Julia Roberts brise 30 ans de silence : la confession bouleversante sur Richard Gere

🔆Julia Roberts breaks 30 years of silence: what she confesses about Richard  Gere shocks everyone. - YouTube

Trente ans de silence viennent de s’effondrer d’un souffle. Julia Roberts, l’icône absolue de Hollywood, a enfin choisi de parler. À 57 ans, l’actrice a ouvert son cœur dans une confession d’une sincérité désarmante, évoquant son histoire cachée avec Richard Gere, son partenaire mythique dans Pretty Woman. Ce qu’elle révèle dépasse la simple nostalgie du cinéma : c’est une histoire d’amour interdite, brûlante, que le temps n’a jamais pu effacer.

« Je ne parle pas pour raviver un scandale. Je parle parce que le silence devient parfois une cage. »
— Julia Roberts

Un regard, une étincelle

Tout a commencé en 1989, bien avant que Pretty Woman ne devienne un phénomène planétaire. Julia n’avait que 22 ans, encore incertaine, timide, à mille lieues de la star planétaire qu’elle allait devenir. Face à elle, Richard Gere, 40 ans, déjà auréolé de charisme et de mystère. L’audition devait être une formalité ; elle fut une révélation.
« Il m’a regardée comme personne ne l’avait jamais fait », confie Julia. Ce regard, ce “d’accord gamine” prononcé à mi-voix, a scellé le début d’un lien que ni le temps, ni la gloire, ni les mariages n’ont su briser.

Quand la fiction devient réalité

Sur le plateau de tournage, la frontière entre le jeu et la vie s’est effacée. Chaque geste, chaque sourire, chaque baiser filmé vibrait d’une vérité que ni l’un ni l’autre n’osaient nommer. « Quand il me disait tu es belle, ce n’était plus du cinéma », avoue l’actrice. Pretty Woman les a propulsés au rang de couple mythique du grand écran, mais derrière les projecteurs, une autre histoire se jouait — secrète, fragile, incandescente.

Le succès du film fut un ouragan. Le monde entier rêvait du conte de fées. Eux tentaient de survivre à une passion impossible. Leurs rencontres, volées aux calendriers hollywoodiens, se faisaient à l’abri des regards, entre hôtels de Beverly Hills et appartements new-yorkais. Deux chambres réservées côte à côte, deux cœurs battant à l’unisson dans l’ombre.

Une fuite et une vérité

L’été 1991 marqua un tournant. Julia, sur le point d’épouser Kiefer Sutherland, fuit le mariage trois jours avant la cérémonie. La presse la baptise “la mariée en fuite”, sans savoir qu’elle fuyait vers la seule vérité qu’elle connaissait.
Sur une plage de Californie, Richard la rejoint. « Tu n’as pas fui, Julia, tu as couru vers la vérité », lui murmure-t-il. Des mots comme une délivrance, mais aussi comme une condamnation : leur amour, aussi pur qu’interdit, ne pouvait exister au grand jour.

Peu après, Richard épouse Cindy Crawford. Julia, blessée, tente d’oublier dans d’autres bras. Mais ni Lyle Lovett ni le temps ne parviennent à effacer l’empreinte laissée par ce premier regard. « Je croyais qu’un autre nom m’aiderait à l’oublier. Mais dès la nuit de noces, j’ai su que j’avais tort. »

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Le retour du destin : Runaway Bride

En 1999, le destin joue à nouveau avec eux. Gary Marshall, le réalisateur de Pretty Woman, les réunit pour Runaway Bride. Dix ans ont passé, les rides se sont posées, mais la flamme, elle, n’a pas faibli. « Quand je l’ai revu, tout est revenu. Le temps n’avait rien effacé. »
Sur le tournage, la tension est palpable, les disputes fréquentes. Sous chaque réplique se cache une vérité qu’ils n’osent plus dire. Lors de la scène du mariage, un simple échange de regard suffit à raviver l’évidence : ils ne jouent plus. Quand il lui murmure tu me manques, Julia sent ses genoux fléchir. Ce jour-là, les caméras ont filmé bien plus qu’une comédie romantique : elles ont immortalisé un adieu.

Une paix fragile

Les années ont passé. Julia a bâti une vie tranquille avec Daniel Moder, loin du tumulte hollywoodien. Trois enfants, une maison au bord de la mer, des rires simples. « C’est ce que je croyais vouloir : la normalité », confie-t-elle. Et pourtant, certaines nuits, quand le silence s’étire et que la lune éclaire Malibu, un souvenir refait surface — un regard, une voix, un mot : tu me manques.

Richard Gere, lui aussi, a trouvé la paix. Marié, père de famille, apaisé. Mais dans le cœur de Julia, la cicatrice reste douce, presque bienveillante. « Ce n’est pas un regret amer. C’est une trace tendre, comme une blessure qu’on ne veut pas guérir. »

Un amour éternel

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Julia Roberts ne cherche ni pardon ni scandale. Elle cherche seulement à “laisser respirer la vérité”. Son témoignage, empreint de pudeur et de poésie, rappelle que certaines histoires ne s’écrivent pas sous les projecteurs.
« Le temps n’efface rien, dit-elle. Il nous apprend simplement à vivre avec ce qui ne s’efface pas. »

Son histoire avec Richard Gere n’a peut-être jamais été destinée à durer, mais elle a marqué leur vie comme une empreinte ineffaçable. Deux âmes liées par un rôle devenu mythe, par une émotion que le cinéma a figée pour l’éternité.

Aujourd’hui, quand Julia ferme les yeux, elle revoit cette salle d’audition, ce papier froissé sur lequel elle avait écrit “S’il te plaît, dis oui.”
Et dans le silence du souvenir, elle entend encore la voix de Richard répondre :

“D’accord, gamine.”

Un mot banal, un destin scellé — et peut-être, la plus belle histoire d’amour jamais jouée à Hollywood.