Julia Roberts brise 30 ans de silence : ce qu’elle avoue sur Richard Gere choque tout le monde.
À ans, je m’ass face à moi-même. Le temps a passé, les rides sont venus, mais certaines vérités refusent de vieillir. Je suis Julia Roberts et aujourd’hui, je vais parler d’un nom que j’ai longtemps évité de prononcer autrement qu’à travers les rôles et les sourires de façade, Richard. Pendant 30 ans, j’ai gardé le silence, non par peur du scandale, mais parce que certaines histoires ne supportent pas la lumière du jour.
Elles vivent mieux dans l’ombre, dans le murmure d’un souvenir. Je me souviens du moment exact où tout a commencé. Une audition, une pièce trop froide, une main tremblante et un regard. Il n’était pas encore un fantôme de mon passé, mais déjà la promesse d’une brûlure. J’avais 22 ans, pleine d’incertitude et lui, 40, sûr de tout, surtout de lui.
Ce jour-là, je croyais jouer une scène. Je ne savais pas que je venais d’entrer dans le film de ma vie. Richard m’a regardé comme personne ne l’avait jamais fait. Ce regard n’était pas celui d’un acteur. C’était celui d’un homme qui voit au-delà de la caméra, au-delà des mots. Quand il a prononcé d’accord gamine, j’ai senti une étrange chaleur envahir la pièce comme si le destin avait signé quelque chose à notre place.
Le monde entier croit que Pruty Woman n’était qu’un compte de fait moderne, une fiction lumineuse sur fond de rêve américain. Mais la vérité, c’est que derrière chaque sourire, chaque baisé filmé, il y avait une vérité que ni lui ni moi ne pouvions avouer. Ce film a fait de moi une star, oui, mais il m’a aussi lié à un homme que je je n’ai jamais pu vraiment quitter, même après le mot fin.
Pendant des années, j’ai souri sur les tapis rouges. J’ai répondu aux questions avec des rires bien répétés. Non. Nous ne sommes qu’amis. Mais la nuit, dans le silence des chambres d’hôtel, les souvenirs revenaient. Je me revoyais jeune, naïve, croyant que la passion pouvait rester secrète sans nous consumer. Aujourd’hui encore, quand je ferme les yeux, j’entends ce premier oui de Richard, un mot banal qui a changé ma vie.
Je ne parle pas pour provoquer la nostalgie ni pour ranimer un scandale. Je parle parce que le silence devient parfois une cage et que j’ai passé trop d’années à en caresser les barreaux. L’amour, le vrai, ne meurt pas. Il s’endort dans un coin du cœur attendant qu’on ose le réveiller. Et moi, à 57 ans, j’ose enfin.
Tout a commencé bien avant la légende, avant les affiches et les cris des fans. Pretty Woman n’était pas encore une icône du cinéma romantique. C’était un projet fragile, presque incertain. Je n’étais qu’une fille de 22 ans, perdue entre les rêves et la peur d’échouer. Ce jour-là, Gary Marchall, le réalisateur, m’a fait entrer dans une salle d’audition.

Richard était déjà là, assis, vêtu simplement, mais son assurance emplissait tout l’espace. Son regard profond et calme m’a presque désarmé. Je savais que je n’avais qu’un instant pour lui prouver que j’étais faite pour ce rôle. Alors, j’ai osé un geste fou. J’ai griffonné sur un bout de papier. S’il te plaît, dit oui. Trois mots qui n’étaient pas destinés au scénario, mais à son cœur.
Il a lu, a sourit doucement et a dit : “D’accord, gamine. Ce fut le début de tout. Pendant le tournage, quelque chose s’étissait entre nous une complicité instinctive, invisible, presque dangereuse. Chaque scène, chaque échange de regard semblait plus vrai que la fiction elle-même. Quand il me prenait la main, ce n’était plus du jeu.
Quand il me disait “Tu es belle”, ce n’était plus du texte. J’essayais de me convaincre que ce n’était qu’un rôle, mais mon cœur refusait d’obéir. Puis le film est sorti et le monde a explosé autour de nous. Pretty Woman est devenu un phénomène planétaire. Du jour au lendemain, j’ai été propulsé au rang de star, de symboles, de rêve américain.
