Macron et Bayrou Déclarés COUPABLES par le Conseil Constitutionnel : Le Verdict de la Honte Révèle un Deal Secret qui Fait Trembler l’Élysée

Pour Macron, son « ami » François Bayrou a « les capacités » pour tenir  jusqu'en 2027 | Le Télégramme

Un vent de panique souffle sur l’Élysée. La France, déjà aux prises avec un contexte politique, social et économique explosif, vient d’être secouée par ce que beaucoup qualifient de “séisme politique sans précédent.” Au cœur de cette onde de choc, les deux têtes de l’exécutif : le président Emmanuel Macron et son Premier ministre, François Bayrou, nommé à peine quelques mois plus tôt, le 13 décembre 2024. Leur très controversée réforme des retraites, symbole d’une politique d’austérité à marche forcée, a été frappée de plein fouet par un verdict accablant du Conseil Constitutionnel. Le jugement, prononcé le 17 juillet 2025, ne se contente pas de censurer des dispositions clés ; il soulève le voile sur une gestion du pouvoir qui défie les fondements de la démocratie. La sentence est lourde et le mot, lâché par une opinion publique en furie, résonne comme un coup de tonnerre : coupables.

L’affaire n’est plus une simple défaite politique, c’est une crise de régime alimentée par des fuites de documents explosives et une vague d’indignation d’une ampleur inédite sur les réseaux sociaux. La France est désormais au bord du gouffre, plongée dans un chaos que l’exécutif avait pourtant tout fait pour éviter.

Le Coup de Massue du 17 Juillet : L’Aveuglement Face à la Constitution

Pour comprendre la violence du choc, il faut remonter le fil d’une crise politique larvée. Depuis les élections législatives anticipées de 2024, l’Assemblée nationale n’est plus qu’un champ de bataille. La majorité macroniste, affaiblie par des résultats en demi-teinte, se trouve prise en étau entre la montée en puissance du Rassemblement national (RN) et les assauts répétés d’une gauche unie sous la bannière de la NUPES. Fragilisé par les crises économiques, sociales et sécuritaires qui minent le pays, Emmanuel Macron avait fait le pari de nommer François Bayrou pour apaiser les tensions et surtout, rassurer les marchés internationaux, avec un plan d’économie drastique de 40 milliards d’euros à horizon 2026. L’objectif était clair : imposer, coûte que coûte, la discipline budgétaire.

C’est dans ce contexte de tension extrême qu’arrive le verdict historique du Conseil Constitutionnel. Les “Sages” de la rue de Montpensier n’ont pas fait dans la demi-mesure. Ils ont censuré des dispositions centrales de la réforme des retraites, celle-là même qui avait été imposée par l’exécutif en 2023 via le très décrié article 49.3 de la Constitution, permettant l’adoption d’un texte sans vote. L’accusation portée par le Conseil est d’une gravité institutionnelle sans précédent : Macron et Bayrou auraient “outrepassé leurs prérogatives constitutionnelles en forçant son adoption sans débats suffisant”.

Le Conseil ne s’arrête pas là. Il dénonce également des mesures jugées profondément injustes et discriminatoires pour les catégories de travailleurs les moins favorisés. Le gel des pensions, alors que l’inflation étrangle le pouvoir d’achat, et surtout le blocage des critères de pénibilité, sont ciblés comme des atteintes inacceptables aux principes d’équité sociale. Pour les travailleurs modestes, pour les femmes et les hommes qui ont commencé à travailler tôt, ces blocages se traduisent par une seule et même chose : l’obligation de travailler jusqu’à 64 ans, même lorsque le corps ne suit plus.

L’Explosion Numérique : La Colère Populaire Inédite

La riposte populaire fut immédiate et fulgurante. Sur la plateforme X (anciennement Twitter), la colère s’est transformée en un déferlement de hashtags qui ont rapidement monopolisé les tendances nationales : #MacronCoupable, #BayrouDemission, #RetraiteCensuree. Des millions de Français, qui avaient vu leurs espoirs d’un débat serein et d’une réforme juste balayés par l’usage du 49.3, ont trouvé dans ce verdict la confirmation de leurs pires craintes.

Les posts d’indignation se multiplient, chacun ajoutant une couche de scandale à la crise. Des comptes influents, comme celui d’un certain HVerry de France, ont tonné : « Macron et Bayrou ont violé la Constitution pour imposer leur réforme inhumaine ». Mais au-delà de l’indignation, c’est le sentiment d’être gouverné par une élite déconnectée qui s’est propagé, cristallisé par des mèmes montrant le président et son Premier ministre comme de simples marionnettes au service du MEDEF.

Cette vague numérique, loin d’être un simple exutoire, a servi de caisse de résonance à la révélation la plus accablante de l’affaire : la fuite de documents confidentiels.

L’Ombre du MEDEF : Le Secret Révélé des Documents Fuités

C’est là que l’affaire prend une dimension de scandale d’État. Des documents fuités, largement relayés par des médias d’investigation réputés comme Le Monde et Mediapart, ont mis en lumière un comportement troublant de l’exécutif. Ces échanges internes suggèrent que Macron et Bayrou auraient délibérément ignoré des avis juridiques internes qui les mettaient en garde contre l’inconstitutionnalité de leurs mesures. La question qui brûle toutes les lèvres est donc : savaient-ils que leur réforme était illégale ?

