MELONI & ORBÁN : L’ALLIANCE DES OMBRES QUI FAIT TREMBLER L’UE EN 2025 !

 

Une alliance secrète entre deux des dirigeants les plus inflexibles d’Europe, Georgia Maloney et Viktor Orbán, pourrait bien être la clé de la chute de l’Union européenne. Dans un manifeste divulgué, ces deux leaders affirment que l’UE est finie et qu’une nouvelle confédération de nations souveraines est en train de voir le jour, prête à renverser la tyrannie bureaucratique de Bruxelles.

 

Le 27 octobre 2025, dans le somptueux Palazzo Cheiki à Rome, Maloney a accueilli Orbán pour ce qui semblait être une simple réunion bilatérale. Mais derrière les sourires et les poignées de main, un séisme politique se préparait. Les deux dirigeants ont scellé un pacte, promettant de reprendre l’âme de l’Europe. Leurs discussions ont révélé un plan audacieux : une Europe des nations, loin des bureaucrates anonymes.

Le contexte est crucial. L’UE, fondée après la Seconde Guerre mondiale comme un symbole de paix, s’est transformée en un monstre ingérable, étouffant la souveraineté nationale sous le poids de ses règlements. Les crises financières, les migrations et le Brexit ont déjà fissuré cette façade. Maintenant, Maloney et Orbán voient une opportunité de frapper pendant que l’UE est affaiblie.

 

Leur manifeste de douze pages appelle à des parlements nationaux dotés d’un droit de veto sur les questions de migration et de budget, ainsi qu’à une politique étrangère qui privilégie l’Europe. Alors que la présidence de Ursula von der Leyen se renforce, des tensions éclatent. Les manifestations des agriculteurs s’intensifient, l’inflation frappe durement, et les doutes s’installent au sein même des centristes.

 

Maloney et Orbán ne se contentent pas de rêver. Ils organisent déjà les bases de leur alliance. Le groupe des Patriotes pour l’Europe, formé en juillet 2024, pourrait fusionner avec le bloc de Maloney, créant un puissant groupe de 200 députés au Parlement européen, capable de contrecarrer les ambitions législatives de von der Leyen.

 

Les manœuvres bilatérales sont déjà en cours. Maloney utilise l’influence méditerranéenne de l’Italie, tandis qu’Orbán apporte la force des pays de Visegrad. Des nations comme la Pologne et la Slovaquie montrent des signes de soutien. Une coalition souveraine pourrait contrôler 30 % des votes de l’UE, paralysant les sommets et forçant une réévaluation constitutionnelle.

 

Mais cette alliance n’est pas sans risques. Les tensions internes pourraient faire imploser le projet. Maloney, bien que ferme, n’est pas un clone d’Orbán. Les flirtations pro-russes d’Orbán pourraient nuire à leurs ambitions. Pendant ce temps, von der Leyen prépare sa riposte, tandis que Washington et Pékin observent la situation avec inquiétude.

 

Les conséquences de cette alliance pourraient être catastrophiques. Une Union européenne fracturée signifierait des flancs de l’OTAN affaiblis face à une Russie résurgente. Les marchés réagissent déjà, les rendements de la zone euro augmentant en raison des rumeurs d’une coalition anti-UE.

 

Alors que l’horloge tourne vers décembre, l’avenir de l’Europe est en jeu. Maloney et Orbán, loin d’être des héros ou des méchants, sont des précurseurs d’un nouveau chapitre. L’UE, cet immense projet, est à la croisée des chemins. L’Europe souveraine émerge-t-elle des cendres ou plonge-t-elle dans le chaos ? Les nations se réveillent, prêtes à revendiquer leur dû. Restez vigilants.