Star Academy 2025 : Marlène Schaff perd patience face aux élèves, son gros coup de gueule en direct.

Le silence assourdissant après le coup de tonnerre de Marlène
Le château de Dammarie-lès-Lys, habituellement le théâtre d’une effervescence créative et d’une camaraderie touchante, s’est transformé ce mercredi de novembre en une zone de haute tension palpable. L’atmosphère était lourde, électrique, presque irrespirable. Et l’onde de choc n’est pas venue d’une énième dispute entre élèves, mais d’une figure que l’on croyait imperméable aux éclats de voix : Marlène Schaff. La professeure d’expression scénique, reconnue pour sa douceur, sa bienveillance et une approche pédagogique quasi maternelle, a perdu son sang-froid face à ce qu’elle a perçu comme une attitude inacceptable à l’approche du prime décisif.
Cet événement, capturé en direct, est bien plus qu’une simple anecdote de téléréalité ; il est le signal d’alarme d’un niveau d’exigence professionnelle qui grimpe en flèche, brisant l’illusion de la bulle enchantée. Le ton a changé, et la raison de cette fâcherie mémorable est aussi simple que cruciale : les retards répétés lors des répétitions du tableau d’expression scénique.
L’incident qui a mis le feu aux poudres : la déconvenue de Jeanne
Le moment de rupture est arrivé lors du cours d’expression scénique, un pilier de la formation à la Star Academy. Marlène Schaff était sur le point d’enchaîner l’équipe bleue avec l’équipe rose pour peaufiner leur prestation sur le titre culte de Jean-Jacques Goldman, « Là-bas ». Mais l’organisation millimétrée de la professeure a été perturbée.
La jeune élève Jeanne est arrivée en courant, visiblement stressée et embarrassée, multipliant les excuses. C’en était trop. Pour Marlène, dont chaque seconde de cours est optimisée pour préparer les élèves à l’échéance du prime, ce manque de ponctualité n’était pas un simple manquement à la politesse, mais un manque de respect envers le processus, l’équipe, et le temps imparti. Déjà agacée par la désinvolture latente, la professeure n’a pas mâché ses mots.
Avec une fermeté glaciale, elle a rétabli l’autorité dans la salle : « On a que trente minutes donc il s’agit de ne pas déconner ». Un rappel à l’ordre sec, sans appel, qui a eu l’effet d’une douche froide sur l’ensemble des académiciens. Dans un lieu où l’on s’attend à être encouragé et materné, entendre un tel discours d’une figure tutélaire a instantanément calmé les esprits et rappelé à tous l’enjeu réel de leur présence. C’était un moment de vérité brute, arrachant le voile de la légèreté.
Les enjeux de la semaine : La pression atteint son paroxysme
L’explosion de Marlène Schaff n’est pas isolée ; elle s’inscrit dans un contexte de compétition exacerbée. Après le départ récent d’un élève, les académiciens restants ont été répartis en trois groupes pour les évaluations. Seuls les « Jaunes » – Emma, Bastien, Léa, Lily, et Victor – ont pu souffler après avoir été immunisés par le corps professoral.
Les « Roses » (Jeanne, Anou, Léan, Théop, et Thol) et les « Bleus » (Noah, Sarah, Ambre, Léo, et Mélissa) devront s’affronter lors du prime le vendredi suivant. Leur survie ne tient qu’à un fil, et le défi imposé est multiple, exigeant une polyvalence totale :
Les trois épreuves décisives du prime :

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Prestation vocale : Sur le titre épique « Believer » d’Imagine Dragons.
Battle de danse : Une chorégraphie énergique sur « Pump It » des Black Eyed Peas.
Épreuve d’expression scénique : Le fameux tableau « Là-bas » de Jean-Jacques Goldman, source de l’incident.
C’est justement dans cette dernière épreuve que l’exigence de Marlène prend tout son sens. Elle a rappelé les consignes complexes : les équipes disposent de trente secondes d’introduction musicale pour créer un texte d’accroche percutant et planter le décor, avec la possibilité d’utiliser les tampons et la tournette sophistiquée du plateau. Ce n’est plus une simple chanson ; c’est un acte théâtral, une mini-comédie musicale où le moindre retard, la moindre hésitation, peut coûter l’élimination. Le stress et l’épuisement accumulés sont des facteurs, mais la professeure leur a rappelé que le monde professionnel, lui, n’attend pas.
La légitimité d’une méthode : Marlène face aux critiques
Ce coup de gueule, bien que surprenant, est paradoxalement la plus grande preuve de la justesse de la pédagogie de Marlène. Elle s’est récemment retrouvée au centre d’une polémique stérile sur les réseaux sociaux, où certains téléspectateurs la jugeaient « trop gentille » et réclamaient une main plus dure, voire punitive, pour les élèves.
Habituée à défendre son approche humaine et respectueuse, Marlène avait répondu avec une clarté désarmante sur Instagram, dénonçant l’apprentissage par l’humiliation, une méthode archaïque qui ne fait que briser les artistes en devenir. « Je suis navré que vous ayez habitué au coup de bâton et j’espère que ce n’est pas un esprit vengeur qui vous pousse à vouloir continuer le cercle vicieux de l’apprentissage par l’humiliation ». Elle a conclu son message en affirmant avec assurance : « J’ai la prétention de croire au vu des résultats des artistes avec qui j’ai travaillé jusqu’ici que je peux rester gentille ».
Ce passé de bienveillance et cette conviction profonde confèrent à son rappel à l’ordre de ce mercredi une autorité incontestable. Il ne s’agit pas d’une colère arbitraire, mais d’une exigence mesurée. Marlène n’a pas crié pour punir l’élève, mais pour sauver l’artiste. Elle n’a pas sacrifié sa douceur, mais l’a temporairement mise de côté pour faire passer un message fondamental : le respect des délais et le sens du collectif sont aussi importants que la justesse d’une note ou l’intensité d’un regard sur scène.
Leçons de professionnalisme : Le château des étoiles est aussi une école de rigueur
L’incident de ce mercredi restera gravé dans les mémoires des académiciens, non pas comme une humiliation, mais comme une leçon essentielle de professionnalisme. L’intensité des cours, la préparation physique et mentale, l’absence de sommeil et la pression constante des caméras ont créé un environnement où l’épuisement guette. Mais l’arrivée sur scène, face à des millions de téléspectateurs, exige un niveau de concentration et de rigueur qui ne souffre aucune approximation.

Le corps professoral, dans son ensemble, veille à ce que chaque élève trouve sa vérité sur scène. Ce coup de gueule est un signal : la phase de découverte est terminée. À quelques jours du prime, le sérieux est plus que jamais de mise, et il est temps de transformer le talent brut en discipline artistique.
Entre stress, compétition acharnée et une dose d’émotion brute, cette semaine s’annonce décisive et pleine de rebondissements. La tension, démarrée par l’éclat de la professeure la plus douce, promet de monter encore d’un cran. Les académiciens ont reçu leur avertissement. Reste à savoir qui saura tirer les leçons de cette colère historique pour triompher sur scène ce vendredi soir.
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