À 59 ans, Estelle Lefébure ose parler de la guerre froide avec Sylvie Vartan…
Non non, ça c’est vrai mais parce qu’il y a on garde une une activité. Enfin, moi je suis encore très Mesdames, messieurs, longtemps la a gardé le silence. À 59 ans, Estelle Le Fébur brise enfin un tabou qui rongeait les coulisses d’une famille célèbre. Ses relations glacielles avec Sylvie Vartan, ex-belle- mère et légende de la chanson française.
Derrière les sourires figés des tapis rouges, une guerre silencieuse se jouait. Estelle, ancienne top modèle adulée, dit avoir subi des années de critique voilée, d’humiliation discrète et d’un climat étouffant orchestré par une femme qu’on disait protectrice, mais qu’elle décrit aujourd’hui comme invasive.
“Ce n’est pas une vengeance, affirme-t-elle, mais un besoin de vérité car ce malaise aurait miné peu à peu son couple avec David Alidé. Pour la première fois, elle dévoile le poids de ses non dit, ses tensions feutrées qui ont transformé sa vie familiale en lutte permanente. Pourquoi maintenant ? Parce que dit-elle, le silence est aussi une forme de soumission.
Née le 11 mai 1966 à Rouan en Normandie, Estelle Le Fébur grandit loin des podiums et des flashes. Issu d’un milieu modeste, elle apprend très tôt la valeur du travail. Adolescente réservée mais déterminée, elle rêve d’indépendance. À 18 ans, elle quitte sa ville natale pour Paris avec l’ambition de percer dans la mode. Très vite, sa beauté froide et sa silhouette sculpturale attirent l’attention des agences.
Les années 1980 marquent l’envol de sa carrière. Elle devient l’un des visages français les plus demandés représentant des marques prestigieuses tel que l’Oréal, Guess ou encore Christian Dior. Son regard magnétique séduit aussi l’international. Elle est photographiée par les plus grands, défile sur les podiums de Milan à New York et fait la couverture de elle, Vog et Cosmopolitane.

Sa notoriété est telle qu’elle est régulièrement comparée aux tops américaines de l’époque comme Cycford ou Claudia Chiffer. Pourtant, derrière cette ascension fulgurante, Estelle garde une certaine discrétion. Elle refuse le star système préférant protéger sa vie privée. En 1989, sa vie bascule lorsqu’elle rencontre David Alidé, fils de Johnny Alid et Sylvie Vartin.
Le Ridal fait les gros titres. Le chanteur charismatique et la mannequin solaire forment un couple glamour. Il se marie en 1989 et donne naissance à deux enfants : Ilona en 1995 puis Emma en 1997. Mais si leur amour semble éclatant qu’en apparence, il est vite mis à l’épreuve par les pressions du nom Alidé. Estelle n’épouse pas seulement un homme, mais aussi un héritage lourd à porter.
Être la belle fille de Sylvie Vartan n’a rien d’anodin. La chanteuse, figure emblématique de la variété française et réputée pour son tempérament fort et son besoin de contrôle, notamment sur tout ce qui touche à l’image familiale. Selon plusieurs témoignages parus dans la presse People à l’époque, Sylvie aurait toujours regardé Estelle avec méfiance, la jugeant trop superficielle pour son fils.
Des remarques sur l’éducation des enfants, sur la carrière d’Estelle et même sur ses choix vestimentaires auraient été faite, parfois en public, souvent en privé. Malgré ses efforts pour apaiser les tensions, Estelle se sont peu à peu isolées. Elle confie à ses proches vivre sous pression constante, tiraillé entre son rôle de mère, de femmes publiques et de belles filles pas assez conformes.
Le couple bat de l’ail dès la fin des années 1990. En 2001, après 12 ans de mariage, Estelle et David annoncent leur séparation. Dans les médias, les raisons invoquées restent floues mais plusieurs chroniqueurs soulignent l’influence grandissante de Sylvie dans les choix familiaux. Après le divorce, Estelle se réinvente.
