ABUSÉE de sa gentillesse, elle finit TUÉE par son ÉLÈVE – La TRAGIQUE AFFAIRE de Lindsay Hawker

Quand le Japon réputé pour sa tranquillité et sa sécurité, une affaire criminelle glaçante a secoué le pays. Le meurtre brutal de Linse Acker, une jeune professeure britannique de 22 ans. Son corps a été retrouvé dans une peignoire remplie de sable et de terreau dissimulé sur le balcon de l’appartement de son assassin.

Mais la véritable horreur ne faisait que commencer avec la cavale de Tetsuya Iashi. Pendant presque 3 ans dans une fuite désespérée, il est allé jusqu’à se défigurer le visage à l’aide d’aiguille, de ciseaux et d’un cterur, se faisant même opérer le nez pour échapper à la justice. Conger dans les détails troublants de cette traque nationale et découvrez la détermination sans faille d’une famille qui pour obtenir justice et aller jusqu’à solliciter l’aide de la mafia japonaise.

Linense Hawer, originaire de Coventry en Angleterre, plus précisément de Brandon, était une jeune femme brillante et pleine de vie. Née le 30 décembre 1984, elle grandissait au sein d’une famille aimante étant l’une des trois filles de Bill et Julia Hawer. En 2006, à l’âge de 22 ans, elle avait déjà démontré son intelligence en obtenant son diplôme en biologie avec les honneurs de première classe de l’université de Litz.

Fort d’une passion pour l’enseignement et d’un désir profond de découvrir le monde par ses propres moyens, Lin a posé sa candidature à Nova, une académie d’anglais prestigieuse qui n’acceptait qu’un nombre restreint de professeurs étrangers. À sa grande joie, elle fut acceptée, ouvrant ainsi la porte à une aventure excitante.

Donc en octobre 2006, LINS s’est envolé pour le Japon, prête à embrasser une nouvelle vie et à réaliser ses rêves de voyage et d’enseignement, elle a commencé à travailler comme professeur d’anglais à Tokyo dans la zone des Dogawa. Fasciné par tout ce que le Japon avait à offrir, elle a ensuite choisi de s’installer à Isikawa dans la préfecture de Shiba.

Ce déménagement lui a permis de s’éloigner de l’agitation du centre de Tokyo, de trouver un logement plus adorable et de partager un appartement avec deux autres enseignantes étrangères avec lesquelles elle s’est rapidement liée d’Aitié. Pour l’INC, c’était une période d’adaptation rapide et d’enchantement face à la richesse culturelle et aux nouveautés que le pays lui offrait.

Mais derrière l’image souvent véhiculée d’un Japon impeccable et extrêmement sûr, l’un des pays les plus sécurisés au monde, lins allait vivre une réalité contrastée. Malgré son intelligence et son désir sincère de s’immerger dans la culture japonaise, l’affaire tragique qui allait suivre a rappelé que le mal peut surgir n’importe où et même dans des lieux réputés pour leur tranquillité.

Linse auer, la jeune professeure d’anglais maintenant installée à Isikawa, fit la connaissance de Tatsuya Ishiashi le 20 mars 2007. Ce jour-là, alors qu’elle s’apprêtait à prendre son vélo après avoir quitté le métro, un homme l’aborda discrètement par derrière, disant : “Tu es ma professeure d’anglais.” Linsey, surprise et surtout mal à l’aise par cette approche assez tardive, d’autant plus qu’il ne ressemblait à aucun de ses élèves, Liné tenta de l’ignorer en prenant son vélo pour rentrer chez elle, mais l’homme persista

la suivant à pied tandis qu’elle pédalait. En voyant qu’il forçait, Linse s’arrêta pour essayer de comprendre ce qu’il attendait. L’homme va alors l’interroger sur ses origines et ses occupations. Linse va alors lui répondre d’une manière assez froide pour lui faire comprendre qu’elle veut être tranquille et juste rentrer chez elle.

Malgré ses efforts pour maintenir une distance tout en roulant sur son vélo, l’homme continue à de la suivre jusqu’à chez elle. Une fois arrivé devant le bâtiment de Linsey, l’homme va lui demander des cours privés d’anglais le weekend prétextant qu’il a du mal avec la langue. Linse décline à l’offre désirant consacrer son temps libre à explorer la richesse culturelle du Japon.

Ichashi, bien que déçu, demanda ensuite un verre d’eau affirmant être assoffé par leur poursuite. Linse, pour clore l’interaction poliment et surtout s’assurer que ses deux colocataur voi cet homme en cas de problème, accepta de le laisser entrer. Elle ignorait encore qu’elle avait fait rentrer chez elleashi Tatsuya, née en 1979 d’un père médecin et d’une mère dentiste et était diplômé d’horticulture en 2005 sans trouver d’emploi.

