Ce député pète un plomb et INSULTE Tanguy… ça DÉGÉNÈRE en direct !

Les débats budgétaires à l’Assemblée Nationale sont rarement des moments de calme plat. Ils sont, par essence, le théâtre des affrontements idéologiques les plus vifs, là où se dessine le futur financier de la Nation. Mais ce qui s’est déroulé récemment lors de la discussion autour du budget 2026 dépasse la simple joute verbale pour atteindre le statut d’un véritable séisme politique et personnel. L’une des pires insultes qu’un élu puisse adresser à un collègue a été prononcée en plein hémicycle, provoquant une intervention de la présidence et un contre-choc politique qui révèle les coulisses des négociations gouvernementales.
Au centre de la tempête, l’élu Jean-Philippe Tanguy s’est retrouvé la cible d’une attaque ad hominem d’une violence inouïe de la part de son collègue, Monsieur Brun, qui est allé jusqu’à lui suggérer de « se faire soigner ». Loin de se laisser démonter, Tanguy a transformé l’agression personnelle en une puissante charge politique, accusant ses adversaires d’une collaboration troublante avec la haute bourgeoisie française. Cet événement marque un nouveau palier dans la tension parlementaire et soulève des questions fondamentales sur le décorum républicain et les véritables enjeux des amendements budgétaires.
L’Ambiance de Chaos : Quand la « 5e Dimension » S’Invite au Débat
Le prélude à cette confrontation a été posé par Jean-Philippe Tanguy lui-même, alors qu’il critiquait le déroulement pour le moins chaotique de l’examen du budget. Son intervention initiale dépeignait une atmosphère quasi surréaliste, loin de la rigueur attendue des travaux parlementaires.
« Il se passe du spiritisme dans cette salle. On entend des voix qui viennent des couloirs de Bercy, de Matignon. C’est incroyable. C’est la 5e dimension », a-t-il lancé, dénonçant l’opacité et l’influence des cabinets ministériels et de l’administration sur la prise de décision, comme si les amendements étaient dictés par des forces invisibles. Cette critique visait directement la méthode gouvernementale et la manière dont les propositions, même majeures, surgissent sans la transparence nécessaire.
Tanguy a rappelé le principe de l’article 98-1, soulignant que l’esprit de la loi exige qu’un amendement fasse l’objet d’une évaluation préalable. Son inquiétude portait sur le vote potentiel de 4 milliards d’euros « comme ça en 10 minutes » sans savoir « d’où ça sort ». Le député a alors glissé une pique historique en comparant le budget en cours au « budget Bérégovoy », rappelant la disgrâce de l’ancien ministre des Finances socialiste, Pierre Bérégovoy, une référence historique lourde de sens pour la gauche.
C’est dans cette atmosphère déjà survoltée, saturée de reproches sur le manque de sérieux et de préparation, que l’affrontement personnel a éclaté.
La Ligne Rouge Franchie : Le Coup de l’Insulte Personnelle
Suite à l’intervention de Jean-Philippe Tanguy, la présidence a donné la parole à Monsieur Brun, qui a demandé à répondre pour « mise en cause personnelle ». Ce qui devait être une simple mise au point technique sur un sous-amendement s’est rapidement transformé en une agression d’une rare violence symbolique.
Dès le début de sa prise de parole, Monsieur Brun a fait montre d’un mépris non dissimulé. Il a commencé par désigner son adversaire par le terme péjoratif de « pitre » : « Je souhaite répondre à au pitre Monsieur Tanguy pour mise en cause personnelle ». L’utilisation de ce mot, synonyme de bouffon ou de clown, est déjà une entorse sérieuse au respect mutuel qui doit régner dans l’enceinte parlementaire.
Mais le point de non-retour a été atteint quelques secondes plus tard, après que Monsieur Brun ait tenté de justifier le dépôt tardif de son sous-amendement, affirmant sa propre surprise face à l’amendement du gouvernement. Alors qu’il parlait d’une divergence de fond (son groupe souhaitait le doublement de la surtaxe, non le rabais proposé par le gouvernement), il a soudainement dévié vers l’attaque psychologique la plus grave.
Regardant Jean-Philippe Tanguy, Monsieur Brun a lancé la formule choc : « Monsieur Tanguy, je constate en tout cas de votre part une certaine obsession à mon égard et je pense qu’il va falloir maintenant vous faire soigner. S’il vous plaît. ».
