Il a couché avec une femme de 60 ans… pour sauver sa mère Ce qu’il découvre après va tout changer

Et si je te disais qu’un jeune homme sans argent, sans espoir, a accepté de coucher avec une femme de 60 ans, pas par plaisir, mais pour sauver sa mère du cancer, il pensait que ce serait juste une nuit, mais ce qu’il ne savait pas, c’est que cette nuit allait changer sa vie à jamais. Soulean, ans vit dans un quartier populaire de Bamaco.

Il a terminé ses études depuis deux ans, sans jamais trouver d’emploi stable. Sa mère est atteinte d’un cancer et les factures à l’hôpital n’en finissent plus de s’accumuler. Il est le seul garçon de la famille avec deux petites sœurs encore à l’école. Pour ne pas sombrer, il apprend la plomberie et commence à faire de petites travaux ici et là juste pour survivre.

Un jour, il reçoit un appel pour une réparation urgente dans une villa de luxe à l’assie 2000. Il s’y rend immédiatement. En ouvrant la porte, il tombe sur une femme élégante, la soixantaine, très belle. Elle s’appelle Geneba, très influente dans les cercles politiques et médiatiques du pays. Elle le regarde de haut en bas.

C’est vous le plombier ? Oui, madame. Je vais faire un bon travail. Vous pouvez compter sur moi. Il répare les toilettes à la perfection. Elle est impressionnée. Elle le pa il dit merci mais remarque un virement trop élevé. Excusez-moi, vous m’avez envoyé plus que prévu. Geneba le regarde étonné. Tu es le premier à me le dire.

Tous les autres gardent l’argent sans rien dire. Ce n’est pas mon genre, madame. Elle sourit. Elle lui dit qu’il peut tout garder. Il la remercie. Mais alors qu’il allait franchir la porte pour partir, elle l’interpelle. Soulean, passe la nuit avec moi. Le jeune homme pense avoir mal entendu. Madame, tu m’as bien entendu.

Une nuit, je peux te donner tout ce que tu veux. Une maison, une voiture, de l’argent. Souleimman est figé. Je suis désolé, je ne peux pas faire ça. Pourquoi tu veux sauver ta mère ? Non, une nuit suffit. Je ne suis pas ce genre d’homme. Excusez-moi. Il s’en va. Ce refus frappe Geneba en plein cœur. Elle a toujours été courtisée pour son argent, jamais pour ce qu’elle est.

Divorcé quatre fois, humilié, trahi, volé, son dernier ex-mari lui a même volé tous ses biens la nuit de leur mariage. Et voilà qu’un jeune inconnu, pauvre, désespéré, la rejette. Le soir même, elle l’appelle. Bonsoir Soulean, c’est Geneba. Bonsoir madame. J’aimerais t’inviter à déjeuner. C’est offert.

Désolé, je ne suis pas disponible. Je peux te payer. Dis-moi combien tu veux. Ce n’est pas une question d’argent. Merci madame. Il raccroche. Son ami Mamadi l’entend et s’énerve. Tu es fou. Ta mère est à l’hôpital. Tu refuses l’aide d’une femme riche. C’est peut-être Dieu qui t’envoie une bénédiction. Souleiman est en plein doute.

Et si Mamadi avait raison ? Et si c’était un test, un destin ? Finalement, il rappelle Geneba et accepte de la voir dans un restaurant chic. Quand il arrive, il est seul avec elle. Elle a réservé tout le lieu. Elle l’accueille avec douceur. Suleimman n’ose même pas la regarder dans les yeux. Tu as quel âge Souleiman ? 25 ans, madame.

Et vous ? 60. Mais je le sais déjà. J’ai fait mes recherches sur toi. Suleimman fronce les sourcils. Pourquoi moi ? Parce que tu es honnête. Tu m’as ému. Tu ne veux pas de mon argent. Tu m’as regardé avec respect. Tu m’as rappelé ce que c’est que d’être aimé. Puis elle se livre. J’ai été trahi. J’ai été humilié.

J’ai été utilisé. Toute ma vie j’ai eu l’argent, la reconnaissance, mais jamais l’amour. À mon âge, je veux juste sentir ce que c’est d’être aimé. Souleimman reste sans voix. Elle lui demande s’il a des enfants. Il dit non. Elle lui dit qu’elle a une fille adoptive, Aata, 23 ans, qu’elle a élevé seule. Et là, Souleiman se lève, marche vers elle et l’embrasse.

Est-ce que c’est un oui ? Demande Geneba troublé. Il hochche la tête et c’est comme ça que commence leur histoire. Cette nuit-là, Geneba n’a pas dormi seul. Pour la première fois depuis des années, elle a senti des bras sincères autour d’elle, des gestes tendres. Il lui dit doucement, “Je ne suis peut-être pas riche, mais je suis à toi.

” Les jours passent, il se voit de plus en plus, discrètement puis publiquement. Souleimman prend confiance. Il assume. Geneba l’aime comme jamais elle n’a aimé et elle lui rend tout au sanguple. Sa mère est transférée dans une clinique privée. Les études de ses sœurs sont prises en charge et Souleimman commence même à gérer des projet avec les contacts de Geneba.

Mais ce qu’il y a de plus précieux, c’est l’amour. Un jour, Souleiman la regarde et dit : “Je veux t’épouser.” Elle rit, pensant que c’est une blague. Il insiste et il choisit de faire sa demande le jour de son anniversaire. Devant tous ses amis, ses collègues, il se met à genoux et sort une bague. Geneba, veux-tu devenir ma femme ? La salle devient silencieuse.

