« Trop cruel ! » Faustine Bollaert révèle enfin ce que Maxime Chattam lui a fait…
identifiant comme émission et puis c’est très fédérateur parce que la pâtisserie est très fédératrice. C’est vraiment quelque chose qui coûte pas cher, qu’on peut tous faire. Trop cruel. Faustine Bolert vient enfin de briser le silence. Après des années de rumeur et de spéculation, l’animatrice au sourire radieux, connue pour son empathie et sa douceur à l’écran, a révélé une vérité que personne n’aurait imaginé derrière l’image parfaite du couple.
qu’elle formait avec l’écrivain à succès Maxime Chatam se cachait une réalité bien plus complexe, parfois douloureuse, que Faustine n’avait jamais osé partager jusqu’à aujourd’hui. Dans une confession bouleversante, elle a choisi de parler sans détour, les mots tremblants mais sincères évoquant les moments où elle s’est sentie trahie, incomprise, parfois même brisée.
Le public, habitué à la voir tendre la main à ceux qui souffrent dans son émission, a découvert une femme à son tour blessée, marqué par des gestes et des attitudes qui ont laissé une trace profonde dans son cœur. Ce qu’elle raconte ne relève pas du simple désaccord. C’est une épreuve intime, presque insoutenable, qui a mis à l’épreuve sa force intérieure et son rapport à l’amour.
Faustine parle avec une retenue admirable sans chercher à accuser, mais en livrant le poids du silence qu’elle a longtemps porté. Ces paroles raésonnent comme un cri du cœur, une libération après des années de douleur cachées derrière les sourires de façade. Le choc est immense. Les fans bouleversés ne savent sachent plus comment réagir.
Compassion pour Faustine, incompréhension face à Maxime. L’affaire suscite une vague d’émotion inédite sur les réseaux sociaux où chacun exprime sa solidarité. Ce témoignage sincère nous rappelle qu’aucune célébrité n’est à l’abri des blessures invisibles. Faustine Bolert, en se confiant ainsi prouve une fois de plus son courage et son humanité profonde.
La nouvelle a eu l’effet d’une déflagration. Après quinze d’amour, Faustine Bolaert et Maxime Chatam ont pris des chemins différents. Dans le monde feutré du PAF, c’est un véritable séisme. Longtemps, ils ont incarné ce couple modèle discret mais soudé entre la douceur lumineuse de l’animatrice et la profondeur mystérieuse de l’écrivain.
Pourtant, depuis plusieurs mois, un éloignement s’était installé. Imperceptible d’abord, puis de plus en plus visible pour ceux qui savaient observer. Sur les plateaux, Faustine gardait son éternel sourire, cette bienveillance naturelle qui fait d’elle une figure aimée du public. Mais derrière les caméras, le silence pesait.
Les rendez-vous se faisaient plus rares, les regards moins complices. Maxime, absorbé par ses romans sombres et son univers fantastique, semblait glisser dans une autre réalité. Faustine, elle restait ancrée dans le concret, dans la chaleur humaine, dans la vie des gens qu’elle accueille chaque jour à l’écran.
Deux univers qui peu à peu n’arrivaient plus à se rejoindre. Les proches du couple racontent des discussions interminables, des tentatives pour raviver la flamme, des vacances en famille où la distance se lisait malgré les sourires forcés. Ce fut une lente dérive, presque silencieuse jusqu’à ce que l’évidence s’impose.

L’amour avait changé de visage. Faustine, dans sa dignité habituelle, a choisi la discrétion refusant toute mise en scène médiatique. Aujourd’hui, elle avance seule, portée par la tendresse de ses enfants et le respect d’un public fidèle. Cette séparation, loin de la briser, semble révéler une nouvelle force en elle.
Une femme résolu à continuer d’aimer la vie. Malgré tout, les caméras s’allument, les invités s’installent et Faustine sourit encore. Mais désormais, derrière ce sourire, il y a une histoire, une blessure et surtout une incroyable résilience. L’annonce de leur rupture confirmée à la mi-juillet a glacé leurs admirateurs. Pendant 15 ans, Faustine Bolaert et Maxime Chatam avaient formé un duo à la fois pudique et exemplaire.
Un couple que l’on croyait inébranlable. Leur mariage célébré en 2012 dans une atmosphère intime semblait scellé par la complicité et le respect. Leur amour avait résisté aux années, aux tournées de livres, au tournage, à la notoriété jusqu’à ce que la réalité du quotidien s’impose insidieusement comme un poison lent.