Elle poursuit ce carrière de mannequin tout en s’ouvrant à d’autres domaines. Elle joue dans quelques films, participe à des émissions de télévision comme Danse avec les stars et s’essaye même à l’écriture avec un livre sur le bien-être. Mais elle reste marquée par cette période comme si une partie de sa jeunesse lui avait été volée par un système familial rigide.
Aujourd’hui, elle ne cherche ni vengeance ni scandale. Elle souhaite simplement rétablir une vérité longtemps déformée. Car si elle a souvent été réduite à l’étiquette de Ex-Femme 2, elle entend désormais raconter sa version, non pas pour se justifier, mais pour exister à part entière et peut-être au passage apaiser des blessures encore à vif.
Tout au long de leur mariage, Estelle Le Fébur et David Alidet ont affiché une image d’harmonie, de complicité et de stabilité familiale. Pourtant, derrière les photos de couverture et les apparitions en public, une fracture s’installait doucement, alimentée par une pression constante venue de l’extérieur et notamment d’une figure centrale, Sylvie Vartan.
Ce qui devait être une relation familiale normale entre belle-mère et belle-fille est vite devenue, selon les propos rapportés par l’entourage d’Estelle, une source d’angoisse, de conflit et de frustration permanente. Dès les premières années du mariage, Estelle aurait ressenti un malaise croissant face à la place qu’occupait Sylvie dans la vie de son fils.

Certains proches parlent d’une relation fusionnelle entre David et sa mère, laissant peu d’espace pour qu’une tierce personne s’y insère. Sylvie, protectrice jusqu’à l’extrême, aurait toujours souhaité garder un œil sur la trajectoire personnelle et artistique de son fils, même après son mariage. Estelle, elle, jeune maman et femmes en quête de stabilité, se seraient senti observé, jugé et parfois même rabaissé.
Selon plusieurs témoignages recueillés par la presse spécialisée dans les années 2000, Sylvie aurait émis des critiques répétées à l’égard d’Estelle sur son rôle de mère, sur ses choix de carrière ou encore sur sa manière de gérer l’éducation de ses enfants. Une proche du couple restée anonyme rapporte à l’époque, elle n’avait jamais l’impression de faire assez bien.
Il y avait toujours une remarque, un commentaire, une pique. Cette accumulation de microagression aurait progressivement détérioré le climat familial. Le couple tente tant bien que mal de maintenir les apparences mais au fil du temps Estelle se replie sur elle-même. Elle refuse certaines réunions familiales, décline des invitations et limite ses interactions avec Sylvie.
David, pris entre deux femmes qu’il aime profondément, adopte une position neutre, parfois perçue comme de la lâcheté. Ce positionnement ambigu fragilise encore plus le lien conjugal. À cela s’ajoute des tensions liées à la notoriété, à la gestion des enfants et au projet professionnels de chacun. Ce que le public ignore alors, c’est une médiation familiale a été discrètement organisée en 1999 à l’initiative de David.
Le couple consulte un thérapeute spécialisé espérant désamorcer les conflits. Mais selon un article de Gala paru en 2003, les Nondis étaient trop nombreux, les blessures déjà profondes. L’influence de Sylvie, perçue comme envahissante, aurait été évoquée mais jamais frontalement traitée. L’échec de cette tentative de réconciliation précipite la séparation.
Lorsque le divorce est officiellement prononcé en 2001, la communication entre Estelle et Sylvie est rompue. Les fêtes de famille sont organisées séparément, les enfants partagés entre deux univers. Estelle reste profondément marqué par cette expérience. Dans une rare interview accordée à Psychologiste Magazine en 2012, elle lâche une phrase lourde de sens : “J’ai appris à me reconstruire en dehors des regards qui jugent.
” Si elle ne cite jamais Sylvie, l’allusion semble transparente. Mais le point de rupture réel, celui qui a tout fait basculer, aurait été lieu lors d’une réunion familiale tendue à Los Angeles en 2000. Selon une source proche de la famille Aliday, Sylvie aurait publiquement remis en question les compétences maternelles d’Estelle devant plusieurs témoins, dont David.
