépare la loi d’obligation vaccinale, un nouveau pied dans la porte pour Big Pharma et une menace directe pour nos libertés. Les citoyens, les soignants, les anciens, tous sont appelés à se rassembler en résistance contre cette loi. La lutte est concrète et ne souffre aucun répit. L’heure est à l’union des patriotes et des souverainistes pour une France libre. L’histoire jugera ceux qui, en ce moment critique, auront choisi de se taire plutôt que d’agir.