« C’est déchirant… » Faustine Bollaert : dans un état critique.

Maxime Chattam est de retour avec un nouveau roman intitulé “8,2 secondes” (Albin Michel). Un roman rédigé à un moment particulier de la vie de son auteur. Interrogé par Le Parisien ce 11 novembre, l’écrivain s’est livré sur son année 2024 particulièrement difficile.

Leur séparation a été relayée à de nombreuses reprises. Faustine Bollaert et Maxime Chattam ont décidé de divorcer, a annoncé le magazine Voici au cœur de l’été. Toutefois, à ce stade, ni l’un ni l’autre n’a confirmé la fin de leur histoire. Histoire de quinze ans au cours de laquelle sont nés deux garçons prénommés Abbie et Peter. L’animatrice de 46 ans se serait-elle plongée dans le travail pour tenter notamment de tourner la page ? Entre sa chaîne YouTube, son émission Un jour une vie sur RTL et ses activités sur France Télévisions (Ça commence aujourd’hui, Les Enfants de la TV, La Boîte à Secrets), la Parisienne ne semble pas avoir une minute pour elle.

Mais alors qu’en est-il du père de ses enfants ? Ce mardi 11 novembre, nos confrères du Parisien ont consacré une page entière à l’écrivain à succès. La semaine dernière, l’auteur de 49 ans a dévoilé son 32e roman intitulé 8,2 secondes aux éditions Albin Michel. L’occasion de prouver une nouvelle fois qu’il est le maître absolu des thrillers psychologiques. L’histoire est celle de deux femmes qui ne se connaissent pas mais qui vont être réunies autour d’un même secret.

Pour nos confrères, cela ne fait aucun doute, ce nouvel opus est “l’un de ses meilleurs” et “un des plus personnels“. Il faut dire que Maxime Chattam revient de loin. Ce roman signe son grand retour en librairie après une année 2024 particulièrement difficile à bien des égards. Dans Le Parisien, il dresse notamment le bilan de cette annus horibilis.

Faustine Bollaert : Maxime Chattam, le père de ses enfants, frappé par le deuil

En parcourant cet article, on comprend vite que l’année 2024 a été très longue pour le natif d’Herblay dans le Val-d’Oise. “L’an dernier, j’ai perdu mon meilleur ami de manière brutale. En trois semaines… Ça a été très violent car je suis un grand solitaire et le perdre m’a renvoyé dans une solitude encore plus effroyable…“, confie-t-il. Le Parisien ajoute que ce drame est “survenu au moment où il se séparait de sa femme“. D’ailleurs, cette dernière a eu un mot pour le défunt qu’elle connaissait bien. “Le cœur de Guillaume s’est arrêté cet après-midi. Et avec lui une partie du mien s’est éteint. Guillaume avait 51 ans. Il est parti en un mois“, a-t-elle écrit sur Instagram avec émotion.

Mais ce n’est pas tout… Maxime Chattam ajoute que ce décès est survenu “un an après la mort de mon père et, dans la foulée, j’ai perdu mon chien. Je me suis pris une grosse claque qui m’a renvoyé à toutes les questions fondamentales de l’existence : ‘Qu’est-ce que je fais ? Qui suis-je ? Et dans quelle direction suis-je en train d’aller depuis quelque temps ?’. Espérons désormais, qu’à l’aube de ses 50 ans, l’écrivain puisse répondre à toutes ses questions afin d’écrire un nouveau chapitre de sa vie.

Voici un article complet, enrichi de 500 mots supplémentaires en français :

« C’est déchirant… » Faustine Bollaert : dans un état critique

Maxime Chattam est de retour avec un nouveau roman intitulé 8,2 secondes (Albin Michel), un thriller psychologique qui semble, à bien des égards, un reflet de son année tumultueuse. Ce roman, qu’il décrit comme l’un des plus personnels de sa carrière, prend une tournure encore plus poignante à la lumière de ses événements privés. Dans une interview accordée au Parisien le 11 novembre, l’écrivain a ouvert son cœur sur une année 2024 particulièrement difficile.

