L’IMPUNITÉ POLITIQUE DÉVOILÉE : L’EX-MINISTRE VALLAUD-BELKACEM PULVÉRISÉE EN DIRECT SUR LE SCANDALE DE L’ÉCOLE.

L’IMPUNITÉ POLITIQUE DÉVOILÉE : L’EX-MINISTRE VALLAUD-BELKACEM PULVÉRISÉE EN DIRECT SUR LE SCANDALE DE L’ÉCOLE.
La colère populaire, souvent contenue, a trouvé un exutoire spectaculaire et implacable lors d’une séquence télévisée devenue virale. Le débat sur l’état de la France s’est cristallisé autour du sort de l’Éducation Nationale, mais a rapidement dérivé vers une question plus fondamentale : celle de la responsabilité et de l’impunité de la classe politique. Face à l’ancienne Ministre Najat Vallaud-Belkacem, ciblée pour sa réforme controversée de 2016, une citoyenne, elle-même enseignante, a livré un réquisitoire d’une violence verbale calculée, résumant le sentiment d’une partie croissante des Français : « Vous faites de la merde. Vous devez être payé dans la monnaie de votre pièce. »
L’accusation est directe : l’école, jadis pilier de la République, a « coulé complet » et la situation actuelle de la France est la conséquence directe de « 30 ans de n’importe quoi, que ce soit à gauche ou à droite. » Le débat a ainsi mis en lumière un fossé sidérant : celui qui sépare la théorie de l’action publique de la réalité des salles de classe, des hôpitaux et de l’économie, tout en soulevant la délicate question des régimes juridiques spécifiques qui protègent les élus des conséquences de leurs décisions. C’est un affrontement entre l’idéologie politique et le cri de l’expérience, dont l’issue sonne comme un avertissement pour l’ensemble de la classe dirigeante.
L’Accusation Implacable : Trente Ans de Sabotage de l’École
Pour cette enseignante, l’éducation n’est plus le « Titanic », elle est « coulée » et les preuves de ce naufrage se lisent dans les bulletins des élèves. L’état des connaissances des jeunes générations est dépeint comme catastrophique. L’enseignante témoigne avoir fait sa rentrée avec des élèves qui, en classe de 4e, sont incapables de conjuguer un verbe à l’indicatif présent. Pire encore, en 5e, l’imparfait est qualifié de « terrain incognita ». L’échec n’est pas personnel, il est systémique, fruit de décennies de réformes malavisées et de changements incessants au gré des ministres – pas moins de sept ministres en seulement trois ans.
Ce constat alarmant est corroboré par des chiffres glaçants émanant du Ministère de l’Éducation Nationale lui-même. Le nombre d’incidents graves signalés dans les établissements scolaires français ne cesse d’augmenter, atteignant le taux alarmant de 16 pour 1000 élèves. Une projection basée sur les effectifs des collèges et lycées publics permet d’estimer ce total à environ 71 000 incidents par an, incluant des insultes, des menaces, du harcèlement et des violences physiques contre le personnel. Le phénomène est particulièrement virulent dans les collèges (55 % des incidents) et les lycées professionnels (25 %). Un fait particulièrement troublant est que les professeurs sont les premières victimes : près de 60 % des faits signalés visent un adulte de l’équipe éducative. Pour la citoyenne, la cause est limpide : « 30 ans de sabotage de l’école » ont conduit à cette explosion de la violence et de l’incapacité scolaire, conséquences d’une école laissée à l’abandon.
Le Scandale de l’Immunité : Quand les Actes Politiques Restent Impunis
L’indignation de cette citoyenne trouve sa source dans le sentiment d’une injustice fondamentale : les politiques prennent des décisions aux conséquences sociétales colossales sans jamais en payer le prix. Elle souligne que si un citoyen lambda écope d’une amende de 135 € pour une bêtise, les ministres et députés, eux, bénéficient d’un régime juridique spécifique.
En droit, cet avantage repose sur deux piliers pour les parlementaires (Députés et Sénateurs) selon l’article 26 de la Constitution : l’irresponsabilité ou immunité absolue, qui les protège de toute poursuite ou jugement pour leurs opinions ou votes émis dans l’exercice de leur fonction, et l’inviolabilité ou immunité relative, qui empêche toute arrestation ou détention sans l’autorisation du bureau de leur assemblée. Pour les ministres, le régime est différent : ils sont justiciables devant la Cour de justice de la République (CJR) pour les infractions commises dans l’exercice de leur fonction. Toutefois, ce régime de protection, s’il vise à garantir leur liberté d’action, crée une zone grise. Sur le plan civil, ni les ministres ni les députés n’ont d’immunité, mais le débat de fond demeure : comment imputer une responsabilité civile à un ministre qui a mis en place une loi dont les conséquences sur l’apprentissage ou la vie sociale sont dévastatrices ? C’est ce déficit de responsabilité effective qui conduit au cri : « Ils font des conneries, ils ne les payent pas. »

Réforme Vallaud-Belkacem (2016) : L’Héritage d’une “Bousille”
La réforme du collège de 2016, orchestrée par Najat Vallaud-Belkacem, est devenue l’archétype de ces “bêtises” politiques aux effets délétères. Annoncée sous les auspices de la “transversalité des enseignements” et de la “lutte contre les inégalités”, la réforme a été violemment contestée. Elle introduisait notamment les Enseignements Pratiques Interdisciplinaires (EPI), censés croiser les matières.
