HAINE RACIALE EN DIRECT : LE RAPPEUR QUI VOULAIT « TUER DES BÉBÉS BLANCS » HUMILIÉ PAR LA DÉFENSE PASSIONNÉE DE LA FRANCE

Article: HAINE RACIALE EN DIRECT : LE RAPPEUR QUI VOULAIT « TUER DES BÉBÉS BLANCS » HUMILIÉ PAR LA DÉFENSE PASSIONNÉE DE LA FRANCE
Le plateau de télévision s’est transformé en cour d’assises populaire. Ce qui aurait pu être un débat sur la liberté d’expression a viré à une confrontation morale et juridique d’une intensité rare. En face-à-face, un rappeur, Nick Conrade, déjà condamné pour incitation à la haine, a tenté de justifier ses paroles abjectes, et une commentatrice, visiblement à bout, a livré une riposte cinglante qui a résonné comme une défense de la nation face à l’insulte. Ce moment de télévision met en lumière le fossé béant qui sépare l’idéologie victimaire et la réalité d’une justice perçue comme trop clémente, révélant une fracture profonde sur la cohésion et le respect de la France.
L’Insoutenable Légèreté des Paroles : Appel au Meurtre en Direct
La polémique est née de paroles de chansons qui excèdent de loin les limites de la provocation artistique : « Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vites et pendez leurs parents. » Devant les caméras, Nick Conrade a été sommé d’expliquer « qu’est-ce qui se passe dans votre tête » pour avoir écrit de tels vers. La commentatrice a rappelé le contexte macabre des paroles : « Fouettez-les fort, faites-le franchement. Que ça pue la mort et que ça pisse le sang, » citant également des propos vulgaires, racistes et sexistes, incluant l’étranglement d’une femme blanche dans le clip et l’expression ignoble « j’ai baisé la France jusqu’à l’agonie cette hexagone j’encule sa grand-mère. »
Le rappeur a tenté une défense maladroite et contorsionnée, invoquant un « vécu qui est le mien » et le sentiment de ne pas être « toujours accepté » ni « toujours reconnu » dans un pays qui est pourtant le sien. Il a plaidé l’« effet miroir » et la nécessité d’une « conversation de l’histoire commune que nous partageons. » Pour lui, la violence des mots est le reflet de la violence qu’il ressent. Cette justification, qui transforme un appel au meurtre et au racisme explicite en un simple outil didactique, a été qualifiée de « posture victimaire insupportable. »
L’indignation du plateau était d’autant plus vive que Conrade, après sa condamnation en 2020 (confirmée en appel), avait publiquement affirmé : « Je ne reviens pas sur ce que j’ai dit. Je ne le regrette pas. Je le pense vraiment. » L’accusation était donc celle de l’hypocrisie et du cynisme : comment prétendre vouloir la paix ou l’intégration tout en assumant et en revendiquant un tel niveau de haine ?
Le Mythe de la Ségrégation : Quand l’Histoire est Invoquée sans Être Connue
Pour étayer sa « tension qui est française, » le rappeur a invoqué une prétendue histoire de ségrégation et d’inégalités structurelles. La riposte, nourrie par une connaissance précise du droit et de l’histoire, fut brutale.
La commentatrice a coupé court au raisonnement, dénonçant un homme qui « invoque l’histoire de ce pays sans la connaître. » Elle a rappelé une distinction historique fondamentale, souvent occultée ou déformée dans ce type de débat : contrairement aux États-Unis, où la ségrégation raciale a été officialisée et encadrée légalement par les lois Jim Crow pendant près d’un siècle, la France n’a jamais institué de système juridique de ségrégation raciale sur son territoire métropolitain.
La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 et la Constitution française garantissent l’égalité de tous devant la loi, « sans distinction de race, de religion ou d’origine. » La seule exception notable a été le Code de l’Indigénat dans les colonies, mais jamais sur le territoire national, hormis la parenthèse de Vichy. Cette rectification cinglante a démoli le mythe d’une France comparable à l’Amérique des années 50, remplaçant l’idéologie par les faits. Accusé de véhiculer un « salmigondis de pensée toute faite, » le rappeur s’est trouvé acculé, son argumentaire historique n’ayant aucune base légale ou constitutionnelle en France.