Il vivait également avec 100000 yennes que ses parents lui aient envoyé chaque mois. Son comportement étrange et son passé incluant une agression où son père avait payé un million de yennes pour éviter des ennuis judiciaires restait inconnu de Linse. Donc une fois dans l’appartement après avoir étanchi sa soif, Tatsuya réitérra sa proposition de cours particulier mais cette fois-ci il offrait 3500 yenn de l’heure sans environ 32 dollars.

Une somme non négligeable pour l’insé par la présence de ses amis qui avaient vu le visage de l’homme et sa promesse que les leçons seraient purement académiques. Linse accepta et lui demanda ses coordonnées. Tatsuya était extrêmement heureux de la situation. Il sortit alors un stylo et du papier et au-delà de simplement noter son numéro et son adresse email, il dessina un portrait de Linse qui lui tendit avant de quitter les lieux.

Cette démarche conjuguée à son instance initiale et à la façon dont il l’avait suivi révélait déjà une étrange obsession de sa part. Linense ne se doutait de rien. Elle avait même pris soin de noter les détails de ce rendez-vous. Une information qui allait malheureusement s’avérer vitale plus tard. Le 24 mars 2007, Linse se rendit à son premier cours avec Tatsuya dans un café près de la gare de Guyotoku.

Les caméras de surveillance montrèrent qu’elle semblait sereine, bien qu’elle gardait ses distances lorsque Tatsuya s’approchait un peu trop d’elle. À la fin de la leçon, Tatsuya prétendit avoir oublié l’argent chez lui et proposa à Linse de l’accompagner à son appartement situé à à peine 1 demi km.

Naivement ou plutôt gentiment, elle accepta d’y aller, ne percevant aucun danger. Ils prirent un taxi ensemble et en arrivant Liné demanda au chauffeur de l’attendre car elle avait un peu de temps avant de se rendre au travail. Mais les minutes s’écoulèrent et l’incé ne ressortit jamais. Au bout de 7 minutes, le taxi sans se douter de la gravité de la situation repartit.

Linse ne se présenta pas à son travail ce jour-là et ne rentra jamais chez elle. Après plusieurs jours sans donner de nouvelles, les proches de l’IN commencèrent à s’inquiéter. Le 26 mars 2007, soit 6 jours après la rencontre avec Tatsuya, les policiers se présentèrent à l’appartement d’Isashi. Les voisins interrogés avaient déjà noté des bruits suspects de métal et de choses traînées entre le dimanche soir et le lundi matin.

Sur le balcon de l’appartement diiashi, une baignoire insolite attira l’attention, même si l’obscurité empêchait de distinguer son contenu. Alors que les renforts arrivaient et que la police s’apprêtait à intervenir, Isashi sortit soudainement de son appartement, pied nu et avec un sac à dos et réussit à s’échapper par les escaliers de secours malgré la tentative des agents de l’arrêter et de lui arracher son sac, mais l’horreur se révéla à l’intérieur de l’appartement.

Les enquêteurs retrouvèrent des affaires personnelles de Liné éparpillé. Sur le balcon dans la baignoire suspecte, ils furent la découverte macabre du corps de l’incé au cœur enfuie dans du sable et du terreau. La jeune femme était nu, pliée en avant ses pieds, ses points liés et couvertes d’ kimos.

Ses cheveux avaient été coupés et dissimulés dans un sac plastique dans la cuisine. Tatsuya Ihasshi avoua plus tard l’avoir vu et étranglé pour faire cesser ses cris de peur que les voisins l’entendent. L’autopsie confirma une mort par strangulation avec une forte pression exercée sur le cou et révéla deux fractures de l’osyoïde ainsi qu’une hémorragie souscutanée d à des coups au visage.

Quant à Isiahi, sa cavale ne faisait que commencer et allait durer plus de 2 ans et demi. Il commença par se procurer des sandales et une veste dans une décharge avec environ 50000 yennes en poche. Dès le premier jour de sa fuite, il s’attaque à son apparence, un acte d’automutilation saisissant. Il rétrécit ses narines avec une aiguille et des fils, retira deux grandes beautés de sa joue droite avec un cter et affina ses lèvres inférieures avec des ciseaux.

Tout cela dans les toilettes d’un hôpital à Tokyo. Il traînera ensuite à travers le Japon, d’abord dans le nord de Kanto, puis vers le sud jusqu’à la baie de Suruga avant de remonter vers Aomori. Il chercha ainsi à tromper les autorités qui pourraient analyser son ordinateur à la recherche d’indice sur ses destinations.

Après un passage à Osaka, il entreprit même le pèlerinage de Shikoku, parcourant des milliers de kilomètres à pied pour tenter d’expier crime. Voyant ses avis de recherche affiché partout, il commença à envisager de vivre sur une île déserte des recherches sur l’île Doha à Okinawa. Ichel alterna ensuite des séjours prolongés sur l’île Doha, parfois jusqu’à 3 mois et des périodes où il travaillit sous un faux nom, celui d’un homme décédé, Kosuke Inoué, sur des chantiers de construction à Okinawa ou Osaka.

