DÉLIRE GUERRIER À L’ÉLYSÉE : Le Général Mandon, Chef d’État-Major de Macron, Prépare l’Armée à une “Guerre Massive” en Europe.

DÉLIRE GUERRIER À L’ÉLYSÉE : Le Général Mandon, Chef d’État-Major de Macron, Prépare l’Armée à une “Guerre Massive” en Europe.
L’onde de choc se propage au sein de la “Grande Muette” française et frappe de plein fouet l’opinion publique, déjà ébranlée par l’escalade verbale du conflit russo-ukrainien. L’arrivée aux commandes du nouveau Chef d’État-major des Armées (CEMA), le Général Fabien Mandon, n’a pas apporté le calme, mais une annonce fracassante qui a immédiatement ravivé les craintes d’une implication française directe dans la guerre. Ancien chef d’état-major particulier du Président Emmanuel Macron, le Général Mandon a débuté son mandat en diffusant une note de service aux allures de manifeste guerrier, mettant en alerte l’ensemble des personnels civils et militaires. L’expression est sans ambiguïté : « la guerre gronde sur notre continent. »
Cette prise de fonction sous le signe de l’urgence guerrière intervient dans un contexte politique européen et français délétère. Alors que l’Élysée réunit en visioconférence une « Coalition des volontaires » pour promettre des « garanties de sécurité » à l’Ukraine, impliquant le déploiement de troupes au sol, en mer et dans les airs, la parole du nouveau CEMA prend une dimension prophétique et, pour beaucoup, profondément inquiétante. Le basculement s’opère : après des décennies passées à lutter contre le terrorisme, l’armée française est désormais sommée de se préparer à une confrontation étatique « contre des adversaires plus massifs. » Ce changement de doctrine, qui semble avoir été imposé en urgence, soulève des questions fondamentales sur la véritable stratégie d’Emmanuel Macron et sa volonté d’entraîner la France dans ce qu’une frange croissante de l’opinion dénonce comme un « piège terrible de la guerre. »
Le Choix d’un CEMA Aligné : Un Général au Service de la Ligne Guerrière
La nomination du Général Mandon n’est pas un simple changement de garde, mais un acte politique fort. Son prédécesseur, le Général Thierry Burkhard, dont la cérémonie de départ coïncidait avec la publication de cette note, avait quitté ses fonctions soudainement, après que des révélations (notamment dans Le Figaro) eurent mis en lumière les inquiétudes de l’ancienne hiérarchie militaire sur l’état de préparation des armées et la faiblesse des stocks après le soutien massif à l’Ukraine. En substance, l’ancienne ligne de commandement estimait que l’armée n’était « absolument pas prête » et que la France avait donné « toute notre armée à l’Ukraine. »
Le remplacement de Burkhard par Mandon, un homme du sérail élyséen, suggère une volonté de l’Exécutif d’aligner le commandement militaire sur une ligne politique jugée plus offensive et moins critique. Ce n’est pas la première fois que la haute hiérarchie militaire se retrouve en tension avec l’Exécutif sur des questions d’engagement, mais la vitesse avec laquelle le nouveau CEMA a relayé un message belliciste est inédite. L’action de Mandon apparaît comme l’officialisation d’une nouvelle doctrine : la priorité absolue est la préparation à une guerre de haute intensité sur le continent européen.
La Lettre Glaçante du Général Mandon : “Nous Devons Être Prêts à Gagner la Guerre”
La lettre, datée du 1er septembre, bien que destinée aux personnels internes, a rapidement fuité, offrant un aperçu rare et saisissant de l’état d’esprit au sommet de l’appareil de défense. Après des formules de politesse convenues, le général Mandon délivre un paragraphe d’une gravité exceptionnelle :
« Car l’incertitude de notre environnement en Europe, au Proche et Moyen-Orient, en Indo-Pacifique, en Afrique va marquer votre engagement ces prochaines années. Après des décennies de lutte contre le terrorisme, qui reste une menace pour notre société et contre laquelle nous restons engagés, la perspective de combat contre des adversaires plus massifs est également là. Notre nation le sait. Elle compte sur nous pour la défendre. Elle consent des efforts pour que nous nous y préparions et soyons le rempart qui la protège. Cela nous oblige. J’attends de vous que vous vous prépariez donc avec rigueur et exigence tous les jours pour vaincre si nous devions être engagés au combat. La guerre gronde sur notre continent. Nous devons être prêts à gagner la guerre si la France avait besoin d’usé de la force. »

Le ton est celui de la rupture. Finie l’ère de la projection externe en opérations de maintien de la paix ou de l’antiterrorisme. La France est désormais sommée de se préparer à la possibilité d’une guerre sur son propre continent. Le message est un appel à la mobilisation psychologique et opérationnelle qui dépasse le cadre habituel des communications militaires et vient légitimer a posteriori les annonces d’Emmanuel Macron concernant la Coalition des volontaires.
