Star Academy 2025 : Marlène Schaff furieuse après le raté monumental des élèves sur ‘Shape of You’ !

Le Château de Dammarie-les-Lys est un lieu où les rêves prennent forme, où les talents individuels sont polis pour atteindre l’éclat des étoiles. Cependant, le rêve a pris une teinte amère ce dimanche 3 novembre 2025. Au lendemain d’un troisième Prime spectaculaire, riche en émotions et en invités de marque, l’atmosphère est devenue glaciale. La raison ? Une critique sans appel, un véritable « carton rouge » asséné par la professeure d’expression scénique, Marlène Schaff, en réaction à la prestation collective, la fameuse « collégiale », de la promotion 2025 sur le tube planétaire d’Ed Sheeran, Shape of You. Ce n’était pas une simple remontrance, mais un coup de semonce brutal qui a rappelé aux académiciens – et au public – que dans l’univers impitoyable de la Star Academy, le talent individuel ne suffit pas : la cohésion est la clé de la magie.
L’enjeu de la collégiale : entre unité et chaos
Le Prime de samedi soir sur TF1 était très attendu, notamment grâce à la présence du phénomène mondial Ed Sheeran, un parrain d’exception, avec qui les élèves ont eu l’honneur de partager la scène, en duo et en collégiale. Historiquement, la collégiale est le moment le plus symbolique de chaque Prime de la Star Academy. Elle est bien plus qu’une simple chanson chorale ; elle est le baromètre de l’harmonie, de la discipline collective et de la capacité des élèves à fusionner leurs ego et leurs voix en un seul corps artistique. Elle doit incarner l’âme de la promotion.
Ce troisième Prime devait célébrer cette unité autour d’une chanson entraînante, mais l’exécution a été un désastre en coulisses, du moins aux yeux de Marlène Schaff. Lorsque le débriefing s’est ouvert, l’air s’est épaissi. La professeure, connue pour son exigence mêlée de bienveillance, n’a pas cherché à adoucir la pilule. Ses premières phrases ont été d’une franchise dévastatrice, résonnant comme un écho froid dans la salle de visionnage : « Les amis, je me suis ennuyée. »
Ce mot, « ennuyée », est sans doute la pire sentence qu’un artiste puisse entendre. Il sous-entend un manque d’énergie, d’intention, de vie. Marlène Schaff a poursuivi son diagnostic sans pitié, dénonçant une performance qui n’a pas su captiver le spectateur malgré sa courte durée : « Je n’ai pas compris ce qu’il se passait. C’est une prestation qui a duré 2 minutes 30 et on a l’impression que ça a duré 5 heures. » L’étirement subjectif du temps est le signe d’une platitude et d’un manque d’enjeux scéniques cruels pour une émission de télévision dont le rythme et l’éclat sont la signature.
Le diagnostic impitoyable : de l’originalité à la « kermesse »
Au-delà de l’ennui, la critique de Marlène Schaff s’est concentrée sur deux points cruciaux qui ont transformé l’ambition en amateurisme. Le premier, et le plus emblématique, est le manque criant de cohésion et d’unité. La professeure a souligné que, pris individuellement, les élèves sont des talents bruts, des personnalités uniques : « Vous êtes tous des individus parfaitement originaux. » Cependant, cette originalité n’a pas été mise au service du collectif. Au contraire, elle s’est heurtée à un mur d’isolation.
Et c’est là que le terme le plus humiliant de la soirée est tombé, celui qui risque de marquer durablement les esprits de cette promotion : « Mais si vous ne vous connectez pas, ça fait kermesse. » L’utilisation du mot « kermesse » est un coup de marteau sur la tête des académiciens. Ce mot renvoie à une fête de village improvisée, au chaos joyeux, mais dénué de toute rigueur professionnelle. Il s’oppose de manière frontale à la grandeur et à l’excellence attendues d’un Prime Time diffusé sur une chaîne nationale. Il signifie, en substance, que leur performance, malgré la présence d’une star internationale, n’avait rien d’un spectacle de haut niveau, mais tout d’un brouillon désorganisé.
Le second point de friction était d’ordre technique, mais tout aussi révélateur d’un manque de préparation et de respect pour l’œuvre. Marlène Schaff a pointé du doigt les erreurs de prononciation en anglais, notamment sur des mots aussi basiques que “and” et “it”. Ces fautes, petites en apparence, témoignent d’une négligence dans l’appropriation du texte. Pour un artiste, chanter dans une langue étrangère impose une double exigence : la justesse vocale et la crédibilité linguistique. Rater des liaisons ou déformer des mots aussi fréquents montre que les élèves n’ont pas pris le temps de « comprendre le texte et de s’approprier chaque phrase », une étape que la professeure juge fondamentale pour créer un moment fort.
La leçon de l’excellence collective : le passage à la magie

