Le plan machiavélique de Macron : Comment le budget 2026 neutralise la démocratie jusqu’en 2027

L’Assemblée Nationale est devenue un théâtre d’ombres. Sous les dorures fatiguées de la République, ce qui se joue fin 2025 n’est pas un simple débat budgétaire, c’est un “vrai bazar”, une “partition infecte” jouée à quatre mains par un gouvernement aux abois et une extrême droite qui a depuis longtemps troqué son costume d’opposant pour celui de complice. Le budget 2026, présenté dans le chaos, les revirements et les alliances contre-nature, est bien plus qu’une ligne comptable. C’est une arme politique. C’est la dernière pièce, la clé de voûte du plan machiavélique d’Emmanuel Macron pour garder la mainmise sur le pays, bien après la fin de son mandat.
Pendant que les commentateurs s’écharpent sur la date limite de dissolution, ils manquent l’essentiel : ce budget est le dernier qui compte vraiment pour le Président. Et il compte, non pas pour la France, mais pour son propre agenda de 2027.
La purge néolibérale : Taxer les malades pour sauver les riches
Avant de comprendre le plan, il faut mesurer la violence du projet. Ce budget n’est pas une simple gestion économique ; c’est une déclaration de guerre idéologique. C’est, selon les termes entendus dans l’hémicycle, “le pire de ce que le néolibéralisme veut faire”. Loin des discours sur la “responsabilité”, le texte s’attaque avec une précision chirurgicale à ceux qui sont déjà à terre.
L’inhumanité du projet atteint son paroxysme avec l’austérité infligée aux malades. Le gouvernement a décidé de “pourrir la vie” des 14 millions de Français souffrant de maladies chroniques. Comment ? En taxant leurs indemnités journalières. Avoir un cancer et toucher une indemnité n’est “pas un luxe, pas un privilège, c’est une question de vie ou de mort”. Mais pour la macronie, c’est une variable d’ajustement.
La purge continue. Les chômeurs et les malades de longue durée sont mis à contribution, tandis que, dans un même mouvement, le gouvernement préserve jalousement le crédit impôt recherche, cette niche fiscale massive profitant aux grandes entreprises. On prend aux plus faibles pour garantir les profits des plus forts.
L’attaque est généralisée. Près de 18 millions de Français verront leurs impôts augmenter sournoisement via la non-indexation du barème de l’impôt sur le revenu sur l’inflation. Les retraités et les invalides sont également ciblés par la CSG. Face à la grogne, la réponse macroniste est un chef-d’œuvre de mépris, comparant la productivité française à celle des États-Unis, oubliant de mentionner que le modèle américain est bâti sur l’absence de sécurité sociale et une répartition des richesses digne d’une dystopie.
Le bal des hypocrites : “Emmanuel Le Pen” et la gauche en miettes