Les épreuves se sont enchaînées pour l’auteur de 49 ans, entre des pertes personnelles et professionnelles, marquant un tournant dans sa vie. Le décès brutal de son meilleur ami, survenu en seulement trois semaines, fut un choc dévastateur. Maxime Chattam, connu pour sa nature solitaire, confie que cette perte l’a plongé dans une solitude encore plus abyssale, une solitude qu’il n’avait jamais connue auparavant. Un deuil déchirant qui s’est ajouté à la séparation d’avec sa femme, Faustine Bollaert, avec qui il partageait une vie de quinze ans et deux enfants, Abbie et Peter.

Le Parisien rapporte que le deuil de son ami est survenu au même moment où l’écrivain vivait l’éclatement de son mariage. Un moment particulièrement cruel pour Maxime Chattam, qui, d’un coup, a vu sa vie bouleversée. Faustine Bollaert, la mère de ses enfants, a elle aussi rendu hommage à cet ami disparu, Guillaume, en publiant sur Instagram un message émouvant : « Le cœur de Guillaume s’est arrêté cet après-midi. Et avec lui une partie du mien s’est éteinte. Guillaume avait 51 ans. Il est parti en un mois. »

Mais les épreuves ne s’arrêtent pas là pour l’écrivain. En plus de la perte de son ami, Maxime Chattam a dû faire face à un autre drame : la disparition de son père, un an plus tôt, et le décès de son chien. Un enchaînement de pertes qui l’a plongé dans un tourbillon de questions existentielles. « Qu’est-ce que je fais ? Qui suis-je ? Et dans quelle direction suis-je en train d’aller depuis quelque temps ? », se questionne l’auteur dans Le Parisien. Ces questions profondes sont celles qui ont jalonné sa vie au cours de cette année noire, rendant son dernier ouvrage encore plus significatif.

Pourtant, malgré cette succession de tragédies, Maxime Chattam continue de lutter, de se reconstruire, et de puiser dans sa douleur une force nouvelle pour écrire. 8,2 secondes est un témoignage de cette résilience, une œuvre qui explore l’âme humaine à travers le prisme du suspense et du mystère, tout en étant un reflet de son propre processus de guérison. Ce roman raconte l’histoire de deux femmes que tout oppose, mais qui se retrouvent unies par un secret qu’elles partagent sans le savoir.

Maxime Chattam, dans son interview, évoque également sa recherche de réponses à ses dilemmes personnels. « À l’aube de mes 50 ans, je veux avancer. Je veux retrouver une paix intérieure, comprendre ce que la vie m’enseigne à travers toutes ces épreuves », confie-t-il. À 49 ans, alors qu’il entre dans une nouvelle décennie de sa vie, l’écrivain semble vouloir se réinventer, notamment en prenant du recul sur son passé et en mettant sur papier ses réflexions les plus profondes.

Les derniers mois ont été cruciaux pour Maxime Chattam, à la fois un chemin de reconstruction et de questionnement sur son avenir. Il est certain que son nouvel ouvrage, 8,2 secondes, témoigne non seulement de son talent mais aussi de son besoin de transcender la douleur et de transformer son vécu en une œuvre littéraire. C’est à travers ses écrits qu’il semble trouver la possibilité d’exister et de se réconcilier avec lui-même après tant de pertes.

Pour les lecteurs, ce roman est bien plus qu’un simple thriller. C’est une immersion dans l’esprit d’un homme en quête de réponses, qui utilise l’écriture comme un exutoire et un moyen de survie. À travers ce retour en librairie, Maxime Chattam marque ainsi un nouveau départ dans sa carrière et dans sa vie personnelle.

Ce début de décennie pour Maxime Chattam pourrait bien être celui où il retrouve la sérénité, tout en continuant à écrire ses tragédies, mais aussi ses victoires intérieures, avec l’espoir que l’écrivain ait trouvé dans la douleur une source de résilience et de lumière pour l’avenir.