Le génie de Marlène Schaff, et ce qui la distingue d’un simple juge, réside dans sa capacité à transformer une critique acerbe en une leçon constructive et essentielle. Après le choc du « carton rouge », elle a immédiatement basculé dans le rôle de mentor. Son objectif n’était pas de briser, mais de forger.
Elle a insisté sur l’impératif de « rester uni sur scène » et de faire briller chaque instant, quelle que soit la taille du groupe. Elle a rappelé que l’attention du public doit être captée et maintenue sans faille : « Que vous soyez 16, 30 ou 100 sur scène, qu’on ne voie que vous. » Cette injonction est un principe de base de l’expression scénique : la présence doit être totale, l’énergie commune.
Mais l’enseignement le plus précieux concernait l’importance de chaque petite contribution. À ceux qui n’avaient qu’une phrase ou un court passage à chanter, elle a lancé un défi : « Ne jamais sous-estimer une phrase ou un passage. Quand on a qu’une phrase à chanter, faites-moi de la magie avec cette phrase. » Ce conseil est le cœur de la professionnalisation. Il s’agit de passer d’une mentalité de « choriste » à celle d’un « soliste au service du collectif ». Chaque mot, chaque regard, chaque geste doit être intentionnel, chargé d’émotion et de sens.
Marlène Schaff a clairement articulé la nouvelle devise qui doit désormais guider les élèves : le niveau individuel est « excellent », mais il faut désormais « viser l’excellence collective ». L’équation de la réussite, dans la Star Academy, et dans le monde du spectacle en général, est limpide : Technique + Cohésion + Émotion = Magie. Il ne peut y avoir de magie sans les trois.
Un avertissement qui vaut de l’or
Cette mise en garde, bien que violente émotionnellement, est un cadeau. Elle intervient à un moment charnière du programme, juste avant que les enjeux ne se resserrent davantage avec les nominations et les évaluations. Elle rappelle que le talent n’est qu’une matière première. Pour le transformer en art durable, il faut de la discipline, de l’humilité et, surtout, la capacité à travailler en véritable synergie.
Alors que le troisième Prime a également été jalonné de moments de grâce, comme les duos réussis entre les élèves, l’apparition inspirante des anciens académiciens récompensés aux NRJ Music Awards 2025, et d’autres performances individuelles saluées, c’est ce débriefing qui restera gravé dans les mémoires.

Ce « carton rouge » n’est pas une punition, mais une opportunité de croissance. C’est l’instant où les élèves réalisent que le chemin vers la gloire n’est pas seulement pavé de belles voix, mais aussi de travail d’équipe, de rigueur linguistique et d’une connexion émotionnelle ininterrompue. L’excellence collective est la nouvelle barre à franchir. La balle est maintenant dans le camp des académiciens pour transformer cette humiliation en une source de motivation. S’ils intègrent cette leçon, la suite de la Star Academy 2025 pourrait bien basculer vers des sommets de magie scénique que les téléspectateurs attendent désormais avec une impatience renouvelée. Le temps de la kermesse est terminé ; le temps de la perfection commence.
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