« Il a une odeur… » : Louise (L’Amour est dans le pré) explique avec sincérité l’étrange raison de son absence d’alchimie avec Julien

Dans l’épisode du lundi 10 novembre 2025 de L’Amour est dans le pré, les téléspectateurs ont assisté à un moment aussi surprenant qu’émouvant. Alors que tout semblait aller pour le mieux entre Louise et Julien, le couple formé à la suite d’un véritable coup de cœur lors du speed-dating, une confidence inattendue est venue troubler cette idylle naissante. Louise, d’habitude si douce et mesurée, a confié face aux caméras une remarque à la fois candide et déstabilisante : « Il a une odeur… ». Une phrase qui a rapidement fait réagir les fans de l’émission, partagés entre amusement et étonnement.

Tout commence dans la cuisine de la ferme, alors que Julien prépare un café. L’ambiance est calme, presque paisible. Louise, un peu pensive, semble ailleurs. Les caméras captent son regard distrait, ses gestes nerveux, comme si quelque chose la dérangeait. Interrogée ensuite par la production, la jeune femme finit par lâcher, avec un petit rire gêné :
— « Je ne sais pas comment dire ça sans paraître méchante… mais il a une odeur, une odeur qui me perturbe. Ce n’est pas sale, ce n’est pas fort, c’est juste… lui. Mais je n’arrive pas à m’y faire. »

Une phrase simple, sincère, mais qui dit beaucoup. Car dans L’Amour est dans le pré, l’alchimie ne se résume pas à des mots doux ou à des gestes tendres — elle passe aussi par ces détails invisibles, ces sensations instinctives qui rapprochent ou éloignent deux âmes. Louise, en avouant cela, ne cherche pas à humilier Julien. Au contraire, on sent dans ses propos une vraie peine, une frustration même : celle de ne pas ressentir ce qu’elle aurait voulu ressentir.

Julien, de son côté, ignore encore cette confidence lorsqu’ils se retrouvent pour déjeuner. Il est charmant, attentif, fier de partager son quotidien d’agriculteur. Mais quelque chose semble s’être rompu dans le regard de Louise. Elle sourit, mais son sourire paraît forcé. Lorsqu’il tente une approche tendre, un geste de proximité, elle détourne légèrement la tête. Un geste infime, presque imperceptible, mais lourd de sens.

Plus tard, face aux caméras, Louise développe davantage :
— « Je sais que ça peut paraître idiot, mais pour moi, l’odeur, c’est essentiel. J’ai toujours eu cette sensibilité-là. Quand quelqu’un me plaît, c’est aussi parce que je me sens bien près de lui, que son odeur me rassure. Là, avec Julien, c’est différent. J’ai beau essayer, je n’y arrive pas. »

Ses mots révèlent une vérité intime souvent tue : l’amour, même le plus prometteur, ne se commande pas. Il naît de mille petits détails, et parfois, un seul de ces détails suffit à faire pencher la balance. Pour Louise, ce n’est pas le manque de respect ou de tendresse qui pose problème, mais une incompatibilité sensorielle, presque animale.

Dans la soirée, la production capte une scène inattendue. Assise sur le canapé, Louise s’approche de Julien et, dans un geste d’affection maladroit, lui sent discrètement le cou, comme pour vérifier si ce qu’elle ressentait plus tôt était réel ou simplement le fruit de son imagination. Julien, surpris, rit :
— « Qu’est-ce que tu fais ? Tu me renifles ? »
Elle rougit, embarrassée, avant de répondre :
— « Non, je… c’est bête, laisse tomber. »

Un moment à la fois drôle et tendre, mais révélateur d’un malaise plus profond. Julien, naïvement amusé, ne perçoit pas encore le trouble de Louise. Pourtant, dans son regard, on devine la confusion. Elle voudrait l’aimer davantage, elle voudrait que tout soit simple, que son cœur réponde à l’appel de cet homme bon et sincère. Mais son corps, lui, semble dire autre chose.

Le lendemain, lors d’un entretien seul avec la caméra, Louise s’exprime avec plus de gravité :
— « Julien est quelqu’un de formidable, attentionné, généreux, mais je ne ressens pas cette attirance instinctive. Je me sens coupable, parce qu’il ne mérite pas d’être blessé. Mais l’odeur, le contact, tout cela fait partie de l’amour aussi. Ce n’est pas quelque chose qu’on choisit. »

Sur les réseaux sociaux, la séquence a fait grand bruit. Certains spectateurs ont trouvé ses propos sincères et courageux, saluant sa franchise. D’autres, en revanche, ont jugé sa remarque maladroite, voire cruelle, estimant qu’elle aurait pu garder ce détail pour elle. Pourtant, ceux qui suivent L’Amour est dans le pré depuis longtemps savent combien ces confidences, même étranges, sont le reflet de la vraie vie.

Julien, informé plus tard de cette confession lors d’un échange avec Karine Le Marchand, a d’abord paru blessé. « Une odeur ? », répète-t-il, interloqué. Puis, après un moment de silence, il esquisse un sourire amer :
— « Si c’est ça, alors on ne peut rien y faire. C’est peut-être le signe que ce n’était pas écrit. »

Ces mots, empreints de dignité, montrent que derrière la blessure, Julien reste fidèle à lui-même : un homme honnête, pudique, et capable de comprendre que l’amour ne se fabrique pas de force.

La fin de l’épisode laisse planer une douce mélancolie. Louise, les larmes aux yeux, avoue qu’elle garde une grande tendresse pour Julien malgré tout. Julien, lui, contemple sa ferme, pensif, murmurant :
— « C’est dommage… parce que je l’aimais bien, moi, cette fille-là. »

Une page se tourne, discrètement, mais avec émotion. Et à travers cette histoire un peu insolite, L’Amour est dans le pré rappelle une fois encore que la vérité du cœur n’est jamais rationnelle. L’odeur d’un être, un souffle, un détail, peuvent suffire à décider du destin d’une histoire. Louise et Julien n’auront peut-être pas trouvé l’amour ensemble, mais ils auront offert au public un moment d’humanité, sincère et terriblement vrai.