Ce dernier, gêné, n’aurait pas défendu sa femme. Ce silence aurait été vécu comme une trahison. Le couple ne se remettra jamais de cet épisode. Aujourd’hui, Estelle évoque cette période avec retenu. Elle n’accuse pas mais elle raconte. Elle ne cherche pas à détruire l’image de Sylvie Vartan mais à restituer une vérité subjective, celle d’une femme prise dans un engrainage familial où sa voix n’était pas entendu.
Le fait qu’elle prenne la parole maintenant à 59 ans n’est pas anodin. Cela coïncide avec une période de sa vie où elle revendique son indépendance, sa paix intérieure et surtout son droit à la mémoire. Car derrière la beauté des images, il y avait une femme qui souffrait en silence. Et dans ce silence, un jour quelque chose s’est brisé.
À la suite de son divorce avec David Alidet en 2001, Estelle Le Fébur se retrouve face à un double défi. Reconstruire sa vie personnelle et se réinventer dans un milieu médiatique toujours avide de récits intimes. Loin de s’effondrer, elle choisit la résilience. Pourtant, les traces du passé demeurent et les tensions avec Sylvie Vartan continuent de hanter quotidien même des années après la rupture officielle.
Pendant la décennie qui suit, Estelle élève ses deux filles, Ilona et Elma, dans un climat qu’elle veut serein, tout en conservant une certaine distance avec le clan Alid. Elle s’installe durablement dans le sud de la France, à proximité de la nature, privilégiant un mode de vie discret. En public, elle refuse de s’exprimer sur Sylvie ou sur David, même lorsque des journalistes insistent lourdement.
Elle décline les interviews centrées sur sa vie privée, préférant parler de bien-être, de sport ou de ses projets artistiques. Professionnellement, Estelle multiplie les activités : mannequin, télévision, écriture. Elle publie en 2015 un ouvrage intitulé Hore, la méthode Estelle Le Fébur, un guide de santé et d’équilibre personnel dans lequel elle évoque brièvement l’importance de couper les liens toxiques pour retrouver l’harmonie.
Si elle ne cite jamais de nom, beaucoup y voi une allusion directe à son passé familial. Elle participe également à Danse avec les stars en 2012 où elle séduit le public par son élégance naturelle et sa retenue émotionnelle, contrastant avec la surexposition de certaines autres personnalités. Mais en coulisse, des tensions réapparaissent.
Lorsque sa fille est née Ilona à l’idée débute une carrière dans la mode, certains médias évoquent une possible intervention de Sylvie Vartan pour orienter ses choix. Estelle qui souhaite préserver l’autonomie de ses filles, y voit une répétition du passé. Des discussions houleuses auraient eu une lieu entre les deux femmes selon des révélations de Voici en 2018.
Une proche affirme : “Estelle voulait que ses filles fassent leur propre choix sans pression. Elle n’a pas supporté de voir le même schéma se répéter. À mesure qu’elle avance en âge, Estelle semble chercher une forme d’apaisement. Elle s’engage dans des causes liées au bien-être, collabore avec des marques de cosmétique naturelles et s’éloigne progressivement du tumulte parisien.
Mais l’ombre de Sylvie Vartan plane toujours sur certains événements familiaux lors des anniversaires de ses petits-enfants ou des mariages dans la famille élargie à l’idée. La présence simultanée des deux femmes est souvent évitée. La distance reste tangible, irréconciliable. Ce n’est qu’en 2025 dans une interview exclusive au magazine L, Castel accepte enfin de parler à dem000ot.
Interrogé sur sa manière de gérer les conflits familiaux, elle répond : “Le silence m’a longtemps protégé, mais il m’a aussi enfermé. Il y a des vérités que j’ai trop longtemps gardé pour moi.” Elle le cite toujours pas, Sylvie, mais le soxte est évident. Son regard est calme, sa voix posée mais ferme.
