Star Academy 2025 : Un groupe mondialement connu sera présent sur le prime  du samedi 1er novembre aux côtés de Charlotte Cardin et Ed Sheeran !

Au fil des saisons et depuis son retour triomphal en 2022, la Star Academy a su réinstaller dans le cœur des téléspectateurs une série de rituels aussi tendres que cruels. Entre les évaluations stressantes, les masterclasses inspirantes et les primes grandioses, une tradition en particulier retient l’attention et fait couler des larmes, tant au château qu’à la maison : la lecture de la lettre d’adieu.

Chaque semaine, le dimanche, lors de la quotidienne, l’élève qui a quitté l’aventure la veille au soir laisse derrière lui un mot. Souvent émouvante, parfois drôle, cette lettre est un témoignage de la solidarité et de la bienveillance qui unit la promotion, un ultime salut avant le retour à la réalité. Cependant, si le moment de la lecture est public et filmé sous toutes les coutures, l’instant où cette missive est rédigée est resté, jusqu’à présent, un secret jalousement gardé des coulisses de l’émission.

Grâce à Lenny, le dernier académicien en date à avoir fait ses valises après un bref mais marquant passage dans la promotion 2025, ce voile de mystère vient d’être levé. Le jeune homme, éliminé après seulement deux semaines d’aventure, a choisi de partager l’envers du décor de ce qui s’avère être un véritable exercice psychologique imposé aux candidats. Sa révélation offre une perspective nouvelle, et franchement déchirante, sur les enjeux émotionnels qui se jouent dans les murs du château de Dammarie-les-Lys.

 

La Lettre de Lenny : L’humour comme bouclier face au départ

 

L’onde de choc de l’élimination de Lenny, malgré sa courte présence, a marqué ses camarades. Fidèle à son esprit léger et à son sens de l’autodérision, le jeune homme n’a pas laissé une lettre larmoyante, mais plutôt une missive teintée d’humour guerrier et décalé. Théopé, en la lisant à haute voix, a déclenché l’hilarité mêlée d’émotion dans le salon. « Si vous voyez cette lettre, c’est comment Derche a pris feu, les balles traversent les tranchées, le temps se fait dur et dans la gadoue », a-t-il écrit, adoptant un ton burlesque pour masquer la sincérité de l’adieu.

Cet humour, c’est l’image de Lenny, mais c’est aussi la preuve que ces lettres, loin d’être un exercice de style uniforme, reflètent l’âme et la personnalité profonde de chaque candidat. Certaines sont des poèmes, d’autres des listes de remerciements, mais elles sont toutes le reflet d’un dernier instant de vérité. Mais la question que les téléspectateurs se posent depuis longtemps est : quand trouvent-ils le temps, le lieu et surtout la force d’écrire ces mots ?

 

Le Vendredi : Jour de répétition, jour de démission

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Lenny a livré la réponse, et elle est plus poignante qu’on ne l’aurait imaginé. Le moment secret n’a pas lieu juste après le prime, dans la précipitation et la déception. Il a lieu bien plus tôt, alors que l’issue du vote est encore incertaine.

« Cette lettre, je l’ai écrite le vendredi en rentrant des répétitions du prime », a révélé Lenny. Le timing est absolument crucial. Le vendredi est le jour de la dernière répétition avec les danseurs et les techniciens, l’ultime moment pour peaufiner la prestation qui doit sauver leur place. C’est une journée d’adrénaline, d’espoir intense, et de pression maximale. Et pourtant, c’est au retour de cette journée, le corps fatigué et le cœur battant, que les trois nominés se voient imposer cet exercice de lucidité cruelle.

C’est le « pacte de l’adieu » : les trois candidats en danger doivent tous, sans exception, rédiger leur lettre de départ. Ils écrivent leurs derniers mots au château tout en espérant, jusqu’à la dernière minute du prime, ne pas avoir à les laisser derrière eux. Ce n’est qu’après avoir écrit que Lenny a pu la glisser « dans la boîte aux lettres de Théopé », prêt à ce que le destin s’accomplisse, quel qu’il soit.

 

L’agonie psychologique de l’incertitude

 

L’aspect le plus frappant de cette révélation réside dans la charge psychologique de l’exercice. Être nominé est déjà un choc, une remise en question. Le vendredi est consacré à la lutte : répéter « au maximum » pour convaincre le public et les professeurs. L’esprit est à la survie, au combat. Or, en rentrant au château, les élèves sont sommés de faire l’exercice inverse : accepter l’éventualité de la défaite, et rédiger l’acte de leur propre sortie.

