Enfin ! Patrick ouvre son hôtel sur les bords de la Sorgue, dans un bâtiment datant du XIXe siècle : sa célèbre ex-femme impatiente
Entre amour de la Provence, passion pour l’authenticité et quête d’excellence, Patrick Bruel concrétise un rêve de longue date : offrir à L’Isle-sur-la-Sorgue son tout premier hôtel 5 étoiles. Pensé comme un hommage à sa terre d’adoption et à ses racines, L’Isle de Leos mêle élégance discrète, et savoir-faire local.
Patrick Bruel ouvre enfin son hôtel baptisé L’Isle de Leos, le vendredi 11 juillet 2025 via Instagram @PatrickBruel © Instagram, PatrickBruel





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Ce n’est pas un hôtel de plus. Ce n’est pas un simple projet immobilier. C’est une part de lui que Patrick Bruel a déposée au cœur de L’Isle-sur-la-Sorgue. Fidèle à ce coin de Provence depuis l’acquisition, en 2007, de son domaine viticole et oléicole, l’artiste offre aujourd’hui à la Venise comtadine son tout premier établissement 5 étoiles : L’Isle de Leos, un nom inspiré de ses deux fils, Léon et Oscar, devenu depuis une marque emblématique. Après plusieurs reports et une métamorphose complète d’une ancienne scierie, le lieu s’apprête enfin à accueillir ses premiers visiteurs et Amanda Sthers, son ex-femme est ravie comme elle l’a laissé entendre sous une photo de son hôtel. “Comme c’est beau !”, a-t-elle commenté. Dès l’entrée, le ton est donné. L’olivier, symbole du Domaine de Leos, se décline en fer forgé, tandis qu’une œuvre monumentale de huit mètres, faite de tuiles provençales, habille le hall d’accueil. La décoration est l’œuvre de Jean-Philippe Nuel, grand nom de l’architecture intérieure, qui a travaillé étroitement avec Patrick Bruel. “On ne voulait pas un hôtel lambda, on voulait qu’il s’intègre dans le paysage, le patrimoine et l’histoire de L’Isle-sur-la-Sorgue”, a expliqué le chanteur au Dauphiné Libéré.

Résultat ? Des matériaux nobles et naturels, des objets chinés chez les antiquaires du coin, et une ambiance feutrée qui invite à la détente. Dans l’immense pièce de vie, un bar circulaire trône sous une majestueuse verrière. Partout, l’art est roi. “On a une centaine de points d’exposition, jusque dans les couloirs des chambres et dans les sous-sols“, a précisé Patrick Bruel, qui suit chaque détail avec exigence. De René Char à Albert Camus, de Miro à Pétrarque, qui a même droit à un salon à son nom, les grandes figures culturelles régionales s’invitent dans les espaces. “Il y a même Renaud qui est à l’honneur”, a souri l’artiste, en pensant à son ancien voisin. Les 49 chambres, dont 11 suites, ont toutes été personnalisées. Chacune raconte sa propre histoire, grâce aux pièces chinées, aux meubles en bois massifs et à l’élégance discrète de la pierre de travertin dans les salles de bain. Les grandes fenêtres ouvrent sur un patio arboré où s’épanouit une piscine, tandis que le spa L’Olivier de Leos, avec hammam, sauna, snow cave et douches sensorielles, promet de véritables parenthèses de bien-être. Pour Patrick Bruel, L’Isle de Leos est bien plus qu’un lieu de passage. Il veut en faire une porte d’entrée sur la Provence. Au programme ? Cueillette du thym sauvage au printemps, vendanges l’été, récolte des olives à l’automne, recherche de truffes en hiver… autant d’activités qui seront proposées aux clients, en immersion sur le domaine. “Quand on vient dans un lieu aussi emblématique que la Provence, on a envie d’être imprégné par son histoire, sa culture, ses traditions. J’aime que mon hôtel raconte quelque chose sur cette terre bénie des dieux”, a-t-il assuré.
Une table gastronomique et un chef à suivre
L’hôtel s’étend sur 2 600 m² et comprend aussi une cave de dégustation, deux salles de réunion, une galerie d’art et une boutique consacrée aux produits du Domaine de Leos. Le tout sous l’enseigne MGallery du groupe Accor, qui regroupe une centaine d’hôtels de prestige à travers le monde. Côté cuisine, La Roue, le restaurant gastronomique de l’hôtel, est dirigé par un jeune talent, Yon Masurel. La cuisine se veut inventive, et enracinée dans le terroir. Juste à côté, Patrick Bruel a installé un élément très personnel : son orgue de Barbarie. “ Il s’appelle Bob, ‘Bel Orgue de Barbarie’. Je viendrai tourner la manivelle de temps en temps”, a-t-il confié. L’instrument l’avait accompagné en tournée en 2002, lorsqu’il rendait hommage aux chansons des années 30. Entre l’orgue et une cuisine ultra-moderne, un vieux billot en bois symbolise la philosophie de l’artiste : “Tout est une question d’équilibre. On ne renie pas notre passé, mais on va de l’avant”. Voilà qui est dit !
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