Ce n’est plus une femme blessée, c’est une femme libérée. Dans les mois qui suivent, elle apparaît plus présente dans les médias. Elle donne des conférences sur la reconstruction personnelle, participe à des podcasts sur les relations toxiques et devient une figure discrète mais influente du bien-être féminin. Le public redécouvre une Estelle plus ancrée, plus incère et surtout plus libre.
Elle ne cherche plus l’approbation d’aucun clan. Elle vit pour elle, pour ses filles et pour sa vérité. Le moment décisif, celui où tout a basculé, ne s’est pas produit sous les projecteurs, mais dans un salon privé à Los Angeles au printemps de l’an 2000. Dali Alidé et Estelle Lefébur y séjournaient pour une série de rendez-vous professionnels.
Sylvie Vartan rejoint pour quelques jours. Ce qui devait être un simple dîner en famille se transforme selon une source présente ce soir-là en affrontement silencieux et brutal. Au cours de la conversation, Sylvie remet en question l’implication d’Estelle dans l’éducation d’Ilona âgée alors de 5 ans. Elle n’a pas besoin d’une mère qui travaille autant, aurait-elle lâché devant David Glacial.
Estelle, profondément blessée, garde son calme mais se ferme. David, visiblement gêné, ne prend pas la défense de sa femme. Ce silence, Estelle l’interprétera comme une forme de validation tacite. Ce soir-là, selon son entourage, quelque chose s’effondre. Le lien de confiance entre les époux se fissure irrémédiablement. À partir de ce moment, Estelle limite ses contacts avec Sylvie et cesse toute tentative de réconciliation.
La rupture émotionnelle s’installe discrète mais profonde. Quelques mois plus tard, lors d’un shooting en Italie, Estelle s’effondrant en larme entre deux prises. Son assistante de l’époque rapporte qu’elle répétait “Je ne suis pas assez bien pour eux”. Malgré cela, elle garde le silence par dignité, par protection ou peut-être par peur de déclencher une guerre ouverte dans la presse.
En 2001, le divorce est acté dans une ambiance feuterrie. Aucun scandale, aucun mot blessant dans les médias. Mais dans l’intimité, les blessures sont vives. Les enfants partent vivre une semaine sur deux entre les deux parents. Esther choisit le retrait. Elle refuse les plateaux télé, les interview voyeuristes.
Elle se reconstruit dans l’ombre, loin du tumulte. Ce n’est que 24 ans plus tard, en 2025 qu’elle ose poser des mots sur ses années de tension. Le timing n’est pas anodin. Ses fils sont adultes. Elle n’a plus rien à prouver. En brisant ce silence, Estelle ne cherche pas à accuser mais à réparer et peut-être à se libérer définitivement d’un poids qu’elle a trop longtemps porté seu Estelle Le Fébur ne cherche plus ni à plaire ni à se justifier.
À 59 ans, elle avance avec sérénité, portée par une nouvelle forme de liberté. En prenant la parole sur cette blessure longtemps tue, elle n’a pas déclenché de scandale mais ouvert une brche dans le récil qu’on racontait sur le clan Alidé. Elle n’a pas démoli Sylvie Vartan. Elle a simplement affirmé son expérience, sa vérité, son histoire.
Dans les jours qui ont suivi la publication de son interview, les réactions ont été multiples. Certains soutiennent son courage, d’autres appellent à préserver la mémoire de Sylvie. Mais une chose est sûre, Estelle a repris le contrôle de son récit. Elle ne restera plus figée dans le rôle d’ex-mquin, d’ex-femme ou de belles filles discrètes.
Elle est désormais une femme qui s’est tenue droite dans la tempête, qui a élevé ses filles avec dignité et qui a su enfin se libérer du silence. Et au fond, cette question demeure. Combien d’autres femmes comme elles se sont longtemps tues par loyauté, par peur ou par amour ?
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