Le Piège du Déploiement : L’Annonce des Troupes en Ukraine
L’urgence martiale du Général Mandon est indissociable des mouvements diplomatiques de l’Élysée. Lors de la réunion de la Coalition des volontaires tenue le 4 septembre, Emmanuel Macron a annoncé que 26 pays, majoritairement européens, s’étaient engagés à participer à une « force de réassurance » dans le cadre d’un futur cessez-le-feu russo-ukrainien. L’élément le plus troublant de cette annonce, relayé notamment par Le Monde, est la nature de l’engagement : elle prévoit le déploiement de troupes en Ukraine, présentes « sur le sol, en mer et dans les airs. »
Si 26 nations ont participé à la réunion, l’inquiétude grandit que la France se retrouve en première ligne, aux côtés du Royaume-Uni. Le risque est double : non seulement ces garanties de sécurité sont perçues par la Russie comme une inacceptable « garantie de danger » pour le continent européen, comme l’a déclaré Maria Zakharova, porte-parole de la diplomatie russe, mais elles sont annoncées sans un débat ni un vote au Parlement français. L’opacité autour de l’implication de la France, qui semble prête à envoyer des contingents en zone de conflit potentielle, est un déni démocratique majeur, en totale contradiction avec le devoir de transparence des autorités. La question qui brûle les lèvres des Français est : sommes-nous déjà engagés dans cette guerre sans en avoir été informés ni consultés ?
Propagande de Guerre et Faux Drapeaux : Le Cas du Brouillage GPS
L’escalade n’est pas seulement militaire et diplomatique, elle est aussi informationnelle, frôlant l’opération de provocation. L’exemple le plus édifiant de cette tactique de tension est l’affaire du brouillage GPS de l’avion d’Ursula von der Leyen. Le 2 septembre, les médias ont massivement relayé une information selon laquelle la Russie était « soupçonnée d’avoir brouillé le signal GPS » de l’avion de la Présidente de la Commission européenne, alors qu’il atterrissait en Bulgarie. Le signalement venait des autorités bulgares, et une source communautaire s’interrogeait déjà : « Qui d’autre aurait pu faire ça ? »
Cette accusation, aussitôt transformée en certitude par de nombreux médias, a été démentie avec une rapidité déconcertante, mais largement ignorée. Dès le soir du 1er septembre, le site spécialisé Flight Radar, qui suit l’intégralité des vols mondiaux, a publié un communiqué affirmant que « Le transpondeur de l’avion a signalé une bonne qualité du GPS, du décollage à l’atterrissage. » En d’autres termes : l’incident était faux. L’information a été propagée pour accuser la Russie d’une « fausse menace » et d’un acte de guerre technologique.
Ce type d’opération de désinformation, facilement détectable mais difficile à contrecarrer une fois le premier son de cloche entendu, révèle la nervosité et la détermination des élites européennes à justifier une ligne dure. Combinée aux déclarations hystériques de certains dirigeants – à l’instar du Chancelier allemand Mertz (dans la vidéo, il est cité comme Chancelier, bien qu’il soit à l’époque opposant) qui a qualifié Vladimir Poutine de « criminel de guerre le plus grave de notre époque » en exigeant « aucune clémence » – la France et l’Europe semblent s’enfoncer dans une rhétorique sans issue, où le dialogue est remplacé par l’injure et la provocation.
L’Urgence Démocratique : Sortir du Piège Macron-UE-OTAN
Face à ce « délire euro-acroniste », le ton du débat populaire se durcit. L’inquiétude majeure est qu’Emmanuel Macron, sentant son pouvoir fragilisé (à quelques jours du vote de confiance du 10 septembre, la tension politique est maximale), puisse être tenté d’invoquer l’Article 16 de la Constitution, qui lui confère les pleins pouvoirs sous le motif d’une menace grave et immédiate sur la République ou la Nation. Même si le budget ou d’autres motifs sont jugés recevables par lui, l’utilisation de l’Article 16 sur le motif de la guerre lui conférerait un pouvoir absolu pendant au moins 30 jours, contournant tout contrôle démocratique.
Pour les mouvements de résistance, l’urgence est triple :
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Stopper l’Engagement Français : Exiger l’arrêt immédiat de l’envoi d’armes, d’euros et, surtout, de soldats français vers l’Ukraine.
Démission d’Emmanuel Macron : Démouvoir le Président qui, par ses initiatives, met la France en danger.
Frexit : Le départ de la France de l’Union européenne et de l’OTAN, considérés comme les vecteurs principaux de cette escalade belliciste.
La paix et la souveraineté nationale ne se feront pas « toutes seules ». La France, historiquement garante de l’équilibre, est aujourd’hui perçue par une partie de ses citoyens comme le moteur d’une escalade irresponsable. La lettre du Général Mandon n’est pas un appel à la prudence, mais un manifeste qui exige des Français qu’ils ouvrent les yeux sur la gravité du moment : la perspective de la guerre n’est plus un scénario lointain, elle est la nouvelle doctrine officielle.
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