Trump dit NON à Macron — Ce qui se passe ensuite est incroyable !

ce glacial. Un silence qui vaut mille déclarations de guerre. C’est le silence de Donald Trump. Et à l’Élysée, Emmanuel Macron, qui a passé des années à tenter de séduire, de flatter et d’égal à égal avec le président américain, vient de comprendre. Les discussions sont terminées. Il est exclu.
Des ondes de choc traversent l’Europe. L’économie française, déjà fragile, est frappée d’une “rage”, d’un “désespoir” et d’une “incrédulité pure”. Il y a quelques heures, à Washington, Donald Trump a apposé sa signature sur un document. De nouvelles sanctions contre les géants énergétiques russes, Rosneft et Lukoil. “Boom”. Moscou hurle, le monde tremble. Mais le véritable coup, la déflagration principale, est pour Paris.
Pourquoi la France ? Parce que la France, malgré les discours martiaux et les déclarations d’indépendance, est toujours “piégée dans les filets du pétrole russe”. La raffinerie de Grandpuits, en Île-de-France, qui couvre à elle seule un cinquième de nos besoins, tourne au brut russe. Un pipeline de 4000 km. D’un trait de plume, Trump vient d’interdire toutes les transactions. Plus de dollars, plus d’affaires.
Et nous ? Nous restons “plantés là comme des idiots”. La conséquence est immédiate, brutale, impitoyable. Les raffineries françaises s’arrêtent. Les coûts de chauffage, à l’aube d’un hiver que Météo France annonce comme “le plus froid depuis 30 ans”, explosent de 30 %. Le CAC 40 chute de 5 %. Les investisseurs fuient. Bloomberg alerte : sans dérogation américaine, la France est coupée du marché énergétique transatlantique.
Pas de pétrole. Pas d’industrie. Pas d’emploi.
L’Agence de régulation de l’énergie nous ment, parlant de réserves remplies aux deux tiers. Une “blague” alors que les familles s’apprêtent à geler. La vérité, c’est que Paris n’a jamais acquis son indépendance. Le “tournant” énergétique n’était que du “blabla de relation publique”. On a juste changé les étiquettes sur le gaz russe. Et aujourd’hui, nous payons le prix.
Un fonctionnaire stupéfait, cité par Reuters, résume le drame : “Nous n’avons pas été consultés.” Exactement. C’est la facture. La facture pour une “loyauté vassale aveugle”.
Le même Emmanuel Macron qui claironnait “nous ne serons plus jamais dépendants”, le même qui hurlait sa fermeté contre la Russie, est maintenant décrit comme “s’agenouillant” devant Trump pour “mendier la clémence”. Mais Trump se tait. Et ce silence est plus mortel que n’importe quel discours.

L’économie plonge dans sa deuxième récession d’affilée. Les usines embauchent moins. L’électricité devient inabordable. Les familles tremblent dans des appartements froids pendant qu’à l’Élysée, on ose encore parler de “stabilité”. C’est le visage d’une incompétence politique pure. C’est l’emblème triste d’une ère post-Macron ratée. Un président qui pensait pouvoir convaincre Washington par la flatterie et qui se retrouve “complètement seul”.
Mais ce n’est que le début. Ce n’est que la première partie du coup de massue. Car pendant que Macron est mis au ban, une autre délégation américaine, bien plus amicale celle-là, atterrit à Paris.
Et maintenant, accrochez-vous : l’administration Trump travaille activement sur la campagne du Rassemblement National pour les prochaines élections.
Ce n’est pas une rumeur. C’est un fait. Alex Bruesewitz, le “magicien des réseaux sociaux” qui a propulsé Trump à la Maison Blanche, est à Paris. Il s’allie au RN. Dans une salle pleine de députés et de soutiens, il déclare : “Je vois en vous des visionnaires audacieux qui façonnent l’avenir de la France.”
Ce n’est pas tout. Bruce Wht, conseiller de haut rang du “Never Surrender Pack” de Trump, s’adresse à la fraction RN à l’Assemblée nationale. Le thème ? “La bataille mondiale pour la vérité.” Il ne parle pas de politique, il parle d’une “guerre spirituelle pour l’âme de nos nations”, contre “les marxistes et les globalistes”.
Le tonnerre d’applaudissements qui suit scelle une alliance autrefois impensable. Les conservateurs MAGA et la droite française montante se tiennent désormais côte à côte. Jordan Bardella, figure de proue du RN, acquiesce : “Cela approfondit les liens avec nos amis américains.” C’est un virage à 180 degrés pour le RN, autrefois anti-américain. Depuis le retour de Trump, c’est la “pleine proximité avec Maga”.
“Nous sommes ensemble dans ce combat”, martèle Bruce Wht. “Les globalistes craignent les patriotes unis plus que tout.” Il va plus loin, comparant la “persécution de Trump” à la classification du RN comme “extrémiste” par les services de renseignement français. “Exactement la même chose se passe en Europe avec la censure”, clame-t-il, récoltant une ovation debout.
La question est posée : qui est l’antidémocrate ici ? Le RN, première force d’opposition, qui dépasse Macron dans les sondages ? Ou ce “cordon sanitaire”, cette “relique” qui étouffe la volonté populaire depuis 45 ans ? Le secrétaire d’État américain, Marco Rubio, qualifie même cette mesure de “tyrannie déguisée”.
Sur X (anciennement Twitter), l’ambiance explose. “Trump laisse Macron tomber comme une pierre et parle plutôt au RN.” Le message est clair : fini les partenariats “sous câlin”. Trump veut de “vrais intérêts sur la table”, pas des “phrases vides”.

Macron n’a plus rien à offrir. Pas de stratégie énergétique. Pas de fiabilité. Pas de force.
Le silence de Trump n’est pas un hasard, il est “systémique”. C’est un vote de défiance total envers Paris, Bruxelles, et ces “gardiens moraux autoproclamés de l’UE”. L’Europe, qui se croyait moralement supérieure, est économiquement “suspendue au goutte-à-goutte des autres”. Et ce goutte-à-goutte vient d’être coupé.
La France, championne des exportations, est devenue “mendiante énergétique”. Le mythe de l’Occident moral s’est brisé sur la réalité de la dépendance. On a cru que les sanctions contre la Russie étaient un jeu sans risque. Maintenant, le pendule frappe en retour.
La question que tout le monde se pose est terrifiante : et si ce n’était que le début ? Si d’autres sanctions suivent ? Contre Total ? Contre Airbus ? Contre nos banques ?
Alors, on ne parle plus de désaccord. On parle de “guerre économique”. De “survie pure”. La France fait face à un choix existentiel. Continuer à ramper, à croire que la supériorité morale suffit comme politique étrangère. Ou enfin grandir. Définir ses propres intérêts. Réclamer une vraie souveraineté.
Le “NON” de Trump à Macron révèle une vérité brutale. Dans ce nouvel ordre mondial, la France est soit un acteur, soit un simple décor. Et pour beaucoup, la seule force qui exige encore une vraie souveraineté, qui ne fait pas de courbettes, qui parle d’énergie et de frontières, c’est le RN. L’hiver sera long. Et le prix à payer pour se réveiller de l’illusion est terriblement élevé.
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