Ses mesures les plus controversées, citées dans la critique, comprenaient la suppression des classes bilangues et des options de latin et de grec, perçues comme un appauvrissement culturel et un nivellement par le bas. En outre, elle prévoyait une réduction du volume horaire de certaines matières fondamentales comme l’histoire-géographie. Pour les enseignants, la réforme s’est traduite par une charge de travail accrue sans compensation salariale. Malgré les assouplissements ultérieurs, notamment la réintroduction de certaines options par Jean-Michel Blanquer en 2017, l’enseignante affirme que cette réforme n’a « pas fini de bousiller les gamins », la qualifiant de responsable de la “nullité” des élèves.
L’Étau de l’Administration : Le Véritable Pouvoir Invisible
Au-delà de la critique des politiques, l’enseignante déplace le projecteur sur le pouvoir insidieux de l’Administration. Elle soutient qu’en réalité, que le ministre soit de gauche ou de droite, « c’est 30 personnes au ministère qui décident. » La politique, au lieu de donner une vision claire, se retrouve otage d’une technostructure, où le politique « dit quelque chose, mais c’est l’administration qui aura le dernier mot. »
Ce constat est partagé par ses collègues dans d’autres secteurs, qu’il s’agisse de la Gendarmerie ou de l’Agriculture. Elle pointe le statut protecteur des fonctionnaires, défini par la loi de 1983, qui garantit la stabilité de l’emploi et rend leur licenciement extrêmement difficile, nécessitant une faute grave, une insuffisance professionnelle avérée ou une suppression de poste sans reclassement. Ce statut, découlant du principe constitutionnel de continuité du service public, crée une inertie. L’appel est lancé à des « politiques forts » et courageux qui oseraient s’opposer à la bureaucratie en exigeant : « nous, on veut faire ça et vous faites ce qu’on vous dit. Et si vous ne le faites pas, vous dégagez. »
Crise de Confiance Généralisée et L’Illusion de l’Égalité
Le malaise citoyen ne se limite pas à l’école. Il touche toutes les institutions et se reflète dans une crise de confiance abyssale. Selon un article des Échos, 83 % des Français estiment que les responsables politiques ne se préoccupent pas des gens comme eux. Les enquêtes d’opinion sont accablantes : 82 % des Français ont une mauvaise opinion des partis politiques, et 82 % jugent la séquence politique actuelle comme un « spectacle navrant. » L’abstention massive aux élections (48 % aux européennes de 2024) illustre ce rejet et le sentiment que les élus vivent dans un « petit monde » déconnecté de la réalité.
Ce sentiment de rupture est exacerbé par l’échec du modèle social. L’affirmation selon laquelle tout Français entrant dans un hôpital public serait « soigné de la même manière » est brutalement contredite par les données officielles. La Cour des comptes constate l’aggravation des inégalités territoriales d’accès aux soins. En 2023, la densité moyenne en lits de réanimation variait de 5,3 pour 100 000 habitants (Pays de la Loire, Bretagne) à 9,4-10 (Île-de-France, La Réunion). De plus, la moitié des patients aux urgences passe plus de trois heures, un signe d’engorgement qui varie fortement d’une région à l’autre. L’existence même d’indicateurs publics de qualité et de sécurité des soins par établissement vise à objectiver ces écarts, prouvant que l’égalité de traitement, honneur proclamé de la France, est loin d’être une réalité.
Souveraineté Érodée : Le Fantôme de Bruxelles et de l’OCDE
Enfin, la citoyenne soulève la question de la souveraineté, accusant l’Union Européenne et l’OCDE d’imposer des dictats, notamment en matière d’éducation et de protection animale, sur des domaines qui devraient rester sous compétence nationale. L’éducation, selon les traités européens (Traité sur le Fonctionnement de l’Union Européenne – Article 6), est bien un domaine souverain exclusif des États membres, tout comme la défense, la fiscalité directe, et la politique budgétaire nationale. L’UE peut soutenir ou harmoniser, mais ne doit pas légiférer directement sur les programmes scolaires.
Cependant, l’enseignante dénonce le fait que l’Éducation Nationale soit de fait gérée par des « compétences bruxelloises » émanant de l’OCDE, où les enfants sont découpés en « tranches » par un système illisible, débile et contraignant. Cette pression s’exerce « à petit bruit » sans véritable participation de la souveraineté populaire, laissant les citoyens sans voix face à des décisions qui déterminent ce que leurs enfants doivent apprendre. Ce constat de la souveraineté érodée, combiné à la réalité économique (une hausse de 34 % des défaillances d’entreprise en 2024, le plus haut niveau depuis 2016, touchant principalement les TPE), dresse le portrait d’une Nation en quête d’une vision forte et d’actes concrets, loin des querelles de chiffonniers des responsables politiques. L’appel final est un cri du cœur pour la reconnexion : « Moi, je vous dis on a des propositions. Invitez-nous à l’assemblée, bossez avec nous. »
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