Le 9 juillet 2025 restera à jamais gravé dans le cœur de Jordan Mouillerac et de sa compagne Jessica Sent. Ce jour-là, le danseur révélé dans Danse avec les stars a vu sa vie basculer à tout jamais : il est devenu papa pour la toute première fois.

Leur petite fille, prénommée Noa, est venue au monde, illuminant leur existence d’un bonheur inégalé. Mais si cette naissance a été source d’immense joie, elle s’est également accompagnée d’un petit bouleversement, d’une “particularité” qui rend déjà Noa profondément unique.

Une naissance attendue avec émotion

Sur leurs réseaux sociaux, le couple n’a pas tardé à partager la bonne nouvelle. Le 17 juillet, une série de clichés tendres dévoilait les premiers instants de vie de Noa. Blottie dans les bras de ses parents, la petite fille apparaît paisible, entourée d’amour. En légende, Jordan et Jessica ont écrit des mots pleins de tendresse :« Noa, notre fille, notre plus belle victoire, est née ce 9 juillet. Merci la vie pour ce cadeau, nous t’avons tant attendue. Ton arrivée scelle notre plus belle aventure : notre famille. Nous t’aimons bien plus que les mots. »

Un message simple mais bouleversant, qui témoignait déjà de la profondeur de leur lien avec ce bébé tant désiré. Noa vient également agrandir une famille déjà composée de Lara, la fille aînée de Jessica née d’une précédente relation, qui endosse aujourd’hui avec fierté et douceur son rôle de grande sœur.

Une “particularité” révélée avec pudeur et fierté

Ce lundi 4 août, soit quelques semaines après l’annonce de la naissance, Jordan Mouillerac et Jessica Sent ont de nouveau pris la parole sur Instagram. Cette fois, c’est une vidéo pleine de douceur qui est apparue dans le fil d’actualité de leurs abonnés. On y découvre des moments complices entre Noa et sa sœur Lara : des rires, des câlins, des regards émerveillés. Mais au-delà des images, c’est le message en légende qui a ému profondément leurs fans.

Le couple y révèle que Noa est née avec une particularité physique :« Un dessin sur la peau. Un angiome plan. Il couvre son bras, sa main, son épaule, une partie de son torse. Il est là, bien visible, comme une signature que la vie lui a laissée. »

Un angiome plan, aussi appelé “tache de vin”, est une malformation vasculaire bénigne. Non douloureux, non dangereux pour la santé, il marque cependant la peau d’une teinte rosée ou violacée, visible et permanente. Et si médicalement, il n’y a aucune inquiétude à avoir, les jeunes parents avouent néanmoins avoir traversé quelques tourments, non pas à cause de la santé de leur fille, mais à cause du regard du monde.

“Le monde, le regard des gens, les jugements silencieux”

Jordan et Jessica confient avec sincérité leurs appréhensions face à cette différence visible.« Oui, c’est juste esthétique et elle est en bonne santé. Mais on a eu peur. À cause du monde. Du regard des gens. Des questions qu’on lui posera. Des jugements silencieux qu’elle croisera peut-être. »

C’est une réflexion lucide, presque universelle, sur la difficulté d’être différent dans une société encore trop souvent prisonnière des apparences. En évoquant leurs craintes, les deux parents mettent des mots sur une réalité que vivent de nombreux enfants marqués par des différences physiques.

Mais loin de s’arrêter à l’inquiétude, leur message prend un tournant profondément lumineux.

“Elle est unique. Et nous l’aimons exactement comme ça.”

Dans la suite de leur publication, Jordan Mouillerac et Jessica Sent livrent un véritable plaidoyer pour l’amour inconditionnel et l’acceptation de soi :« Elle est unique. Et si la différence fait parfois peur, elle fait surtout la beauté du monde. Elle grandira avec cette couleur en plus. Et nous, nous serons là, pour l’aimer, la rassurer, lui rappeler chaque jour à quel point elle est belle. Avec ou sans cette particularité. Parce qu’elle est bien plus que ce qu’on voit. »

Un message vibrant, à contre-courant des standards de perfection souvent véhiculés sur les réseaux sociaux. Ici, pas de filtre pour dissimuler. Pas de volonté de gommer l’imperfection. Au contraire, c’est un hymne à la beauté réelle, à la richesse de la singularité, à la force de la différence.

Et la déclaration se termine sur une note aussi simple qu’infiniment puissante :« C’est tout. C’est elle. Et nous l’aimons exactement comme ça. »

Une vague d’amour et de soutien

À la suite de cette publication, les commentaires bienveillants n’ont pas tardé à affluer. De nombreux abonnés ont salué le courage, la douceur et la sincérité du couple. Des parents ont également partagé leurs propres expériences avec des enfants nés avec des particularités similaires, créant ainsi une chaîne de solidarité émouvante.

Car en osant prendre la parole sur ce sujet encore tabou, Jordan Mouillerac et Jessica Sent ont contribué à faire tomber des murs. À ouvrir un espace de discussion. Et surtout, à rappeler à tous que la différence n’est ni une faiblesse ni une anomalie, mais une richesse à embrasser pleinement.

Une leçon d’amour pour les générations futures

Au-delà de l’histoire personnelle de Noa, cette publication porte un message universel. Dans un monde où les réseaux sociaux dictent trop souvent une image idéalisée de la vie et des corps, voir un couple médiatisé parler avec autant d’honnêteté de la particularité de leur enfant est un acte fort.

Jordan Mouillerac, connu pour sa grâce sur la piste de danse, vient ici de poser un geste d’une beauté encore plus grande : celui d’un père qui regarde sa fille non pas pour ce qu’elle pourrait cacher, mais pour tout ce qu’elle est.

Et si Noa a hérité d’un “dessin sur la peau”, elle a surtout reçu, dès ses premiers jours, une immense leçon d’amour, de tolérance et de fierté.