MH370 : Un Ingénieur à la Retraite Affirme Détenir la Localisation Exacte de l’Épave Grâce à un Signal « Invisible »

Article: La nuit du 8 mars 2014, le vol MH370 de Malaysia Airlines, transportant 239 personnes, s’est volatilisé, laissant derrière lui une énigme qui a défié les experts, les gouvernements et la science pendant plus d’une décennie. Malgré l’une des recherches sous-marines les plus vastes et les plus coûteuses de l’histoire, le mystère restait entier, alimenté par le silence de l’océan Indien et le désespoir des familles.
Aujourd’hui, une nouvelle lumière jaillit de l’ombre grâce à l’obstination d’un seul homme : Richard Godfrey, un ingénieur aérospatial britannique à la retraite. Utilisant une technologie oubliée et des milliards de données, Godfrey affirme avoir percé le secret du MH370, fournissant des coordonnées d’une précision inédite. Ses preuves, validées par des analyses mathématiques rigoureuses, ont convaincu les sceptiques et, plus important encore, ont relancé l’espoir d’une mission de recherche finale. L’histoire officielle du MH370, jugée par beaucoup comme « trop simple » et fallacieuse, est sur le point d’être définitivement démentie.
L’Énigme Glaciale : Quand l’Avion Murmure Encore dans l’Espace
L’histoire du MH370 ne commence pas par un drame, mais par un silence glaçant. Après un décollage de Kuala Lumpur et un échange de routine – la fameuse réplique « Bonne nuit, Malaisia 370 » – le transpondeur de l’avion, ce dispositif qui le rend visible aux radars civils, s’est éteint à 1h21. Pour le monde extérieur, l’avion s’était volatilisé (1:48).
Pourtant, l’avion n’avait pas disparu. Les radars militaires malaisiens ont capté un écho non identifié, traçant une trajectoire nouvelle et délibérée. Le Boeing 777 effectuait un virage brusque et contrôlé à gauche, faisant demi-tour au-dessus de la péninsule malaise avant de filer vers l’ouest, puis vers la mer d’Andaman. Durant l’heure qui a suivi, les militaires ont observé, sans intervenir, cet avion fantôme s’éloigner de sa route initiale (2:37).
Après avoir échappé aux radars militaires, l’unique trace du vol fut un « murmure » dans l’espace : le système satellite de l’appareil s’est discrètement reconnecté au satellite Inmarsat au-dessus de l’océan Indien. Ces sept « poignées de main » fantomatiques ont fourni le seul indice réel sur le trajet du MH370, générant les fameux arcs sur lesquels les enquêteurs se sont accrochés, pointant vers l’immense vide du sud de l’océan Indien (3:32).
La Faillite de la Théorie Officielle du « Vol Suicide »

Pendant des années, une théorie a dominé les gros titres : celle du pilote suicidaire. Selon cette version dramatique, le capitaine Zaharie Ahmad Shah aurait dépressurisé la cabine, rendant les passagers inconscients, avant de laisser l’appareil voler sur pilote automatique (un « vol zombie ») jusqu’à l’épuisement de son carburant.
Mais pour Richard Godfrey et de nombreux experts, cette théorie s’effondre face aux preuves physiques et aux données satellites.
Une Chute Brutale, Pas un Glissement Contrôlé : L’analyse des données satellites (le décalage fréquentiel ou BFO) ne correspond pas à un amerrissage doux et contrôlé. Au contraire, les chiffres suggèrent une chute brutale, une accélération soudaine vers le bas, avec une vitesse de descente estimée par le Bureau australien de la sécurité des transports à 15 000 pieds par minute. Ce n’est pas une descente maîtrisée, c’est une chute libre (7:00).
Des Débris d’Impact Violent : Les fragments retrouvés, notamment le flaperon à l’île de la Réunion, témoignent d’une destruction brutale à haute énergie. Le bord de fuite était déchiqueté, et les volets étaient rétractés (configuration de croisière), et non déployés comme on s’y attendrait pour un atterrissage. Ces signes indiquent un impact violent, et non un glissement doux sur l’eau (7:46).
Cet échec de l’explication officielle a coïncidé avec l’échec de la recherche elle-même. Les gouvernements ont dépensé des centaines de millions de dollars à scruter 120 000 km² de fonds marins, basant leurs efforts sur une chaîne d’hypothèses fausses (8:29). La vérité, comme l’admettent aujourd’hui beaucoup, est qu’ils cherchaient au mauvais endroit.
