L’EMPIRE S’EFFONDRE : Révélations sur l’alliance secrète Meloni-Orbán et le plan de 12 pages pour renverser Bruxelles

Meloni's wait on EU appointments between Council and Parliament

Imaginez la scène : deux des dirigeants les plus inflexibles d’Europe, Giorgia Meloni et Viktor Orbán, se glissant dans l’ombre des anciens palais de Rome. Ils murmurent des plans qui pourraient faire tomber un empire. “L’UE est finie”, proclament-ils dans un manifeste commun qui a fuité. “Une Alliance de l’Europe Souveraine renaît des cendres de la tyrannie bureaucratique. Une Europe de nations fières, et non de suzerains sans visage.”

Ce n’est pas un thriller politique. C’est ce qui est en train de se passer. Le 27 octobre 2025, dans les salles opulentes du Palazzo Chigi, la Première ministre italienne Giorgia Meloni a accueilli Viktor Orbán, le dirigeant hongrois. Ce que le monde a vu n’était qu’une réunion bilatérale de routine : des poignées de main, des photos, et des communiqués de presse insipides sur l’Ukraine et l’immigration.

Mais ce qui s’est réellement passé est un séisme. Un pacte a été scellé, non pas avec de l’encre, mais par un serment déterminé à reprendre l’âme de l’Europe des griffes de Bruxelles. Une révolution se prépare discrètement, et ce soir, nous allons exposer l’alliance qui s’apprête à faire voler Bruxelles en éclats pour toujours.

Pour saisir l’ampleur de ce tremblement de terre, il faut comprendre les lignes de faille. L’Union européenne, née des ruines de la Seconde Guerre mondiale comme un phare de paix et de prospérité, s’est transformée en quelque chose d’méconnaissable. Un Léviathan dévorant la souveraineté nationale, une régulation après l’autre. De la crise financière de 2008, où l’UE a sauvé les banques pendant que l’austérité massacrait la Grèce et l’Italie, à la crise migratoire de 2015, où Orbán a érigé des barbelés tandis que Meloni ralliait les foules aux cris de “L’Italie d’abord”.

Le Brexit a été la première fissure. Mais aujourd’hui, les deux protagonistes sont entrés en scène. Giorgia Meloni, la dame de fer, est passée de jeune militante à première femme chef de gouvernement d’Italie. Viktor Orbán, le maître des échecs de Budapest, a transformé la Hongrie en une forteresse contre le vent du libéralisme, opposant sans cesse son veto aux initiatives de l’UE.

Cette rencontre à Rome n’était pas une visite de courtoisie. Des sources diplomatiques secrètes révèlent qu’autour d’un espresso et de dossiers classifiés, ils ont ébauché la “Déclaration de l’Europe Souveraine”. Il s’agit d’un plan détaillé de 12 pages, appelant à une confédération de nations fières, libérées de l’étreinte suffocante des bureaucrates supranationaux.

Quelles sont leurs exigences clés ? Des parlements nationaux dotés d’un droit de veto incontestable sur l’immigration et les budgets. La fin des mandats du “Pacte Vert” qui étranglent les agriculteurs. Et une politique étrangère qui donne la priorité à l’Europe, et non aux guerres par procuration de l’Amérique.

Pourquoi maintenant ? Le timing est primordial. Le second mandat d’Ursula von der Leyen, qui a débuté en décembre 2024, est un effort de consolidation du pouvoir. Elle a verrouillé ses alliés, de la France à l’Allemagne, en promouvant un agenda des “États-Unis d’Europe”. Mais les fissures sont béantes. Les agriculteurs manifestent des Pays-Bas à la Pologne. L’inflation frappe durement. Et avec l’ombre de Trump 2.0 planant sur l’OTAN, même les centristes murmurent des doutes. Meloni et Orbán voient le moment : il faut battre le fer tant qu’il est chaud, avant que l’étau de Von der Leyen ne se resserre.