Ceux qui les ont côtoyés récemment décrivent une relation où la tendresse s’effilochait. Faustine, appé par ses émissions, ses engagements, ses tournages, rentraient souvent tard. Maxime, lui écrivait jusqu’à l’aube, enfermé dans l’univers sombre de ses intrigues. Il ne faisait plus que se croiser dans leur maison entre deux départs, deux silences, les dîners de famille devenaient des poses rares dans un tourbillon d’agenda.
Les enfants, trop jeunes pour comprendre, percevaient pourtant cette distance, ce manque de rire partagé. D’après une source proche, c’est Faustine qui aurait pris la décision finale. Une décision mur réfléchie, douloureuse mais nécessaire. Elle ne voulait plus faire semblant ni s’efforcer de sauver une histoire qui ne respirait plus.
Maxime, dévasté mais lucide, aurait tenté de renouer, de reconstruire en vain. Leur chemin jadis parallèle ont fini par diverger lentement mais irrémédiablement. Les murs de leur maison, autrefois plein de vie, raisonnent désormais d’un silence étrange. Faustine s’y montre moins, préférant se réfugier dans le travail, dans l’écoute des autres.
Maxime quant à lui se plonge dans l’écriture comme pour exorciser cette douleur discrète. Et pendant que les projecteurs s’allumentent autour d’eux, le public découvre stupéfait que même les histoires d’amour les plus solides peuvent s’éteindre sans fracas. Seulement dans le murmure d’un adieu qu’on devine encore empreint de respect avant de devenir le visage incontournable Bingomad.
Ça commence aujourd’hui. Faustin Bolahert s’était déjà distingué par sa sincérité désarmante. En 2006, bien avant la notoriété et les plateaux de France I, elle apparaissait timidement dans l’émission 93 faubourg Saint-Honoré de Thierry Hardisson. Ce soir-là, autour de la table, entre deux éclats de rire et des verrs Yanambor qui s’entrechoquent, la jeune femme n’a pas peur de se livrer.
On découvre une faustine à la fois pétillante et vulnérable, une personnalité déjà marquée par la passion et les blessures du cœur. Face à un hardisson curieux et incisif, elle parle sans détour de cette rupture extrêmement difficile qu’elle vient de traverser. Son regard se voile un instant avant qu’un sourire léger ne revienne illuminer son visage.
Elle confie alors presque en chuchotant qu’un nouvel amour est déjà entré dans sa vie, qu’elle se sent très très amoureuse. Le ton est sincère, presque enfantin, mais il révèle déjà la profondeur émotionnelle d’une femme qui vit intensément, qui ressent tout sans barrière. À cette époque, Faustine n’a pas encore sa stop encore rencontré Maxime Chatam.
Elle n’est pas encore cette animatrice emblématique que la France entière admire. C’est une jeune femme en construction tiraillée entre sa carrière naissante et ses émois personnelles. Dans le regard des invités, ce soir-là, on devine qu’elle dégage déjà quelque chose d’unique. Une chaleur humaine rare, une authenticité qui traverse l’écran.

Ce passage télévisé, oublié du grand public, prend aujourd’hui une résonance particulière. car on y lit déjà les prémisses de la femme qu’elle deviendra entière, sincère, incapable de tricher avec ses émotions. Dans un monde médiatique, souvent dominé par les masques, Faustine, elle choisit la transparence. Ce soir-là, sans le savoir, elle posait la première pierre d’une image publique fondée sur la vérité et la proximité, celle qui fera d’elle quelques années plus tard l’une des figures les plus aimées du petit écran. C’est
véritablement au tournant des années 2010 que la trajectoire de Faustine Bolaert prend son envol. Après des années à enchaîner les expériences dans la presse écrite puis à la télévision, elle trouve enfin le ton, le rythme, la place qui lui corresponde. D’abord repéré pour sa spontanéité et sa chaleur sur les plateaux de vivement dimanche prochain ou 100 %.
Mag, elle se distingue par un naturel rare. Elle ne joue pas, elle vit ce qu’elle dit. C’est ce mélange d’authenticité et de proximité qui va bientôt la propulser au sommet du paysage audiovisuel français. Mais c’est en 2017 avec le lancement de Ça commence aujourd’hui sur France 2 que tout bascule. Dès les premières émissions, quelque chose d’unique se produit.
