L’atmosphère au-dessus du football français, déjà chargée d’électricité depuis les rumeurs persistantes d’un malaise chronique chez la star planétaire, a été balayée par une onde de choc d’une intensité rare suite aux révélations fracassantes de Romain Molina, le journaliste français réputé pour son réseau d’informateurs et son indépendance farouche, qui a récemment levé le voile sur les véritables et surprenantes raisons qui se cachent derrière la non-convocation de Kylian Mbappé pour le rassemblement de l’équipe nationale de France prévu ce mois de novembre ; cette absence, officiellement justifiée par un accord mutuel et une volonté de la part du sélectionneur Didier Deschamps de gérer l’équilibre de son groupe, a en réalité masqué un conflit d’une gravité inédite et des intentions personnelles de la part du joueur qui pourraient redéfinir, voire mettre un terme prématuré, à son histoire légendaire avec les Bleus ; alors que le technicien champion du monde s’était exprimé publiquement avec la sérénité et le pragmatisme qui le caractérisent, expliquant que l’absence de la star du Real Madrid pour les prochains matchs de la Ligue des Nations était une décision mûrement réfléchie et consensuelle, affirmant même avoir échangé “franchement” avec le capitaine et que ce dernier, contrairement aux apparences, tenait à rejoindre la sélection, cette version des faits, destinée à éteindre l’incendie médiatique et à préserver l’image de l’unité nationale, a été pulvérisée par les fuites de Molina, qui ont dessiné un tableau bien plus sombre, celui d’une rupture en cours, d’un désenchantement profond et d’une lassitude du joueur face à l’environnement fédéral.

La véritable bombe réside en effet dans l’affirmation, relayée par le journaliste d’investigation, que Mbappé aurait tout simplement signifié son intention de ne plus vouloir jouer pour l’équipe nationale de France dans les conditions actuelles, une prise de position radicale qui, si elle se confirmait, irait bien au-delà d’une simple mise au repos ou d’une rotation d’effectif, mais constituerait un acte de défiance retentissant et un tournant décisif dans la carrière internationale de l’attaquant, laissant planer le doute le plus total et le plus pessimiste sur son retour sous le maillot tricolore, à moins qu’un changement majeur et imprévisible ne vienne apaiser les tensions sous-jacentes et les frustrations accumulées ; cette double non-convocation, l’actuelle s’ajoutant à un précédent récent, est désormais interprétée non pas comme une mesure technique de la part de Deschamps, mais comme le résultat direct d’une profonde mésentente, d’un fossé idéologique et relationnel qui se creuse inexorablement entre le sélectionneur, garant de l’institution, et l’attaquant, figure tutélaire de la nouvelle génération.

Ce désaccord, dont la nature exacte reste enveloppée du secret des alcôves du football de haut niveau, pourrait trouver son origine, selon une autre source tout aussi alarmante, dans le sentiment de persécution et d’injustice que ressentiraient le joueur et sa mère, Fayza Lamari, également son agent, face au traitement médiatique français qu’ils jugent partial, excessif et même hostile, créant chez eux une psychologie de bunker, le sentiment d’être obligés de se battre “contre le monde entier” ; cette pression insupportable, alimentée par la loupe constante et souvent critique des médias hexagonaux, aurait érodé le plaisir et l’engagement du joueur envers l’équipe nationale, faisant du rassemblement un lieu de tension plutôt qu’un havre de paix et de compétition. Cette crise intervient, de surcroît, à un moment particulièrement vulnérable de la trajectoire professionnelle de Mbappé, qui peine ostensiblement à trouver ses marques et son rythme de croisière au Real Madrid, le club de ses rêves, une situation qui, loin d’atténuer les exigences, les amplifie de manière exponentielle, car les statistiques récentes dessinent un tableau d’une efficacité inhabituellement faible, avec seulement huit buts marqués en quinze apparitions pour les Merengue et, plus inquiétant encore, une seule réalisation lors de ses six dernières sorties, un bilan famélique pour un joueur de son calibre et de son coût, rendant la pression sur ses épaules presque insoutenable et expliquant, peut-être, l’épuisement mental qui le pousse désormais à envisager une parenthèse internationale ou même un retrait définitif ; l’imbrication de ces facteurs négatifs – les difficultés d’adaptation en club, le sentiment d’injustice médiatique et le conflit larvé avec le sélectionneur – a créé un cocktail explosif qui menace l’avenir même de l’attaquant en sélection nationale, un avenir qui était pourtant destiné à être écrit en lettres d’or.

Pendant ce temps, alors que le monde du football retient son souffle devant cette saga qui conjugue sport et psychodrame, les acteurs principaux de ce scénario digne d’une tragédie grecque, à savoir Kylian Mbappé, le sélectionneur Didier Deschamps et la Fédération Française de Football (FFF), observent un silence assourdissant et parfaitement orchestré, refusant d’apporter le moindre commentaire ou démenti aux révélations brûlantes, laissant le champ libre à toutes les interprétations, à toutes les rumeurs et aux spéculations les plus folles, un silence qui, dans le contexte d’une crise de cette envergure touchant le joueur le plus important du pays, est bien plus éloquent et dévastateur que n’importe quelle déclaration publique. Ce mutisme institutionnel ne fait qu’épaissir le mystère sur la nature exacte et l’issue de ce bras de fer, laissant l’image du capitaine de l’équipe de France, jadis symbole d’une jeunesse triomphante et unificatrice, se fissurer dangereusement sous le poids conjugué de la gloire, de la pression et des conflits de pouvoir, avec l’épée de Damoclès d’une retraite internationale prématurée et non souhaitée par la nation planant au-dessus de son destin.