Austrian, Hungarian, and Czech far-right form new EU coalition - GZERO Media

La machine de l’alliance est déjà en marche. Premier pilier : le groupe “Patriotes pour l’Europe” au Parlement européen. Formé en juillet 2024, avec le parti de Marine Le Pen (France) et celui de Geert Wilders (Pays-Bas), le parti Fidesz d’Orbán vise désormais à fusionner avec le bloc ECR de Meloni. Des sources internes affirment que l’accord est conclu. Cela créerait un “super-bloc” de 200 députés, suffisant pour torpiller les rêves législatifs de Von der Leyen sur tout, de la régulation de l’IA aux dépenses de défense. C’est un “échec et mat”.

Mais il ne s’agit pas seulement du Parlement. Le véritable jeu de pouvoir est bilatéral. Meloni utilise l’influence de l’Italie en Méditerranée. Orbán apporte la force du groupe de Visegrád. La Slovaquie a rejoint. Même l’Autriche et la République tchèque envoient des signaux de soutien. Imaginez un bloc souverain contrôlant 30% des votes de l’UE. Assez pour paralyser les sommets et forcer une refonte constitutionnelle.

Ce n’est pas de l’altruisme. C’est de la survie. Le ratio dette/PIB de l’Italie oscille à 140%, étranglé par les règles budgétaires de l’UE. Les 20 milliards d’euros de la Hongrie sont gelés. Orbán utilise cette alliance comme levier : “Libérez l’argent, ou regardez ce bloc faire exploser vos rêves d’élargissement.” C’est la politique de la corde raide.

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Plus profondément encore, c’est une croisade culturelle. “Une Europe des nations, pas des bureaucrates”, tonne leur manifeste. C’est le code pour revenir sur ce qu’ils appellent la “dictature woke”. Les directives LGBTQ+ ? Les nations ont le droit de refuser. L’immigration ? “Forteresse Europe 2.0” avec la technologie frontalière d’Orbán exportée à l’échelle du bloc. Le récent accord de Meloni avec la Tunisie, 1 milliard d’euros pour repousser les migrants, devient le modèle.

Bien sûr, des fissures potentielles existent. Meloni soutient toujours l’Ukraine, tandis qu’Orbán est accusé de flirter avec la Russie. Et Von der Leyen ne restera pas les bras croisés. Elle a son arsenal : procédures de l’article 7, gel des fonds, voire enquêtes d’espionnage.

Mais le plus effrayant, ce sont les “cellules dormantes”. Des signaux discrets venus du Nord (Suède), des pays baltes (Estonie), et même de Vox en Espagne. Si cinq autres nations rejoignent, c’est la fin du jeu. Un “cartel du veto” réécrivant le traité de Lisbonne d’ici 2027.

Un mémo confidentiel que nous avons obtenu décrit la phase 1 : des vetos coordonnés sur le budget 2026, forçant Von der Leyen à négocier. La phase 2, selon les rumeurs, serait un retrait spectaculaire d’un sommet en 2026, télévisé en direct, avec des nations faisant défection, drapeaux au vent. Von der Leyen sera obligée de proposer un “Grand Accord” ou de regarder l’Union se désintégrer.

L’onde de choc mondiale est inévitable. L’équipe de Trump adore ce chaos. Le Pentagone s’inquiète pour la cohésion de l’OTAN. Pékin ricane, lorgnant les vides commerciaux. Moscou loue les “pragmatiques”. L’Europe est devenue un échiquier.

Leur rêve ultime ? Un “arc méditerranéen” – l’Italie et la Hongrie en son cœur, s’étendant à la Grèce, la Croatie. Des accords commerciaux bilatéraux, contournant l’euro. Des armées nationales, pas des groupes de combat de l’UE. Pour les nationalistes, c’est une utopie. Pour les fédéralistes, c’est un cauchemar.

Alors que l’horloge tourne vers l’investiture de Von der Leyen, une vérité brûlante demeure : Meloni et Orbán ne sont ni des méchants ni des héros. Ils sont les messagers. La grande expérience de l’UE vacille au bord de l’abîme. L’Europe Souveraine forgera-t-elle un phénix de ces flammes, ou nous entraînera-t-elle dans le chaos ? La forteresse de Von der Leyen s’effondre. Les nations se réveillent. La partie a commencé.