💔🎤 “Elle voulait offrir un rêve au public, mais a perdu des fortunes année après année” : Zaz révèle le sacrifice douloureux qui a failli briser sa carrière et son cœur

REGARDEZ Zaz lance un videoclip rempli d'espoir

Zaz, l’icône au timbre unique qui a conquis la France et le monde, cache derrière son sourire solaire une blessure intime. Celle qui chante depuis quinze ans que “l’argent ne fait pas le bonheur” vient d’avouer, la gorge serrée, qu’un projet qui lui tenait profondément à cœur s’est transformé en gouffre financier. Et la révélation a fait l’effet d’une bombe : la chanteuse, adulée sur toutes les scènes de la planète, a dû abandonner son propre festival, le fameux Crussol Festival en Ardèche, après sept années de batailles et… des pertes colossales.


🎶 Du rêve à la réalité : l’histoire d’un festival pas comme les autres

Tout commence en 2016. À l’époque, Zaz n’est pas seulement une chanteuse reconnue, mais une artiste engagée, viscéralement attachée à la nature, à la convivialité et au partage. Son idée ? Créer un festival écologique, solidaire et musical, un rendez-vous où l’art rimerait avec conscience. Baptisé Crussol Festival, il se voulait le reflet d’une vision : prouver qu’on pouvait faire la fête sans détruire la planète.

Et le pari semblait gagné : deux années de suite, le festival fut élu “événement le plus green d’Europe”. Panneaux solaires, circuits courts, recyclage à tous les niveaux… tout respirait l’authenticité. Le public suivait, les artistes aussi.

Mais derrière les projecteurs, les chiffres, eux, n’étaient pas au rendez-vous.


💸 “Je perdais de l’argent tous les ans”

Dans un entretien au Parisien en juillet dernier, Zaz lâche la vérité sans détour :

“Je l’ai porté pendant sept ans. L’an dernier, je leur ai dit que je ne pouvais plus assumer les pertes financières et j’ai passé le flambeau aux élus de la communauté de communes.”

Ces mots résonnent comme une confession amère. Chaque été, malgré la ferveur du public et les louanges de la presse, le festival creusait un trou béant dans ses finances personnelles. Zaz, de son vrai nom Isabelle Geffroy, finançait elle-même ce rêve. Et année après année, la facture devenait insoutenable.

Zaz - Page 3 sur 4 : Actualité et Infos - Public

Elle aurait pu, comme beaucoup, fermer les yeux et laisser couler. Mais non : fidèle à sa sincérité brutale, elle a préféré dire stop.


🌍 Une vision plus forte que l’argent

Si elle a tenu si longtemps, c’est parce que, pour Zaz, l’argent n’a jamais été le moteur. Depuis ses débuts fracassants avec Je veux, l’artiste proclame haut et fort que “l’argent ne fait pas le bonheur”. Et elle vit ses paroles.

“L’argent ne m’a pas servi à m’offrir une maison de campagne, mais à investir dans mon festival, dans des associations… Et c’est très cool.”

Ce choix, radical, tranche avec l’image habituelle des stars qui amassent fortunes et villas luxueuses. Elle, au contraire, a tout réinvesti dans des projets collectifs, quitte à mettre en péril ses propres économies.


🎤 The Voice, les tournées, et une artiste inarrêtable

Car Zaz ne s’arrête jamais. En parallèle du festival, elle enchaîne les tournées mondiales, de São Paulo à Tokyo. Elle revient régulièrement triompher dans les festivals français – Carcassonne, Stimmen, et bien d’autres – tout en gardant une proximité étonnante avec son public.

Cette année encore, elle s’est réinventée : coach dans la douzième édition de The Voice, elle a partagé l’affiche avec Vianney, Florent Pagny et Patricia Kaas. Si des rumeurs de tensions ont filtré, elle a prouvé une nouvelle fois sa force de caractère et son professionnalisme.


🏡 Une “baraque biscornue” et une vie simple

Contrairement aux apparences, la chanteuse vit loin des paillettes. Son havre de paix ? Une maison atypique près de Tours, qu’elle surnomme elle-même sa “baraque biscornue”. Là, elle cultive son goût pour la simplicité, loin des clichés du star-system.

Et c’est peut-être cette simplicité qui l’a poussée à rêver d’un festival différent, loin des mastodontes commerciaux. Mais la réalité économique, elle, ne pardonne pas.


😢 Le deuil d’un rêve… mais pas de son essence

L’abandon du Crussol Festival reste pour Zaz une plaie encore vive. Pourtant, elle choisit d’en retenir le positif :

“Je suis hyper heureuse de ce qu’on a fait. On a été élus deux années de suite ‘festival le plus green d’Europe’… Mais je perdais de l’argent tous les ans.”

En juillet dernier, une édition réduite et gratuite a tout de même eu lieu, preuve que son héritage continue. Mais ce n’est plus son combat. Elle a transmis le flambeau, non sans douleur, aux élus locaux.


🎶 “Sains et saufs” : un album comme une renaissance

Zaz: "Je pardonne pour me libérer de mon histoire" - 20 minutes

Ironie du destin, alors même qu’elle dit adieu à son festival, Zaz revient avec un nouvel album, son sixième, intitulé “Sains et saufs”, prévu pour septembre prochain. Tout un symbole : comme si elle voulait montrer qu’après les épreuves, on peut renaître.

Dans cet opus, elle promet des chansons plus personnelles, plus intimes, où elle parlera de ses combats, de ses désillusions mais aussi de son espoir inextinguible. Et ses fans, déjà, trépignent.


💔 Entre lumière et blessures

Zaz est de ces artistes qui ne trichent pas. Elle donne, elle se donne, quitte à tout perdre. Son festival en Ardèche restera comme l’exemple parfait : un rêve d’artiste broyé par la dure loi de l’économie, mais aussi une aventure humaine inoubliable.

Elle aurait pu cacher cette défaite, la maquiller en “pause”. Mais non. Elle a préféré la vérité crue, celle qui fait mal mais qui inspire.


🔮 Et maintenant ?

À 44 ans, la chanteuse évoque aussi son désir de maternité, un rêve personnel qui pourrait bien, un jour, se réaliser. En attendant, elle continue de tracer sa route, entre concerts, albums et projets toujours plus atypiques.

Car Zaz n’est pas qu’une voix. Elle est un symbole : celui d’une artiste libre, qui préfère perdre de l’argent que de perdre son âme.


👉 Un paradoxe qui fascine : dans une industrie obsédée par le profit, Zaz reste fidèle à son credo : “Donner du sens avant de donner des chiffres.”

Et peut-être est-ce là, finalement, le vrai secret de son succès.