Une nouvelle page pour Laetitia : de l’ombre de Frédéric Sant à la lumière de Serge Varsano

Pendant près d’un an, Laetitia a partagé la vie du restaurateur charentais Frédéric Sant. Une idylle discrète, empreinte de tendresse mais aussi de contraintes, notamment liées à la vie professionnelle de ce dernier. Frédéric, figure locale respectée, passait le plus clair de son temps à gérer ses établissements gastronomiques, véritables institutions dans sa région. Cet engagement total, bien que louable, a peu à peu créé une distance entre les deux amoureux. Laetitia, habituée à un rythme plus cosmopolite et à une vie de mouvement, s’est retrouvée souvent seule face aux absences répétées de son compagnon. Le couple s’est alors essoufflé, non pas dans la colère ou le drame, mais dans cette lente érosion que connaissent parfois les histoires sincères mais désynchronisées.

La rupture, survenue à la fin de l’été, fut douce mais définitive. « Nous n’avions plus les mêmes envies », aurait confié un proche de Laetitia. Elle aspirait à une forme d’équilibre, à une présence réelle, à un amour vécu pleinement. Moins d’un mois après cette séparation, alors qu’elle tentait de se recentrer sur elle-même, le destin allait lui tendre la main sous une forme aussi inattendue que séduisante : Serge Varsano.

Il est milliardaire" : Serge a 70 ans, qui est le nouveau compagnon de Lætitia  Hallyday ? - YouTube

La rencontre s’est déroulée à Paris, un soir d’octobre, lors d’un dîner entre amis communs dans un appartement du VIe arrondissement. L’atmosphère était légère, conviviale, et rien ne laissait présager qu’une histoire d’amour était sur le point de naître. Serge Varsano, élégant et discret, venait de célébrer ses soixante ans au mois d’août. Chef d’entreprise reconnu, il est à la tête du groupe Sucden, géant français du commerce international du sucre et des matières premières. Un homme d’affaires aguerri, respecté dans le monde économique, mais aussi connu pour sa réserve et sa fidélité à un cercle d’amitiés anciennes.

Dès les premières minutes de conversation, Laetitia et Serge ont semblé parler le même langage : celui de la curiosité, de l’humour et de la bienveillance. Elle, solaire, vive, passionnée par les arts et la gastronomie ; lui, calme, réfléchi, doté d’un regard bienveillant sur le monde. Ce contraste harmonieux a rapidement créé une alchimie naturelle. Les témoins de cette soirée racontent qu’ils ont ri, beaucoup, et qu’ils semblaient se comprendre sans effort, comme deux âmes qui se reconnaissent après s’être longtemps cherchées.

Dans les jours qui ont suivi, ils ont échangé plusieurs messages, d’abord pour se remercier du moment partagé, puis pour prolonger la discussion. Un café, un déjeuner, puis une promenade sur les quais de Seine… L’évidence s’est imposée : quelque chose de rare était en train de naître. Laetitia, d’ordinaire prudente dans ses relations, s’est laissée surprendre par la sincérité et la simplicité de Serge. « Il n’a pas besoin d’en faire trop. Il parle peu, mais juste », confiera-t-elle plus tard à une amie proche.

Leur complicité s’est renforcée autour de valeurs communes : le goût du travail bien fait, la fidélité en amitié, la discrétion, et ce sens du réel qui manque parfois dans les mondes qu’ils côtoient. Serge, malgré sa fortune et son influence, reste un homme de principes, attaché à la modestie et à la rigueur. Laetitia, quant à elle, voit en lui un roc, une présence apaisante après des années de tumulte et de faux départs amoureux.

Les premières apparitions du couple, bien que rares, n’ont pas échappé aux observateurs attentifs du tout-Paris. On les a vus dîner à la table du Voltaire, puis assister à une exposition privée au musée d’Orsay. Toujours ensemble, toujours dans une élégante retenue. Leur relation semble s’épanouir loin des projecteurs, portée par une admiration réciproque et un profond respect.

Autour d’eux, les proches se réjouissent de cette nouvelle alliance. « Serge n’a jamais été du genre à se laisser distraire par les apparences. Il a trouvé en Laetitia une femme à la fois douce et indépendante, et cela lui plaît énormément », explique un ami du couple. Quant à Laetitia, elle confie se sentir « apaisée, alignée », des mots qu’elle n’avait plus utilisés depuis longtemps. Cette histoire, débutée dans la simplicité, semble lui redonner confiance en l’amour.

Mouloud Elouten - YouTube

Pourtant, Laetitia reste prudente. Elle sait que la vie, surtout dans les milieux qu’elle fréquente, n’est jamais un long fleuve tranquille. Mais elle se surprend à sourire davantage, à croire à nouveau aux hasards heureux. « Je ne veux pas me projeter trop vite », dit-elle souvent, consciente que les plus belles histoires se construisent dans le silence, pas dans la précipitation.

Serge, de son côté, n’a rien cherché. L’homme d’affaires, longtemps resté discret après une précédente relation marquante, semble lui aussi redécouvrir la légèreté d’un sentiment sincère. Il l’emmène parfois en week-end à Deauville ou à Saint-Tropez, mais toujours dans une atmosphère intime, loin des regards indiscrets. Il lui a ouvert les portes de son univers, non pas celui des chiffres, mais celui de ses passions personnelles : la voile, la photographie et les vieux livres de voyage.

Ainsi, quelques semaines seulement après leur rencontre, un équilibre s’est installé entre eux. Pas de promesse, pas de mise en scène, mais un lien évident, construit sur l’écoute et le respect. Et si certains y voient déjà la naissance d’un grand amour, Laetitia, elle, préfère savourer le présent. « Ce qui compte, c’est la qualité du moment. Le reste viendra si cela doit venir », glisse-t-elle avec un sourire.

Dans un monde où tout va trop vite, leur histoire semble être celle d’un retour à l’essentiel : deux êtres mûrs, marqués par la vie, qui choisissent encore d’y croire. Et peut-être, justement, c’est cela, le vrai luxe.