Lenny le reconnaît : « C’est compliqué parce qu’on ne sait pas si on va partir ou rester ». C’est une dualité déchirante. D’un côté, ils révisent leurs chorégraphies et leurs notes, pleins d’espoir pour le Prime du samedi. De l’autre, ils doivent se confronter à l’idée que tout est fini, que leur rêve peut s’arrêter dans moins de vingt-quatre heures.

L’écriture devient alors un exutoire forcé, une thérapie de l’incertitude. Comment rédiger un message sincère quand on refuse d’y croire ? Faut-il choisir un ton grave pour la tristesse ou l’humour pour dédramatiser ? L’élève est pris au piège entre la nécessité de se battre et l’obligation de s’incliner par anticipation. Cet instant, non filmé, est sans doute l’un des plus lourds émotionnellement de toute la semaine pour les candidats, bien plus que les évaluations elles-mêmes. C’est la cristallisation de l’enjeu : le « au revoir » plane sur leurs têtes, quel que soit l’effort fourni.

 

La Solitude Partagée : Le salon comme champ de bataille

 

Lenny a précisé un autre détail émouvant : ce rituel se déroule dans la solitude et la solidarité. « On s’est tous installé ensemble pour écrire », a-t-il confié, parlant de lui-même, d’Emma et de Noa, les trois nominés de la semaine.

Imaginez la scène, loin des caméras du Prime et des cours : trois rivaux, trois amis, assis côte à côte dans le salon du château, feutré par la nuit. Chacun avec un stylo et une feuille, chacun écrivant son propre scénario de départ. Ils sont en compétition, mais ils partagent la même angoisse. C’est un moment de cohésion forcée, où l’amitié prend le pas sur la rivalité. Ils se retrouvent dans ce même état de suspension émotionnelle, unis par la pression de l’incertitude.

Le contraste est saisissant, même pour Lenny. Il a plaisanté, dans un nouvel élan d’humour salvateur, en disant qu’il avait « l’impression d’écrire une lettre de démission ». Une « démission » d’un rêve qui n’a duré que le temps d’une saison, ou pour lui, de deux semaines. Cet instant de vérité partagée, où chacun adopte « un ton différent », est un témoignage puissant de la force du lien qui se tisse à la Star Academy, même entre adversaires. Ce moment non filmé, révélé par Lenny, est un des instants les plus sincères et les plus forts de la semaine, car il est brut, sans filtre et sans mise en scène pour le public.

 

La Lettre : Un symbole de cohésion et de bienveillance

Au-delà de l’anecdote et de l’émotion de l’instant, la lettre de départ a pris, depuis le retour de l’émission, une signification symbolique très forte. C’est plus qu’un simple mot. Elle est devenue un « véritable symbole de cohésion et de bienveillance entre les élèves ».

Elle est la trace laissée, la preuve tangible de l’expérience vécue et des sentiments échangés. Elle permet de « laisser une trace, de remercier l’équipe, les professeurs ou tout simplement de partager un dernier mot d’encouragement ». Pour les candidats, cette démarche est essentielle. Ils savent que leur message sera lu devant leurs camarades, que ce sera la dernière fois qu’ils s’adresseront à eux depuis le château.

Comme l’a expliqué un ancien académicien, « ça peut paraître anodin, mais pour nous c’est important. On sait que la lettre sera lue devant tout le monde. C’est une manière de boucler l’aventure avec le sourire ». Cette finalisation de l’expérience, ce besoin de laisser une impression positive, une note d’espoir ou d’humour, témoigne de la profondeur de l’attachement au projet et aux personnes.

En révélant les coulisses de ce rituel, Lenny n’a pas seulement partagé un secret de production, il a mis en lumière la dimension humaine et émotionnelle d’un programme souvent perçu sous le seul angle de la compétition. Le vendredi soir, ce n’est pas seulement la veille du Prime ; c’est le moment où l’élève doit faire face à son destin, armé d’un stylo et d’une feuille blanche, prêt à écrire le début de sa nouvelle vie, que ce soit au château pour une semaine de plus, ou à l’extérieur. Une révélation qui rend le combat des académiciens encore plus touchant, et leur victoire (ou leur défaite) encore plus méritée.