L’Insulte aux Morts : La Banalisation du Terrorisme
Au-delà de l’incitation à la haine raciale, un détail du texte du rappeur a soulevé une vague d’horreur : l’évocation du terrorisme. Nick Conrade a cité dans ses paroles le nom de Khaled Kelkal, le terroriste franco-algérien impliqué dans la vague d’attentats qui a frappé la France à l’été 1995, notamment l’attentat à la bombe du RER B à la station Saint-Michel (8 morts, plus de 100 blessés).
Évoquer, dans une œuvre prétendument artistique, un terroriste responsable de l’assassinat de civils français est un franchissement de ligne rouge absolu. La commentatrice, furieuse, a dénoncé avec force cette banalisation : « Vous êtes obligé de parler de Kelkal dans une chanson ? » L’association de l’artiste à une figure du djihadisme qui a fait couler le sang sur le sol français a été perçue comme une insulte aux victimes du terrorisme et une preuve de plus que les paroles du rappeur excédaient les limites de la provocation pour entrer dans le champ de l’apologie de la violence extrême. L’insistance du rappeur à vouloir justifier cela par un argument secondaire (une professeure l’aurait appelé Kelkal) a été balayée comme une « excuse » futile face à la gravité des faits historiques.
L’Humiliation Suprême : La Défense Passionnée de l’Hexagone
Le moment le plus intense, et le plus partagé sur les réseaux sociaux, fut la conclusion personnelle et définitive de la commentatrice. S’étant assurée que le rappeur confirmait être français de naissance, elle a opposé son identité à l’insulte que l’artiste proférait à l’Hexagone.
Citant à nouveau les paroles injurieuses du rappeur — « j’ai baisé la France jusqu’à l’agonie cette hexagone j’encule sa grand-mère » — elle a opposé sa propre histoire : « la grand-mère de cette hexagone, c’est la mienne, voyez-vous. » C’était une affirmation de l’identité française qui transcende l’origine, une défense viscérale de la patrie face à la crasse verbale.
La conclusion fut un ultimatum cinglant, qui a laissé le rappeur sans voix et contraint de demander une pause : « Donc, si ce pays est insupportable et que vous avez envie d’enculer sa grand-mère comme vous dites, mais la porte est ouverte en fait. » Cet argument, souvent perçu comme la voix du bon sens face à l’ingratitude, a fait exploser le plateau. Il remet la question de la loyauté nationale et de l’appartenance au centre du débat : si la haine de la France est le seul horizon, alors la liberté de la chercher ailleurs existe.
Justice à Géométrie Variable : Le Prix Dérisoire de la Haine
Ce scandale médiatique soulève une question cruciale sur l’application de la loi. En droit français, l’incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination est sévèrement punie par la loi du 29 juillet 1881. L’article 24 prévoit théoriquement jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende pour des menaces publiques envers un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur race. Le Code Pénal aggrave les sanctions lorsque les menaces sont diffusées via un réseau de communication.
Pourtant, malgré la gravité des paroles et des images (l’étranglement d’une femme blanche étant cité), Nick Conrade n’a été condamné qu’à 5 000 € d’amende sans sursis. La légèreté de la sanction, contrastée par le rappel des peines encourues, a été pointée du doigt par le créateur de la vidéo. Une application aussi clémente du droit, en particulier sur un appel explicite au meurtre et au terrorisme, envoie un signal désastreux : elle banalise la violence verbale et, aux yeux de nombreux citoyens, crée une justice à géométrie variable, jugée sévère sur d’autres figures politiques et étonnamment indulgente sur des appels à la haine raciale ciblée.
Le déchirement de l’Assemblée nationale sur les questions d’immigration et de souveraineté trouve un écho tragique dans ce débat télévisuel. Il ne s’agit plus de savoir si le rap est un art, mais si l’appel à la violence raciale, même masqué sous un prétexte poétique ou victimaire, peut être toléré dans la République. L’humiliation du rappeur face à une défense passionnée des valeurs françaises n’est que le symptôme d’une colère populaire contre le déni des faits et la complaisance face à la haine. L’enjeu pour la France est clair : retrouver un discours de fermeté qui garantisse à la fois l’égalité constitutionnelle et l’intégrité morale de la nation.
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