Il gagna environ 300000 yennes par mois et fuyait dès qu’il suspectait que son identité puisse être compromise. Sur l’île d’Ora, il s’était installé dans un bunker de la Seconde Guerre mondiale, subsistant en cultivant des fruits, légumes, en pêchant et en mangeant des serpents, des concombres de mer et des crabes de cocotier qu’il cuisait au feu de camp.

Il s’approvisionnait en eau potable en agant jusqu’à l’île voisine et restait informé de l’enquête en écoutant la radio. Malgré une chasse à l’homme national mobilisant plus de 140 enquêteurs et la diffusion de milliers d’affiches le représentant même déguisé en femme ou avec des cheveux teints. Même avec une récompense portée à 10 millions de yennes, Yashi restait insais.

Certains inquiéteurs pensaient même qu’il s’était suicidé. La famille de Linse de son côté s’est battu sans relâche pour maintenir l’affaire sous les yeux des projecteurs, effectuant plusieurs voyages au Japon et sollicitant même l’aide des Yakuza pour retrouver l’assassin. Quant à Issashi, il poursuivit ses transformations physiques et en octobre 2009, il subit une opération de chirurgie du nez grâce aux économies réalisées.

Mais contrairement à ce qu’il aurait pu penser, ce sont ces opérations qui vont nuire à sa cavale. Le 5 novembre 2009, le personnel d’une clinique de Nagoya, examinant une photo post-opératoire de son nouveau visage, fit le rapprochement avec la personne recherché et alerte à la police.

Une nouvelle photo de son visage désormais altéré fut diffusée, générant des centaines de pistes. Son ancien employeur dans une entreprise de construction d’ Baraki le reconnut également grâce à cette photo confirmant qu’il avait travaillé sous un faux nom et que ses empreintes avaient été retrouvées dans le logement de l’entreprise.

Conscient que l’to se resserrait, Isashi décida de retourner se cacher sur l’île Doha. Mais craignant la survivance policière, il tenta de prendre un firi depuis Kobé pour Okinawa. Le 10 novembre 2009, un employé au terminal de ferie de Roko à Kobé le remarqua et alerta les autorités, le redirigeant vers un autre port à Osaka Nko.

C’est ainsi que les policiers ont pu capturer Ichashi mettant fin à sa cavale. Après 10 minutes d’interrogatoire avec la police, Iashio son identité mettant fin à 961 jours de caval. Mais l’arrestation n’était que le début de la bataille judiciaire. Ichiashi fut initialement inculpé pour abandon cadavres le 2 décembre 2009. Cependant, des preuves accablantes émergèrent.

Du sp correspondant à son ADN et des cellules de la victime futur retrouvé sur un préservatif dans l’appartement. Ces éléments menèrent à des nouvelles accusations beaucoup plus graves. On parlait d’orina avant, de meurtre et de viol et entraîner la mort le 3 décembre 2009. Le procès qui débuta le 4 juillet 2011 au tribunal du district de Shiba fut un événement majeur au Japon marquant la première utilisation d’un système de jury mix depuis la Seconde Guerre mondiale.

Les parents et les deux sœurs de LINE firent le voyage depuis l’Angleterre pour assister et témoigner, cherchant justice pour leur fille. Face aux preuves, Isiahi confessa avoir violé et tué Linsé mais n’y a l’intention de la tuer. Il prétendit l’avoir étranglé pour faire cesser ses cris de peur que les voisins n’entendent et qu’il aurait ensuite tenté de la réanimer.

Les procureurs présentèrent un dossier accablon. Le corps de l’inévait retrouvé nu dans une baignoire remplie de sable. Elle avait été ligotée et frappée à de nombreuses reprises et ses cheveux avaient été coupés et caché dans un sac plastique. L’autopsie confirma que la mort de Linse avait été causée par étranglement en comptant également les coups au visage qu’elle avait pu recevoir.

Les procureurs soulignèrent qu’une force si démesurée et prolongée démontrait une intention de tuer contreduisant toute tentative de réanimation. Mais malgré la demande de la peine capitale par la famille de l’INSÉ, le tribunal prononça une sentence de réclusion à perpétué le 21 juillet 2011. Le président du tribunal justifia cette décision en expliquant que l’acte n’était pas prémédité et qu’il existait une faible possibilité de réhabilitation pour Isiahi alors âgé de 32 ans.

Les parents de Liné exprimèrent leur satisfaction d’avoir obtenu justice pour leur fille. Quant à Isashi, il fit appel de ce jugement contestant à nouveau toute intention de meurtre. Cependant, la haute cour de Tokyo rejeta son appel le 11 avril 2012, affirmant qu’il n’avait montré aucun remord sincère. Il est actuellement incarcéré à la prison de Nagano où une libération conditionnelle ne serait envisageable qu’après 30 ans de prison, lorsqu’il aura 60 ans.

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