La réponse se trouve peut-être dans un détail glané par les fuites : un contact, désigné comme “en favori” sur le téléphone de François Bayrou, serait lié à un haut responsable du MEDEF. Cette révélation, même si elle n’est pas authentifiée officiellement, a suffi à attiser les soupçons d’un deal secret passé entre l’Élysée et les milieux d’affaires. L’objectif ? Protéger les intérêts des grandes entreprises, notamment en bloquant les critères de pénibilité qui auraient coûté cher aux employeurs. « Macron savait que sa réforme était illégale, mais il l’a imposé pour plaire aux banquiers », s’alarme un compte militant, Retraite Colère.

Plus grave encore : il est suggéré que l’exécutif aurait sciemment ignoré les alertes du Conseil d’État, l’instance suprême qui mettait en garde contre les risques juridiques majeurs de la réforme. Ignorer le Conseil d’État pour satisfaire le MEDEF ? Pour les oppositions et une large partie de l’opinion, c’est la preuve d’une trahison des principes républicains au profit des élites financières.

Le Chaos à l’Assemblée : Menace de Motion de Censure

Les conséquences du scandale se sont immédiatement matérialisées à l’Assemblée nationale. Le 18 juillet 2025, la séance retransmise en direct a viré au pugilat politique. Jordan Bardella, leader du Rassemblement national, a mené l’assaut, accusant Macron et Bayrou de « trahir la démocratie ». Dans une intervention musclée, il a fustigé : « Ils ont bafoué la Constitution pour servir les élites et écraser les travailleurs ». Les cris et la tension furent tels que la séance a dû être suspendue.

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Du côté de la gauche, la riposte est tout aussi virulente. François Ruffin, député de la France Insoumise (LFI), a dénoncé un « coup d’État législatif » et a exigé la publication intégrale et immédiate des documents fuités. Sur X, Marine Le Pen a enfoncé le clou, exigeant le départ du binôme exécutif : « Macron et Bayrou sont coupables devant le peuple, ils doivent partir ».

Même au sein de la majorité, la façade d’unité commence à se fissurer. Des « frondeurs » proches de Gérald Darmanin ont commencé à murmurer en coulisses que ce verdict était « une catastrophe pour la Macronie », non seulement face à l’opinion, mais également face aux marchés, affaiblissant la crédibilité du pouvoir.

Le Cri de la Rue : L’Épuisement d’une France en Révolte

Au-delà des joutes politiques, c’est l’émotion et la détresse du peuple français qui s’expriment. Les témoignages poignants affluent sur les réseaux sociaux. Sur le Fil Citoyen, une personne écrit : « Ma mère, aide-soignante, ne peut plus travailler jusqu’à 64 ans. Macron et Bayrou la condamnent à la misère ». L’affaire n’est plus une question de chiffres, mais d’humanité.

En réponse, les syndicats ont immédiatement réagi. La CGT et FO ont appelé à une grève générale, et des manifestations massives ont éclaté dans les grandes villes du pays : Paris, Lyon, Marseille. Les pancartes sont sans ambiguïté : « Macron et Bayrou voleur de retraite ». Des vidéos sur X montrent des heurts avec la police, rappelant les mobilisations historiques de 2023. Le pays est au bord de l’implosion sociale, épuisé par l’inflation, l’insécurité et la désindustrialisation, et dénonce désormais des dirigeants perçus comme totalement déconnectés.

Le scandale dépasse la seule réforme des retraites. Il met en lumière un système politique français à bout de souffle, où la défiance envers les institutions a atteint un sommet alarmant : seulement 20 % des Français feraient encore confiance au gouvernement.

Le Tournant Historique : Sacrifier Bayrou ou Chuter Ensemble ?

Alors, quel avenir pour la France et pour le couple exécutif ? La crise est si profonde que des conséquences « cataclysmiques » sont envisagées.

À l’Assemblée, l’union des oppositions est scellée : le RN et la NUPES préparent une motion de censure contre François Bayrou, accusé de complicité dans cette violation constitutionnelle. La question qui se pose à l’Élysée est désormais celle du sacrifice : Macron va-t-il lâcher son Premier ministre pour calmer la colère populaire et sauver sa crédibilité, comme l’envisagent certains frondeurs darmaninistes ? Ou bien s’accrochera-t-il à son choix, au risque de voir sa fin de mandat se transformer en un champ de ruines politiques ?

La menace de nouvelles élections anticipées plane sur la République. Les rues s’intensifient, et les appels à une « révolution citoyenne dans les urnes et dans la rue », lancés par Jordan Bardella, résonnent avec l’exaspération nationale. Comme le résume Marine Le Pen : « Macron et Bairou sont coupables devant le peuple. Il est temps de rendre le pouvoir aux citoyens ».

Ce verdict du Conseil Constitutionnel n’est pas un point final, mais un électrochoc. Il exige la transparence sur les deals secrets, sur l’argent des contribuables et sur la raison pour laquelle l’exécutif a préféré bafouer la Constitution plutôt que de dialoguer. Ce cri de révolte est celui d’une France qui demande des comptes à une élite jugée traîtresse et insatiable. L’histoire retiendra ce 17 juillet 2025 comme le jour où la vérité a éclaté, et le début, peut-être, d’une nouvelle ère pour la République.