C’est un coup de tonnerre dans un ciel que l’on croyait serein. Un de ces drames feutrés qui, lorsqu’ils éclatent, font plus de bruit que n’importe quelle explosion. À 58 ans, Alexandra Pastor, l’épouse de David Hallyday, la femme de l’ombre, discrète et effacée, vient de briser un silence de plomb. Sa confession, d’une franchise aussi intime que brutale, secoue l’opinion publique et jette une lumière crue sur les zones d’ombre d’un couple que l’on pensait inébranlable.

“Je vivais avec un inconnu depuis des années et je ne le savais même pas.”

Ces mots, rapportés par la source vidéo, ont glacé l’assistance. Ils ne décrivent pas une simple crise conjugale, mais une trahison d’une violence insoupçonnée. Le public, qui a toujours associé David Hallyday à une forme d’intégrité discrète, presque en antithèse des éclats de sa mythique lignée, découvre aujourd’hui une réalité bien plus sombre. Il n’est pas question d’un simple divorce, mais de la révélation d’une double vie, d’un mensonge prolongé au cœur du quotidien, et surtout, d’un enfant caché.

La nouvelle est tombée comme une lame. David Hallyday aurait entretenu une relation extraconjugale de longue date. De cette liaison serait né un enfant. Ce n’est pas un simple faux pas ; c’est un séisme conjugal, une onde de choc qu’Alexandra Pastor décrit avec la dignité brisée d’une femme trahie dans l’essentiel : la confiance.

Pendant des années, elle a tenu son rôle en silence. Celui de la compagne fidèle, de la gardienne du foyer, de la femme qui accepte les absences et les “demi-vérités” en les mettant sur le compte de la “complexité d’une vie d’artiste”. Elle a tout justifié : les tournées, les projets secrets, les exigences du métier. Elle a étouffé ses propres doutes, minimisé les rumeurs, souri aux photographes. Il fallait tenir bon. Pour la famille. Pour l’image. Pour lui.

Puis, les fissures sont apparues. D’abord invisibles, elles sont devenues des crevasses. Des “factures étranges”. Un “message crypté sur un téléphone laissé sans surveillance”. Un “parfum inconnu” sur une chemise. Et puis, cette intuition, cette “douleur qui ronge de l’intérieur” qu’aucune certitude ne venait apaiser. Jusqu’à l’évidence.

Ce qu’elle découvre la laisse sans voix. La vérité, selon nos informations, remonte à 2015. Lors d’une série de concerts au Portugal, David Hallyday aurait noué une idylle secrète avec une certaine Sofia M., une artiste peintre franco-portugaise. Une relation protégée par un voile d’invisibilité, loin des radars médiatiques. De cette liaison serait né un garçon, début 2016.

Pendant près de dix ans, le secret a été maintenu grâce à un “réseau de transaction savamment orchestré”. Une somme conséquente aurait été transférée chaque mois depuis une société de gestion domiciliée en Suisse, assumant discrètement la responsabilité paternelle. L’enfant, dont l’acte de naissance ne mentionnerait que les initiales “D.H.”, grandissait dans l’ombre.

En mai dernier, tout bascule. Alexandra Pastor tombe par hasard sur une “correspondance électronique non protégée”. Des messages, des photos de l’enfant, des échanges bancaires. Et cette phrase, terrible, laissée par David à Sofia M. : “Il me ressemble de plus en plus.”

Ce jour-là, selon un proche, Alexandra aurait quitté la maison en larmes, sans même prendre ses effets personnels. Quelques jours plus tard, elle dépose une demande de divorce en urgence pour “adultère prolongé et atteinte irréversible à la confiance conjugale”. L’enfant caché, jusqu’alors un fantôme, devenait une réalité juridique et publique. Une photo, récemment fuitée, montrant David en compagnie d’un adolescent à la “ressemblance troublante”, a achevé de faire exploser la vérité. Selon la source, le jeune garçon serait même désormais inscrit dans un lycée international à Paris.

Face à ce scandale, David Hallyday s’est enfermé dans un “mutisme stratégique”. Aucune déclaration, aucun communiqué. Seules des rumeurs de discussions d’avocats et de tentatives d’étouffer l’affaire. Mais face à la dignité meurtrie de son épouse, ce silence est interprété par le public comme un aveu. Ce n’est pas l’homme public qui est jugé, mais l’homme privé. Celui qui, derrière les projecteurs, a choisi de construire un double foyer, de faire naître une vie hors du cadre officiel, et de maintenir l’illusion d’un couple parfait.

David Hallyday : qui est sa femme Alexandra Pastor ? - Closer

Dans cette histoire, la véritable héroïne est celle qui sort de l’ombre. Alexandra Pastor, à 58 ans, parle. Non pas pour se venger, mais pour se libérer. Elle raconte ces années où elle s’est sentie “invisibilisée”, où elle a porté le poids de l’illusion jusqu’à l’épuisement, se taisant par loyauté, par peur du scandale, par respect pour ses enfants.

“Il m’a fallu des années pour comprendre que je n’étais plus moi-même”, confie-t-elle dans un souffle. “J’étais devenue le miroir de sa vie, un rôle secondaire dans un scénario qu’il écrivait seul.”

Cette prise de parole n’est pas un acte médiatique ; c’est une reconquête. La reconquête d’un destin confisqué. Elle ne cherche pas à salir l’artiste, mais à exposer la vérité crue de la femme blessée, mais debout. La procédure de divorce qui s’engage est, pour elle, le début de la reconstruction.

Quant à David, il semble rattrapé par les “fantômes familiaux”. Comme si le destin, dans une ironie cruelle, avait décidé de répéter l’histoire de son propre père, le légendaire Johnny, dont les infidélités et les familles complexes ont défrayé la chronique. L’image de l’héritier discret, de l’artiste intègre, vacille.

Le divorce est engagé. L’enfant secret existe. L’épouse bafouée a parlé. Dans une rare interview après la finalisation de la procédure, Alexandra Pastor a prononcé ces mots, simples, mais qui résument tout son chemin de croix : “Même si c’est tard, j’ai choisi la liberté.” Un cri discret, mais puissant, qui sonne la fin d’une ère de mensonges et le début d’une nouvelle vie, la sienne.