Cette BELLE MERE coupe les CHEUVEUX de la fille pour la rendre LAIDE, la suite CHOQUE conte africain

Dans un royaume lointain où les légendes se murmurent au coin du feu, une histoire continue de captiver les cœurs et les esprits. Ce n’est pas un conte de fées ordinaire, mais le récit poignant d’une jeune femme nommée Zala, dont le destin, façonné par la méchanceté et la jalousie, a prouvé que la vraie beauté ne se mesure pas à l’apparence, mais à la force de l’âme. Zala vivait avec son père aimant et sa belle-mère, Niara, dont la cruauté n’avait d’égale que l’éclat de la bonté de Zala. Dotée d’une beauté naturelle et d’une gentillesse sans pareille, Zala était la lumière de son foyer, une lumière que Niara, rongée par l’envie, cherchait désespérément à éteindre.

La tranquillité du royaume fut rompue par une annonce royale : un grand bal serait organisé en l’honneur du prince Jabari, qui cherchait une épouse. L’excitation était palpable, et toutes les jeunes femmes du royaume se mirent à rêver de cette nuit magique. Zala, le cœur rempli d’espoir, imaginait déjà sa vie prendre un nouveau tournant. Mais pour Niara, la nouvelle était une torture. L’idée que Zala puisse être remarquée par le prince était insupportable. Elle résolut de tout faire pour l’en empêcher, armée de ruses et de malveillance.

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Niara, dans sa perfidie, donna à Zala une liste de tâches impossibles à accomplir avant le bal, espérant la voir sombrer dans le désespoir. Zala, loin de se laisser abattre, se mit à la tâche avec une détermination inébranlable. Elle balaya, nettoya, cousut et cuisina, terminant chaque corvée avec un courage et une efficacité qui rendirent Niara folle de rage. La belle-mère comprit alors que la servitude n’était pas suffisante pour briser l’esprit de Zala. Il fallait une attaque plus personnelle, plus dévastatrice, quelque chose qui frapperait Zala au plus profond de son être.

La nuit précédant le bal, tandis que Zala dormait paisiblement, rêvant peut-être de la soirée à venir, Niara entra silencieusement dans sa chambre. Avec une paire de ciseaux, elle accomplit l’acte le plus lâche et le plus cruel de son existence : elle coupa la longue chevelure soyeuse de Zala. C’était l’attribut le plus beau et le plus admiré de Zala, sa couronne de gloire. Niara était persuadée que sans ses cheveux, Zala serait la risée de tous, une figure hideuse qu’aucun prince ne voudrait jamais regarder, et qu’elle renoncerait au bal.

Le lendemain, Zala se réveilla en découvrant l’horreur. Ses cheveux, autrefois magnifiques, étaient maintenant une coupe inégale, ravagée. Les larmes lui montèrent aux yeux, mais elle refusa de se laisser aller. Au lieu de céder à la tristesse, elle se rendit chez Mama Lumeau, une vieille femme sage et respectée du village, connue pour sa bienveillance et ses conseils avisés. Zala lui raconta l’histoire, et Mama Lumeau, avec la sagesse des âges, lui offrit un conseil qui allait changer son existence. Elle lui expliqua que la vraie beauté ne réside pas dans les apparences, mais dans le cœur et dans la confiance en soi. « Ce qui a été fait à vos cheveux n’est qu’une surface. La vraie Zala, la personne que vous êtes, est toujours là, intacte et magnifique », lui dit-elle avec douceur.

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Ces mots, comme une potion magique, ravivèrent l’esprit de Zala. Elle revint chez elle, décidée à ne pas laisser la méchanceté d’autrui définir son destin. Avec une nouvelle assurance, elle coiffa ses cheveux courts avec élégance et se revêtit d’une robe simple, mais d’une dignité qui éclipsait toutes les robes luxueuses. La jeune femme n’était pas seulement prête à aller au bal, elle était déterminée à le faire la tête haute.

Au bal, les murmures se répandirent à son arrivée. Les princesses aux robes somptueuses et aux coiffures élaborées la dévisageaient avec dédain. Sa coupe de cheveux, son manque d’artifices, la rendaient différente, et la différence était souvent perçue comme un défaut. Mais c’est précisément cette singularité qui attira l’attention du prince Jabari. Il la remarqua parmi la foule, impressionné par son assurance et son éclat intérieur. Le prince, qui avait vu des centaines de visages, cherchait quelque chose de vrai et d’unique, et il le trouva dans le regard de Zala.

Lorsqu’un noble se moqua de sa coupe de cheveux, le prince intervint, la défendant avec des mots qui résonnèrent dans toute la salle. Il déclara que la beauté n’est pas dans les cheveux longs ou les robes chères, mais dans la grâce et la confiance qu’une personne dégage. Ces mots firent taire les rieurs et mirent en lumière la superficialité de leur jugement. Subjugué par le courage de Zala et son calme face à l’adversité, le prince l’invita à danser. Zala, le cœur battant, accepta, et pendant un instant, le monde autour d’eux disparut.

Le prince ne tarda pas à la demander en mariage, devant une assemblée stupéfaite. Niara, qui avait tout vu et qui était remplie de rage et d’humiliation, essaya d’intervenir, mais personne ne l’écouta. Ses tentatives de nuire à Zala s’étaient retournées contre elle, renforçant la légende de la jeune femme qui avait trouvé la force d’affronter son destin. L’histoire se conclut sur un mariage de conte de fées. Zala, devenue princesse, puis reine, a prouvé à tous qu’un cœur pur et une âme forte valent plus que tous les trésors du monde. Son histoire a traversé les âges, rappelant à chacun que la vraie beauté est celle qui rayonne de l’intérieur, une lumière que la jalousie ne peut jamais éteindre.