Cette phrase, prononcée en public, dans l’enceinte de la souveraineté nationale, est bien plus qu’une simple grossièreté. C’est une tentative de disqualification totale de l’adversaire, ramenant le débat politique à un problème de santé mentale. Cela jette un discrédit absolu sur la personne de l’élu et sur la validité de ses propos. La présidence a immédiatement réagi en lançant un appel au calme : « S’il vous plaît. Attention aux uns et aux autres aux propos tenus Monsieur Tanguy. ». Le mal était fait. L’enceinte de la République venait d’être le théâtre d’une rupture émotionnelle et rhétorique majeure.

La Riposte Calibrée : La Vengeance Politique de Jean-Philippe Tanguy
Face à une attaque d’une telle bassesse, la réponse de Jean-Philippe Tanguy était attendue au tournant. Allait-il tomber dans la surenchère personnelle ? Non. L’élu a choisi la voie de la riposte froide, méthodique et, surtout, hyper-politisée, transformant le vitriol personnel en une accusation de trahison idéologique.
Il a commencé par rappeler la règle : « Alors, je voudrais déjà pour évidemment mise en cause personnelle 70 alinéa 3 », citant l’article du règlement qui lui permet de s’exprimer. Il a ensuite balayé d’un revers de main l’accusation d’« obsession » avec une dignité teintée de moquerie : « Déjà, je voudrais rassurer le collègue Brun, alors je ne suis ni sourd et encore moins aveugle. Donc il se rassure, je n’ai pas de passion pour lui. ».
C’est là que Tanguy a opéré un pivot d’une efficacité redoutable, utilisant l’attaque pour dévoiler ce qu’il prétend être la vérité des négociations.
L’Accusation de Trahison Idéologique
« Voyez, il y a des journalistes qui étaient au courant. Donc qu’est-ce que dit la presse dans les couloirs ? Ils disent effectivement que les socialistes sont en train de négocier plus sur les grandes entreprises, pour moins sur le patrimoine des riches ».
Cette phrase est la clé de voûte de la contre-offensive. Elle confirme le chaos de la « 5e dimension » dénoncé plus tôt, insinuant que les vraies décisions et les deals politiques se font loin de l’hémicycle, dans les couloirs et via les fuites dans la presse. Mais l’impact le plus fort réside dans la substance de l’accusation : une négociation visant à alléger la pression fiscale sur le patrimoine personnel des plus fortunés en la reportant sur les grandes entreprises.
Pour Jean-Philippe Tanguy, cela constitue une trahison historique : « Je vois que vous collaborez à ce petit comportement de la haute bourgeoisie française qui depuis des années préfère sacrifier les industries et les entreprises plutôt que leur patrimoine personnel. On vous connaît, c’était déjà le cas avec les mitterrandiens. Vous continuez s’il vous plaît. ».
L’insulte personnelle est ainsi retournée comme un gant. L’accusé d’« obsession » devient le pourfendeur des élites et des compromis de couloir. L’attaque qui visait à le disqualifier mentalement sert finalement de tremplin pour une disqualification politique et idéologique de ses adversaires, les renvoyant à une prétendue collaboration de classe.
Le Miroir Brisée du Décorum Parlementaire
Cet échange sidérant est plus qu’un simple fait divers parlementaire. Il est le reflet de la polarisation croissante et de l’état de délitement des relations entre les élus français. La pratique politique, censée être l’art du compromis et du débat d’idées, se transforme de plus en plus en guerre de tranchées où la personne de l’adversaire est la cible principale.
Le budget 2026, avec ses milliards en jeu et ses choix structurants pour l’économie française, mérite un débat technique, serein et fondé sur des chiffres. Pourtant, il a été pollué par une joute s’achevant sur une incitation à la thérapie psychologique. L’épuisement, la pression et la fatigue des longues nuits de débat ne peuvent justifier une telle rupture du décorum.
De plus, l’affirmation de Jean-Philippe Tanguy sur les négociations et l’existence de fuites auprès de journalistes soulève une question démocratique cruciale : qui décide réellement de la fiscalité en France ? Est-ce la volonté exprimée par les parlementaires au grand jour, ou le fruit de marchandages discrets entre les partis et les lobbies, loin des caméras ?
L’incident Brun-Tanguy rappelle la fragilité des institutions face à la passion politique et l’urgence de revenir à un langage républicain. L’article 70 alinéa 3, qui permet une réponse en cas de mise en cause personnelle, a été utilisé pour une fin double : la défense de l’honneur de l’élu et la révélation d’un arrière-plan politique potentiellement explosif. L’histoire retiendra que dans le tumulte du budget 2026, l’expression « allez vous faire soigner » n’aura pas seulement été une insulte, mais le détonateur d’une vérité amère sur les coulisses du pouvoir. Le débat est loin d’être clos, et il est essentiel pour les citoyens de comprendre ce qui se trame derrière ces affrontements en apparence spectaculaires.
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