Le plateau sobre baigné de lumière devient un véritable cocon d’humanité. Faustine y accueille des inconnus, souvent brisés par la vie, venus livrer leur histoire devant des millions de téléspectateurs. Et là, face à eux, elle ne se contente pas d’animer. Elle écoute, elle ressent, elle console.
Ces silences en disent parfois plus long que les mots. Chaque regard, chaque geste de faustine témoigne d’une empathie authentique. Elle s’adresse à ses invités comme à des proches sans condescendance ni jugement. Le public bouleversé s’attache immédiatement à cette femme qui sait transformer la douleur en lien, les larmes en dialogue.
L’émission devient un phénomène de société. Des milliers de témoignages affluent chaque semaine. Les sujets abordés, deuil, résilience, amour, famille raisonnent profondément dans les foyers. Faustine incarne une parole bienveillante et sincère dans un monde télévisuel souvent froid et formaté. Ce succès fulgurant ne doit rien au hasard.
Faustine a trouvé dans ce format un miroir parfait de sa personnalité. Elle ne se cache plus derrière un rôle, elle se révèle pleinement. Sa commence aujourd’hui devient pour elle bien plus qu’une émission. Une mission, presque une thérapie collective où elle partage avec le public la conviction que chacun mérite d’être entendu.
Le visage de Faustine Bolert s’impose alors partout, sur les affiches, dans les journaux, sur les réseaux. Mais loin d’être grisée par la célébrité, elle garde cette simplicité désarmante. Son rire franc, sa capacité à pleurer avec les autres, son respect du silence font d’elle une figure rare, presque intemporelle. Les critiques saluent une voix du cœur dans le paf, capable de redonner à la télévision ce qu’elle avait perdu de l’émotion vraie.
Dans les coulisses, on raconte qu’elle prépare chaque émission avec une précision extrême, lisant les témoignages et changeant longuement avec les invités avant leur passage. Elle veut tout comprendre, tout ressentir. Cette exigence mêlée à sa profonde humanité explique pourquoi le public ne décroche plus.
Faustine ne présente pas seulement des histoires, elle les vit et c’est précisément cette capacité à se mettre à la place des autres qui fait d’elle aujourd’hui encore l’un des visages les plus aimés et respectés de la télévision française. Avant d’être ce visage radieux de la télévision française, Faustine Bolaert a connu une enfance bien loin des paillettes.
Né le 20 mars 1979 à Paris, elle grandit dans un foyer où la sensibilité et le doute cohabitent avec l’exigence et la pudeur. Dès ces premières années, elle perçoit le monde à travers un prisme d’émotion fortes, presque trop grande pour son âge. Ce tempérament hyper sensible qu’elle assume aujourd’hui à l’écran prend racine dans ces jeunes années où rien ne semblait simple.
Son père, homme de caractère, incarne la rigueur et la discrétion. Sa mère, d’origine italienne lui transmet ce goût de la chaleur humaine, de la parole sincère, de la famille soudée autour d’un repas. Entre eux, la petite Faustine cherche sa place, observatrice attentive d’un monde d’adultes où les silences en disent souvent plus que les mots.
Très tôt, elle sent cette envie viscérale de comprendre les autres, d’écouter, de décoder ce que les gens ne disent peau pas. Mais derrière les murs de l’appartement familial, la vie n’est pas toujours tendre. Les tensions, les non dit, les moments d’incompréhension pèsent sur la jeune fille. Elle ressent intensément les blessures des siens sans pouvoir les apaiser.
L’école devient pour elle un refuge fragile. Là encore, Telson, elle se distingue, rêveuse, curieuse, un peu différente. Elle écrit beaucoup, remplie des carnets de pensées, de petits récits, de dialogues imaginaires. Cette habitude qu’elle gardera toute sa vie lui permet de poser des mots sur les émotions qu’elle ne peut exprimer autrement.
Son adolescence marquée par la recherche de soi osille entre timidité et envie de briller. Elle aime déjà la scène mais redoute le regard des autres. Lorsqu’elle découvre le théâtre. C’est une révélation. Jouer, c’est vivre mil vies, c’est comprendre les âmes humaines. Pourtant, même là, Faustine garde cette pudeur, ce mélange de fragilité et de force qui deviendra plus tard sa signature.
Les années passent et la jeune fille comprend que son regard sur les gens, cette empathie naturelle peut devenir une force. Derrière sa douceur se cache une détermination solide, celle de s’émanciper, de construire son propre chemin malgré les doutes et les blessures du passé. Elle n’a pas grandi dans le luxe ni dans la facilité, mais dans une atmosphère où l’on apprend à écouter avant de parler, à observer avant d’agir.