WSPR : La Toile d’Araignée Invisible qui Traque les Avions
C’est dans ce contexte de frustration et de désespoir que Richard Godfrey a introduit sa méthode, le WSPR (Weak Signal Propagation Reporter).
Pendant trois ans, l’ingénieur à la retraite a développé un logiciel sur mesure pour analyser plus de 200 milliards de lignes de données brutes issues de la base de données WSPRnet (12:33). Le WSPR est une technologie radioamateur, une sorte de toile d’araignée géante (11:36). Des milliers de stations à travers le monde envoient de très faibles signaux radio (moins d’un watt) qui rebondissent sur l’ionosphère et voyagent sur des milliers de kilomètres.
Godfrey a réalisé une chose cruciale : si un gros avion comme le Boeing 777 traverse ces « fils » invisibles, il laisse une perturbation : une légère baisse d’intensité ou un décalage de fréquence, un signal imperceptible pour l’oreille humaine, mais enregistré dans la base de données.
En éliminant le bruit de fond (tempêtes solaires, interférences), Godfrey a isolé 130 anomalies au-dessus de l’océan Indien dans la nuit fatidique. Tracées chronologiquement, elles ont dessiné une trajectoire claire : un virage vers le sud-ouest, puis plein sud, s’alignant avec les signaux Inmarsat, mais avec une précision jamais atteinte (12:56). Sa piste s’arrête à un point précis : 29.128° Sud, 99.934° Est (13:19).
Le Test Ultime : Une Confirmation Indépendante et Mathématique
Pour Richard Godfrey, le travail ne consistait pas seulement à trouver des motifs, mais à prouver que ces motifs résistaient à l’examen scientifique. Il a soumis ses résultats à l’Université de Liverpool, une équipe d’analystes réputée ayant aidé à localiser l’épave du vol Air France 447 (14:30).
Corrélation de Chronologie : La première étape a été une vérification de la chronologie. Il s’est avéré que chaque anomalie WSPR correspondait presque parfaitement (à environ quatre minutes près) à un signal Inmarsat (15:16). Une coïncidence jugée statistiquement improbable, surtout qu’aucun autre avion n’était présent dans cet espace aérien.
Analyse Bayésienne : En utilisant l’analyse bayésienne, la même méthode statistique qui avait résolu l’affaire Air France 447, les experts de Liverpool ont obtenu un résultat stupéfiant. Leur calcul a établi une probabilité de 74 % que l’épave du MH370 se trouve dans une petite zone centrée sur les coordonnées fournies par Godfrey (17:29).
De plus, une confirmation indépendante est venue de l’océanographie. Des scientifiques du centre GEOMAR en Allemagne ont réalisé des simulations de dérive des débris retrouvés (Réunion, Mozambique, Tanzanie). En retraçant les trajectoires des courants marins à rebours, la majorité des modèles pointait vers une zone d’origine située à environ 100 km du site identifié par la technologie WSPR (21:53).
Face aux critiques initiales, Godfrey a répondu avec la science : la physique est valide, et un test récent impliquant un Boeing 777 sur le couloir présumé a prouvé que le système WSPR fonctionnait en temps réel (20:04).
Le Compte à Rebours : Ocean Infinity Fonce vers la Vérité
Après des années de faux espoirs et de théories farfelues, les pièces du puzzle s’alignent. La saison des cyclones dans l’océan Indien sud étant terminée, la Malaisie a validé un nouveau contrat avec le poids lourd de la recherche sous-marine, la société Ocean Infinity (22:49).
Ce nom est familier, car l’entreprise avait mené la recherche de 2018. Cette fois, leur vaisseau amiral est équipé de véhicules sous-marins autonomes (Hugins) capables de scanner le fond marin à 6000 mètres de profondeur avec une précision spectaculaire.
Le plus révélateur est la nature du contrat : « Pas de découverte, pas de paiement. » Ocean Infinity avance ses propres coûts, estimant son risque à environ 70 millions de dollars (23:32). Cela en dit long sur la solidité des données de Godfrey. La zone de recherche de 15 000 km² est désormais centrée sur les coordonnées exactes issues de l’analyse WSPR.
Plus d’une décennie de mystère, et la réponse pourrait être à moins de 30 jours de balayage. La question n’est plus de savoir si le MH370 peut être retrouvé. La question est de savoir si, après toutes ces années de chagrin et de confusion, nous sommes enfin sur le point de clore le plus grand mystère de l’aviation.
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