Face à cette offensive, l’opposition devrait faire bloc. Elle est en réalité le second acte de la tragédie. Le Rassemblement National, en tête, joue une comédie éhontée. Hurlant au “mensonge” et à “l’incompétence” du gouvernement, le parti de Marine Le Pen oublie son propre bilan. Il est, à l’exception du groupe Liot, le groupe d’opposition ayant le moins voté les motions de censure.
Pire, la “mu macroniste” du RN est achevée. Leur contre-budget, censé être une alternative, est une copie conforme des obsessions libérales : ils ont accepté 7 milliards d’euros d’économies sur la santé, dont 1 milliard rien que sur l’hôpital. Ils ont validé la suppression de 4600 postes d’enseignants et n’ont jamais sérieusement proposé d’abroger la réforme des retraites.
La convergence devient fusion lorsque le gouvernement, de son propre chef, “copie-colle” le programme de l’extrême droite en instaurant une taxation généralisée sur les étrangers pour les demandes de naturalisation (plus de 200 €) et les titres de séjour (plus de 100 €). La conclusion est sans appel : une alliance “néolibérale, ultra-capitaliste et réactionnaire” s’est dessinée. On ne sait plus qui de “Emmanuel Le Pen ou Marine Macron” copie sur l’autre.
Pendant ce temps, la gauche offre le spectacle de sa propre division. La France Insoumise (LFI) a tenté une motion de rejet, mais s’est retrouvée isolée, échouant à convaincre écologistes et communistes. Le Parti Socialiste (PS), lui, “se dandine”. Dans une posture shakespearienne, il refuse de censurer le gouvernement, prétextant que l’Assemblée n’est qu’un “théâtre d’ombre”. En voulant faire cavalier seul, le PS affaiblit toute la gauche et ouvre le flanc aux critiques.
L’ironie est cruelle : un amendement LFI, visant à taxer enfin les bénéfices des multinationales réalisés en France, a été adopté. Une victoire arrachée, preuve qu’une gauche unie peut gagner des batailles. Mais le PS a préféré sa “stratégie d’accommodement”, préférant, comme le disait Marceau Pivert en 1936, “une modeste tasse de guimauve” à un véritable combat.
Le plan révélé : Neutraliser le Parlement jusqu’en 2027
C’est dans ce chaos orchestré que se révèle le véritable objectif présidentiel. Ce budget 2026 est “vital” pour Emmanuel Macron. Pourquoi ? Parce que c’est le dernier.
Une fois ce budget adopté, peu importe comment, peu importe à quel prix, l’exécutif n’a, constitutionnellement, plus besoin du Parlement pour exister. Il a ses crédits. Il peut faire fonctionner la machine administrative. Le pouvoir suprême du Parlement, celui de voter le budget, est épuisé pour le reste du mandat.
Le plan machiavélique est là : obtenir l’argent, puis mettre l’Assemblée Nationale au ralenti. La neutraliser. L’activité parlementaire sera réduite à néant. Le gouvernement pourra ajuster les dépenses par simple gel de crédit, sans repasser par les députés, comme il l’a déjà fait en 2024.
La France sera alors purement et simplement neutralisée politiquement jusqu’en 2027. Emmanuel Macron aura les mains totalement libres. Libre de refuser de changer de Premier ministre, libre de prêcher la “stabilité” tout en préparant sa succession. Libre de “continuer à jouer à son petit jeu politique” : qui soutenir, qui saboter. Le budget 2026 est la dernière pièce du puzzle pour verrouiller le pouvoir entre ses mains.
Les symptômes de la décomposition

Ce coup de force budgétaire n’est que le symptôme le plus visible d’une décomposition plus profonde des institutions démocratiques. Deux autres affaires, survenues en parallèle, illustrent cette dérive.
D’abord, l’affaire Sarkozy. La visite de Gérald Darmanin à l’ancien Président de la République incarcéré à la prison de la Santé est une ingérence politique inouïe. Elle vise à transformer un délinquant condamné en “martyr”. L’argument de la droite, selon lequel voir un ex-président en prison “dégrade l’image de la France”, est un scandale : ce sont les actes de corruption qui dégradent la France, pas la justice qui fait son travail. L’hypocrisie est totale lorsque, dans le même temps, les députés LFI Danièle Obono et Hugo Bernalicis, usant de leur droit de visite parlementaire, se voient d’abord refuser l’entrée. Un deux poids, deux mesures qui montre que pour la macronie, la justice est un outil politique.
Ensuite, la réforme de la police de 2024. Un rapport parlementaire transpartisan a révélé l’échec total de cette réorganisation. Mais le plus grave est ailleurs. La réforme a remplacé les hiérarchies spécialisées (comme la Police Judiciaire) par un directeur départemental unique, placé sous l’autorité hiérarchique directe du Préfet.
Le danger est immense. Le Préfet est un acteur politique, pas judiciaire. Il est obsédé par “faire du chiffre” pour plaire à son ministre. Il préférera toujours les opérations “placenets” (coups de com’ sur des points de deal) et la répression des manifestations aux enquêtes longues et complexes sur la délinquance en col blanc ou les réseaux de blanchiment. La réforme détourne la police de sa mission d’enquête (PJ) pour la transformer en force de maintien de l’ordre au service du pouvoir politique.
Ce scénario est dangereux. Il devient terrifiant si l’on imagine cette police, placée sous contrôle administratif et politique total, aux mains d’un gouvernement RN.
Le budget, l’affaire Sarkozy, la réforme de la police : ces trois éléments ne sont pas distincts. Ils forment un tout cohérent. Celui d’un pouvoir exécutif qui vide de leur substance les contre-pouvoirs (Parlement, Justice) pour asseoir une autorité absolue. Le budget 2026 est la clé de voûte de cet édifice autoritaire, le dernier acte avant que le rideau ne tombe sur la démocratie parlementaire jusqu’en 2027.
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