Ce contexte familial, parfois pesant mais profondément formateur, forge chez elle une qualité rare, la compassion véritable. Elle ne juge pas, elle comprend. Et c’est sans doute cette enfance faite de contrastes entre fragilité et courage qui fera d’elle plus tard cette femme capable de recueillir les confidences les plus intimes sans jamais trahir la confiance de ceux qui se livrent à elle.
Chaque sourire qu’elle offre aujourd’hui sur les plateaux de télévision porte encore quelque part la trace de cette petite fille qui observait le monde avec émotion. Une enfant qui a appris très tôt que la douceur parfois est la plus grande des forces. Derrière les projecteurs, la vie de Faustine Bolaert s’écrit avec une simplicité désarmante.
Loin du tumulte médiatique, elle a toujours cherché à préserver une bulle de douceur pour les siens. Un espace intime où la notoriété n’a pas sa place. Pendant 15 ans, elle a partagé son quotidien avec l’écrivain Maxime Chatam. de son vrai nom Maxime Drouau, un homme à l’univers aussi fascinant qu’opposé au sien.
Lui, plongé dans les ténèbres de ces thrillers, elle ancré dans la lumière et l’écoute. Ensemble, ils ont formé un couple complémentaire nourri par le respect et la curiosité mutuelle. De leur union sont nés deux enfants : Aby en 2013 puis Peter en 2015. Faustine parle rarement d’eux publiquement mais chaque fois qu’elle les évoque, sa voix se teintte d’une tendresse infinie.
Elle les décrit comme sa boussole, son ancrage dans le réel, la raison pour laquelle elle garde les pieds sur terre malgré le succès. Ces journées, souvent longues et intenses, se terminent toujours auprès d’eux. “Je coupe tout quand je rentre”, confiait-elle un jour. “Le travail reste dehors. À la maison, je ne suis plus l’animatrice, je suis juste leur maman.
” La famille a longtemps vécu dans une maison discrète nichée en région parisienne. Une demeure chaleureuse entourée de verdure à l’abri des regards. Faustine y a créé un véritable cocon familial fait de rire, de livres et de souvenirs partagés. Chaque pièce respire la sérénité des bougies, des photos, des objets simples choisis avec soin.
Elle aime recevoir, cuisiner, partager des repas en famille, loin des plateaux et des caméras. C’est là qu’elle se ressource, qu’elle retrouve l’essentiel. Même après la séparation avec Maxime annoncée en 2025, Faustine a tenu à maintenir cette atmosphère d’équilibre. Les enfants vivant entre leurs deux parents dans une harmonie que l’animatrice a voulu préserver à tout prix.
“Je ne veux pas qu’il ressent le manque, mais qu’ils perçoivent l’amour même différent”, aurait-elles confié à des proches. Leur père demeure présent, engagé et le respect mutuel entre les deux anciens conjoints reste intact, preuve d’une grande maturité. Faustine aujourd’hui vit dans un appartement lumineux non loin de Paris.
Une adresse modeste choisie pour sa tranquillité avec un petit balcon où elle aime boire son café au lever du jour. Ses proches disent qu’elle s’y sent libre, apaisée, plus en phase avec elle-même. Les murs décorés de souvenirs et de dessins d’enfants reflètent son âme. Simple, sensible, vrai. Elle n’a jamais cherché l’opulence, préférant la chaleur d’un foyer vivant à l’éclat d’un décor luxueux.
Ce rapport intime au foyer, à la famille, à la vie domestique explique sans doute pourquoi Faustine inspire autant de proximité au public. Elle incarne cette France sincère, celle qui travaille, élève ses enfants, aime profondément mais sans phare. Et dans ce quotidien tissé d’amour et de silence, on devine une femme qui, malgré les épreuves, continue d’avancer avec la même lumière douce dans le regard, celle d’une mère, d’une femme et d’une âme profondément humaine.
Née le 20 mars 19719 à Paris, Faustine Bolaert, de son vrai nom, Faustine Brigitte. Suzanne Bolaert grandit dans une famille cultivée où la parole, la curiosité et l’émotion tiennent une place essentielle. Dès l’enfance, elle développe un goût prononcé pour les histoires humaines, celles qu’on raconte à table, qu’on devine dans les regards ou qu’on entend dans les silences.