Richard et moi apparaissions partout sur les tapis rouges dans les interviews, côte à côte avec ce même éclat dans les yeux que nous ne pouvions cacher. Les journalistes demandaient : “Êtes-vous ensemble ?” Nous ris, feignant l’innocence. Mais sous le vernis des projecteurs, une vérité brûlait. Derrière chaque sourire pour les caméras, il y avait une attente silencieuse, celle d’un moment volé, d’un regard échangé quand personne ne regardait.
Je me souviens d’une nuit à New York après une projection. J’étais épuisé, le succès m’étourdissait, quelqu’un frappé à ma porte. C’était lui dans sa chemise blanche sans cravate. Il m’a simplement dit : “Je voulais dire que tu as été incroyable ce soir.” Ces mots ont brisé toutes les barrières. Je me suis mise à pleurer et il m’a serré dans ses bras sans un mot de plus.
Cette nuit-là, la fiction s’est effacée. Ce n’était plus Viviane et Edward, c’était Julia et Richard. C’est là que tout a commencé un amour né sur un plateau de tournage mais destiné à survivre bien au-delà du générique. Après cette nuit, tout est devenu différent. Nous ne pouvions plus faire semblant. Chaque regard échangé, chaque mot prononcé hors caméra semblait chargé d’un sens interdit.
Pourtant, à Hollywood, l’amour clandestin est un jeu dangereux et le nôtre l’était plus que tout autre. Nous nous sommes retrouvés piégés entre la gloire et le secret, entre ce que le monde voulait voir et ce que nos cœurs réclamaient en silence. Nos rencontres étaient calculées, furtives, presque irréelles. Des hôtels de Beverly Hills aux appartements new yorkaais, nous nous glissions dans des couloirs vides, déguisés, prudents comme deux criminels du sentiment.
Il réservaient toujours deux chambres côte à côte pour les apparences, mais dès que les portes se fermaient, le monde disparaissait. Dans ses bras, je retrouvais un souffle que je croyais perdu. Je savais pourtant que nous jouons avec le feu. Les rumeurs commençaient à circuler. Les journalistes flient quelque chose. Je vivais dans la peur constante d’être découverte et dans le besoin désespéré de le voir encore.
Chaque séparation me laissait un vide insupportable. Quand il partait, c’était comme si l’air quittait la pièce. Et puis il y a eu l’été 1991, celui où tout a éclaté. Mon mariage avec Suderland était annoncé. Tout était prêt. La robe, les fleurs, les invités. On parlait du mariage de l’année. Mais à 3 jours de la cérémonie, j’ai fui.
Littéralement, le monde m’a appelé la mariée en fuite et pour une fois, les journaux avaient raison. J’ai couru, non pas par l’acheter, mais parce que mon cœur appartenait ailleurs. Je me souviens de cette nuit. Je l’ai appelé, incapable de parler, secouer de l’arme. Il a simplement dit, “J’arrive.” Quelques heures plus tard, il était là sur une petite plage de Californie.

Nous avons écouté la mère sans un mot. Puis il m’a pris la main et a murmuré : “Tu n’as pas fui, Julia, tu as couru vers la vérité.” Ces mots ont raisonné comme une délivrance et une condamnation à la fois. Cette nuit-là, nous avons cessé de lutter. L’amour avait gagné. Mais à quel prix ? Les jours suivants, je ne pouvais plus faire semblant.
Le monde entier me regardait avec des yeux accusateurs et lui, fidèle à lui-même, gardait le silence. Ce silence qui m’apaisait autrefois me blessait désormais. Nous vivions un amour qui ne devait pas exister, un amour que nous devions cacher, protéger, presque étouffé pour le préserver. C’était une passion à la fois sublime et toxique.
