« FROTTI FROTA » ET MALAISE TV : LA FILLE DE GILLES « HORRIFIÉE » PAR LE COMPORTEMENT DE SON PÈRE AU SPEED-DATING

On pensait avoir tout vu dans L’Amour est dans le pré : des silences gênants, des déclarations maladroites et des baisers volés. Mais c’était sans compter sur Gilles, l’agriculteur star de cette nouvelle saison, qui a redéfini la notion de “briser la glace” avec une approche… très tactile. Une audace qui a fait rire la France entière, à l’exception d’une personne : sa propre fille, Johanna.

Le lancement de la saison a tenu toutes ses promesses, et c’est peu de le dire. Si les portraits nous avaient laissé entrevoir des personnalités attachantes, les speed-datings sont passés à la vitesse supérieure. Et la palme de la séquence la plus commentée revient incontestablement à Gilles, dit “Gillou”, dont la libido et l’énergie débordante ont littéralement crevé l’écran.

Le Zouk de la discorde

Tout a commencé lors de la rencontre avec Léa, l’une de ses prétendantes. Loin de se contenter d’une discussion polie autour d’une table, Gilles a décidé de tester l’alchimie physique immédiatement. Ni une ni deux, l’agriculteur a invité sa belle à danser un zouk improvisé, transformant le salon de speed-dating en piste de danse tropicale.

Mais ce n’est pas la danse en elle-même qui a choqué, c’est l’intensité que Gilles y a mise. « Et vas-y frottis, frottas », a-t-il lancé sans filtre, joignant le geste à la parole en se collant à sa partenaire. La température est montée d’un cran, au point que Gilles lui-même, dépassé par ses émotions (et l’effort), a lâché cette phrase déjà culte : « C’est magique. J’ai de la buée sur les lunettes ! ». Une spontanéité désarmante pour certains, mais un véritable cauchemar pour d’autres.

Johanna, spectatrice malgré elle

Si les téléspectateurs se sont délectés de ce moment de télévision “pépitesque”, la pilule a été beaucoup plus dure à avaler pour la famille de l’agriculteur. Johanna, la fille de Gilles, a découvert les images en même temps que nous, probablement avec les mains devant les yeux.

Filmée en train de visionner la séquence pour l’émission L’Amour vu du pré, sa réaction a été épidermique. « Mais qu’est-ce que tu fais ? », s’est-elle écriée, visiblement “horrifiée” par les prouesses tactiles de son paternel. Entre rire nerveux et honte profonde, le verdict de la jeune femme a été sans appel : « T’es trop gênant ! ».

On peut comprendre son désarroi. Voir son père de 70 ans en mode séducteur débridé, parlant de “stimulation” et se frottant à une inconnue devant des millions de personnes, n’est pas l’expérience familiale la plus reposante. Johanna a résumé tout haut ce que beaucoup pensaient tout bas : Gilles n’a aucune limite quand il s’agit de séduire.

Gilles, le nouveau phénomène ?

Au-delà du malaise familial, cette séquence positionne Gilles comme le candidat incontournable de la saison. Sa franchise, parfois brutale, et son absence totale de filtre en font un personnage de télé-réalité en or. Il incarne cette soif de vivre et d’aimer qui ne s’embarrasse pas des conventions sociales ou de la pudeur excessive.

Pour Karine Le Marchand, spectatrice privilégiée en coulisses, la scène était du pain bénit. Ses fous rires ont accompagné les tentatives de rapprochement de Gilles, validant ainsi le potentiel comique et émotionnel de l’agriculteur.

Reste à savoir si cette stratégie du “rentre-dedans” payera sur la durée. Si Léa a semblé réceptive à cette danse endiablée, le séjour à la ferme promet d’être explosif. Johanna, quant à elle, devra sans doute s’armer de courage (et peut-être éteindre sa télé) pour les prochains épisodes. Car avec Gilles, on n’est jamais à l’abri d’une nouvelle sortie de route… ou d’un nouveau “frotti frota”.

Une chose est sûre : dans le pré cette année, l’amour est peut-être aveugle, mais il n’est certainement pas timide !