Ce rapport profond à l’autre, à la fois attentif et bienveillant, deviendra le fil rouge de toute sa carrière. Issu d’un milieu mêlant rigueur et sensibilité, Faustine trace sa route avec détermination. Après le baccalauréat, elle rejoint l’Institut supérieur de la communication, de la presse et de l’audiovisuel ISCPA où elle affine son goût pour le journalisme.
Elle y découvre une passion pour le récit, l’interview, le décryptage du réel. Curieuse, vive, habitée par le besoin d’apprendre, elle s’impose rapidement comme une jeune femme de caractère. Dès ses débuts, elle refuse la superficialité. Ce qu’elle veut, c’est comprendre les gens, pas simplement les interroger.
Ses premiers pas professionnels, elle les fait dans la presse écrite notamment chez le Figaro, télé 7 jours et France soir. Ces années de formation lui apprennent de la rigueur, le sens du détail, l’importance du mot juste. Puis à la fin des années 199, la télévision l’appelle. Elle débute dans des émissions comme la vie en clair sur Canal Plus puis fait ses armes sur vivement dimanche prochain auprès de Michel Drucker avant de rejoindre M6 où elle s’impose peu à peu.
Son sourire franc, son ton accessible et sa spontanéité séduisent le public. Entre 2006 et 2012, elle multiplie les projets passant de la radio à la télévision, de la chronique à l’animation. On la retrouve dans le meilleur pâtissier, émission qui révèle une autre facette de sa personnalité. Joyeuse, maternelle, profondément humaine.
Son rire communicatif et sa manière d’accompagner les candidats sans jamais se mettre en avant la distingue de nombreuses autres animatrices. Le public s’attache, les producteurs le remarquent. Faustine n’est pas seulement une professionnelle, elle est une présence, une âme. Mais c’est en 2017 sur France Isa commence aujourd’hui qu’elle atteint la consécration.
L’émission fondée sur les témoignages de vie devient un miroir de la société française. Faustine y incarne l’écoute, la douceur et la compassion. Elle aborde sans détour les sujets les plus sensibles, la perte, la reconstruction, le pardon, toujours avec cette même pudeur, cette émotion sincère. En quelques années, elle devient une figure de confiance, celle à qui les téléspectateurs osent tout confier.
Au-delà de la télévision, Faustine Bolaert est aussi autric. Dans ses ouvrages et ses chroniques, elle parle de ses doutes, de la maternité, de la quête de soi. Elle y dévoile une plume fine, directe, souvent empreinte de tendresse. Aujourd’hui, son parcours force le respect. Journaliste, animatrice, écrivaine, mais avant tout femme de cœur. Rien ne lui a été donné.
Elle a bâti sa carrière à la force du travail, de la sincérité et d’une profonde humanité. Derrière son sourire apaisant, on devine la persévérance d’une femme qui depuis toujours cherche à transformer les émotions en lumière, les blessures en mots et les rencontres en véritables instants de vérité.
Faustine Bolert, derrière ses sourires lumineux et sa voix rassurante cache une histoire de vie. profondément humaine, faite de doutes, de blessures, mais aussi d’une incroyable force intérieure. Chaque mot qu’elle prononce, chaque regard qu’elle pose sur les invités de son émission transpire une sincérité rare. On comprend alors que ce n’est pas seulement une animatrice que l’on regarde à l’écran, mais une femme qui a appris à aimer la vie malgré ses épreuves.
Une âme qui a choisi la bienveillance comme arme contre la douleur. Faustine n’est pas née dans la facilité. Elle s’est construite à force de courage, de persévérance et de foi en l’humain. Elle a connu la peur de l’échec, les jugements, les moments de solitude, mais jamais elle n’a cessé de tendre la main aux autres. C’est cette capacité à écouter sans juger, à comprendre sans condamner qui la rend si proche de chacun de nous.
Derrière la célébrité, il y a une femme profondément sensible, une mère aimante, une compagne fidèle, une amie loyale. Alors si si son parcours vous touche, si vous sentez cette chaleur humaine traverser l’écran, montrez-lui votre soutien. Likez cette vidéo, partagez-la pour que d’autres découvrent la vraie faustine boler celle qui inspire, celle qui console, celle qui prouve qu’on peut transformer la douleur en lumière.
Et surtout, abonnez-vous à la chaîne pour continuer à suivre son histoire parce qu’il y a temps encore à apprendre de cette femme au grand cœur.
News
End of content
No more pages to load