Un amour de l’ombre, oui, mais un amour plus réel que tout ce que la lumière aurait pu montrer. Les années qui suivirent furent un tourbillon d’émotions, de secrets et de blessures. Hollywood nous observait à vite de scandale. Moi, je souriais devant les caméras, mais à l’intérieur, tout s’effondrait.
euh Richard et moi ne pouvions euh plus vivre notre amour à à découvert. Alors, nous l’avons enterré sous les apparences des mariages, des rôles, des excuses, mais le cœur, lui, refusait d’obéir aux règles de la raison. En décembre 1991, tout a basculé. Richard épousait Cindy Crawford. Le monde célébrait le mariage parfait, la beauté, la gloire, la jeunesse.
Et moi, j’étais seul dans une chambre d’hôtel, un magazine sur les genoux fixant leur sourire imprimé. Ce soir-là, j’ai appelé Richard. Sa voix était calme, presque tendre. Tu sais, Julia, tout cela n’a pas d’importance. Mais ce silence, après ces mots, ce vide fut plus cruel que n’importe quelle trahison. Alors, j’ai voulu l’oublier. En 1993, j’ai épousé Lille Lovette, un mariage précipité, insensé, un refuge déguisé en promesse.
Je pensais qu’un autre nom, un autre visage m’aiderait à effacer le sien. Mais dès la nuit de Noce, j’ai su que j’avais tort. Je regardais mon alliance et tout ce que je voulais, c’était entendre à nouveau sa voix. Les années suivantes furent un labyrinthe de mensonge et de fuite. Les paparadis, les rumeurs, les photos volées.
Un jour, un tableoïde publia une image floue, deux silhouettes dans une rue, une chevelure rousse. Le titre criait la rencontre secrète de Julia Roberts et Richard Geré bien sûr, lui aussi. Mais nous savions au fond que cette photo capturait plus que deux ombres. Elle capturait une vérité interdite. Cette nuit-là, nous nous sommes disputés comme jamais.
Ils savent tout ai-je crié. Il a gardé son éternel calme. Reste tranquille Julia. Et moi, je n’en pouvais plus de ce calme, de cette distance qu’il mettait entre lui et le chaos de ma vie. Tu étais tranquille quand je me suis enfui, tranquille quand on m’a humilié, tranquille encore maintenant. Lui, immobile m’a regardé avec des yeux pleins de tendresse parce que si je bouge, tout s’écroule.
Je n’ai rien répondu. Je l’ai aimé davantage à cet instant et c’était peu être la plus grande tragédie. J’étais devenu la femme qui brise les mariage, la star à scandale. Lui restait le gentleman silencieux, inatteignable. Pourtant, malgré tout, malgré la honte et la solitude, je continuais à l’aimer. J’aurais voulu le haïr.
Ce serait plus simple. Mais le cœur, ce traître silencieux, continuait à battre pour lui-même quand le monde entier me tournait le dos. Des années passèrent, chacun suivait son chemin, portant les cicatrices du passé comme des bijoux invisibles. Je croyais que tout était fini entre nous, que la vie avait décidé pour nous deux.
Puis un jour, le destin frappa à nouveau. Déguisé sous la forme d’un scénario, Gary Marshall, le même réalisateur qui nous avait uni pour Pretty Woman, revint me voir avec un sourire malicieux. Julia, et si vous refaisiez un film avec Richard ? titre run away bride. J’ai éclaté de rire nerveusement. Le hasard a parfois un sens de l’humour cruel.
Quand j’ai revu Richard pour la première fois après tant d’années, mon cœur s’est serré comme si aucun temps n’avait passé. Ses cheveux avaient grisonné, son regard n’avait pas changé. Il portait encore cette sérénité troublante, ce calme qui me désarmait toujours. Et moi, malgré toute ma maturité, malgré mes blessures, je me suis senti redevenir cette jeune fille de 22 ans tremblante d’émotion.
Le tournage commença dans le Maryland au début de 1999. Dès le premier jour, la tension était palpable. Nous nous dispions souvent pour des détails, pour des répliques, comme si chaque mot cachait une vérité que nous refusons d’admettre. Mais sous ces querell, il y avait la même flamme intacte, indenttable.
Je me souviens d’une journée particulière, la scène du mariage. J’étais en robe blanche, lui en costume, comme une répétition du passé. Quand nos yeux se sont croisés, j’ai compris que nous ne jouons plus. Quand nos lèvres se sont touchées, le monde a disparu. Ce n’était plus du cinéma. C’était une confession et quand il a murmuré, presque imperceptiblement, “Tu me manques, j’ai senti mes genoux faiblir.
” Les gens sur le plateau croyaient filmer une comédie romantique. En réalité, ils assistaient à une tragédie douce de cœur qui s’aiment encore, mais qui savent qu’ils ne peuvent plus se sauver l’un l’autre. Chaque nuit après le tournage, je restais seul dans ma loge, les yeux en buaient de larmes. Parfois, il venait. Nous parlions peu.
Un verre de vin, un silence partagé, une main sur mon épaule. Rien n’avait changé, sauf le temps que nous avions perdu. Quand le film sortit, le succès fut immense. Le monde s’émerveillait de notre complicité retrouvée, ignorant que derrière chaque sourire, il y avait une douleur ancienne, un amour revenu pour mieux repartir.
Et quand le tournage s’acheva, je me souviens d’avoir pleuré dans l’avion du retour. C’était pas la fin d’un film, c’était la fin d’un rêve que je devais une fois encore laisser derrière moi. Les années suivantes ont passé comme un souffle lente, parfois cruel. Je me suis marié avec d’animoder, un homme discret, solide, un caméraman, pas une star.
Avec lui, j’ai construit une vie paisible, une vraie maison, des enfants, des matins sans maquillage et des rires sincères. C’était ce que je croyais vouloir, la normalité. Et pourtant, certaines nuits dans le silence de Malibou, quand les vagues frappent la plage et que tout le monde dort, je sens encore la trace d’un regard d’une voix, celle de Richard.
Je l’ai vu des années plus tard, les cheveux d’argent, le pas plus lent, le sourire plus doux, il a trouvé la paix, il s’est marié, il a eu des enfants. Et moi, j’ai continué à jouer, à sourire, à répondre à toutes les questions, sauf une, “Avez-vous encore des regrets ?” Je ne réponds jamais.
Mais la vérité c’est que oui, pas un regret amer, non, un regret tendre comme une cicatrice qu’on effleure sans vouloir la guérir. Ma vie est pleine succès, famille, amour, fortune. J’ai gagné un Oscar. J’ai élevé trois enfants merveilleux. J’ai survécu à Hollywood et à ces miroirs brisés. Mais parfois la nuit, la lumière de la lune entre par la fenêtre et me ramène à ce premier jour à ce d’accord gamine murmuré entre deux souffles.
On dit que le temps efface tout. Je ne crois pas. Le temps enseigne simplement à vivre avec ce qui ne s’efface pas. Mon amour pour Richard ne fut ni parfait ni raisonnable, mais il fut vrai. Et peu que c’est cela le plus grand secret des histoires d’amour, elle ne meurt pas, elle se transforme, elle dorment dans le silence des souvenirs, prête à se réveiller au moindre mot.
Parfois, je me demande si un amour doit vraiment être vu pour exister. L’amour qui vit dans l’ombre, celui qu’on cache aux autres, peut-il être plus pur que celui qu’on exhibe au grand jour ? Je n’ai pas la réponse, mais je sais qu’au fond de moi, il y a encore une flamme tranquille, un vestige de nous.
Je n’ai jamais cherché le pardon. Je voulais seulement que la vérité respire un peu, même discrètement. Richard a choisi la paix, moi j’ai choisi la vie. Mais entre la paix et la vie, il reste ce souvenir incandescent, ce murmure fragile. Tu me manques. Et peut être qu’au fond, c’est tout ce qui reste à dire. Julia Roberts à ans brise enfin le silence sur son amour caché avec Richard.
Né sur le tournage de Pretty Woman, leur lien a traversé les décennies entre passion secrète, mariage brisé et retrouvailles silencieuses. Derrière les rires et les projecteurs subsiste un amour interdit, jamais éteint. Aujourd’hui, Julia vit entouré de sa famille, mais hanté par ce souvenir qui brûle encore doucement dans l’ombre.
Elle se demande si un amour qui reste caché peut-être moins vrai ou peu être plus éternel encore. Car certaines flammes, même invisible, ne s’éteignent jamais. Yeah.
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