Des murmures fusent, hein ? Il est sérieux là ? Elle a l’âge d’être sa mère. Ce n’est pas de l’amour, c’est de l’intérêt. Mais Geneba ne voit qu’une chose, le regard de Soulean. Et elle dit oui. Elle met la bague. Des larmes coulent sur ses joues, ridé. Il s’embrassent, le monde autour d’eux devient flou.

Mais dans la tête de Soulean, une question revient comme un poison. Est-ce que je l’aimerais si elle était pauvre ? Il se torture l’esprit. Mais au fond, il sait oui, il l’aime. Un jour, il décide d’aller la présenter à sa famille. Sa mère rétablie vit maintenant dans une maison achetée par Geneba. Les sœurs de Souleiman sont toutes excitées.

La fiancée de notre frère arrive. Notre belle-mère va être trop belle. La voiture s’arrête. Geneba sort élégante comme une reine. Et là, silence. Les sœurs de Souleimman se figent. C’est qui ça ? C’est pas sa mère ? Souleimman sourit maladroitement. Non. Je vous présente Geneba, la femme de ma vie. Hein ? Hurle sa plus jeune sœur.

Tu es malade ou quoi ? Tu ramènes une vieille comme fiancée ? Respectez-la, elle mérite mieux que vos insultes crie Soulman. Mais elle continue. Elle peut même plus avoir d’enfants. Nous, on veut des neveux. Tu gâches ta vie, grand frère. Geneba quitte la maison en larme. Elle monte dans sa voiture et disparaît.

Souleiman essaie de la rattraper mais trop tard, il l’appelle, elle ne répond pas. Il va chez elle, elle ne le reçoit pas. Puis un message arrive. C’est fini. Merci pour tout. Tu peux garder ce que je t’ai donné, mais sors de ma vie. Souleimman tombe à genou. Il hurle de douleur.

Il frappe la porte de Geneba jusqu’à ce qu’elle ouvre. Elle ne le regarde même pas. Pourquoi tu ne m’as pas prévenu ? Pourquoi tu m’as laissé subir ça ? Dit-elle d’une voix tremblante. Je voulais leur dire, j’étais prêt, mais ils ont été plus rapides que moi. Non, tu avais honte. Tu avais honte de moi. Ce n’est pas vrai. Je t’aime Geneba.

Tu ne peux pas juste me quitter comme ça. Elle le regarde avec les yeux d’une femme brisée. Demain matin, tu pars, c’est terminé. Souleiman s’effondre, mais il ne baisse pas les bras. Même si tu es plus âgé que moi, je suis l’homme de cette relation et je t’aime. Je vais t’épouser. Tu es la femme de ma vie. Et personne, je dis bien personne ne m’empêchera de t’aimer.

Ces mots-là touchent Geneba en plein cœur. Elle court vers lui et l’enlasse. Il s’embrasse encore plus fort. Cette nuit-là, ils font l’amour avec toute la rage de ceux qui refusent d’être brisés. Le lendemain, ils commencent à préparer leur mariage sans la famille de Soulean. Mais une autre ombre se profile. Aïata, la fille adoptive de Geneba, revient de l’étranger pour assister au mariage.

Quand elle apprend que sa mère va se marier, elle explose. Tu veux te marier avec qui ? Et quand elle voit Souleiman pour la première fois, elle reste bouchebe. C’est lui, il est canon ce mec. Souleiman est mal à l’aise. Jenba rigole. Mais ce que Jenba ne voit pas, c’est que sa fille regarde Soulle avec désir et ce qu’elle murmure en secret va bientôt tout détruire.

Si je peux le séduire, je prendrai tout, sa loyauté et ses secrets. Aata n’est pas une fille comme les autres. Elle est belle, cultivée, maline, mais surtout elle ne supporte pas qu’on lui dise non. Elle a toujours été la princesse de la maison. Enfant unique, fille adorée de Geneba. Et maintenant, un homme va tout lui prendre.

Ce Soulman avec son sourire calme et sa voix posée, elle le veut, elle le désire. Maman, tu es sûr de ton choix ? Il est si jeune. Je n’ai jamais été aussi heureuse, Aata. Il me donne ce qu’aucun autre ne m’a donné. Mais pendant que Jenba rêve de son mariage, Aata élabore un plan. Elle commence doucement. Soulean la croise dans le salon.

Elle est en robe courte, très courte. Elle s’approche, le regarde de haut en bas. Tu es vraiment beau. Suleimman recule. Merci, mais je suis ton futur beau-père. Elle rigole. C’est drôle que tu dises ça. Tu as mon âge, tu pourrais être plus que ça. Il ne répond pas, mais les jours passent et Aata pousse plus loin. Elle entre dans sa chambre sans frapper, se penche trop près, lui glisse des mots ambigus.

Souleiman la repousse chaque fois, il tient bon. Je t’aime pas, Aïata, je suis avec ta mère, c’est tout. Mais elle s’en moque. Tu changeras d’avis, tu verras. Mais Aïata ne recule pas. Elle veut le briser. Un jour, alors qu’il dînent tous ensemble, elle recommence. Cette fois, elle le caresse avec son pied sous la table en présence de Jenba.

Souleiman se sent mal à l’aise. Il ne sait pas quoi faire. Il quitte la table. Geneba le suit. Tout va bien. Oui, juste un coup de chaud. Je vais m’allonger. Mais en réalité, il est en train de craquer. Il ne sait plus s’il doit parler ou se taire. Est-ce que Jenba va le croire ? Est-ce qu’elle pensera qu’il ment pour cacher quelque chose ? Puis un soir, le pire arrive.

Souleiman est dans le couloir. Il entend la douche. Aïata sort une serviette mal accrochée. Elle fait semblant de trébucher, tombe dans ses bras et là elle l’embrasse. Souleimman la repousse brutalement. Tu es folle. Mais elle se met à crier. Maman, au secours. Geneba court. Elle voit Aata à moitié nu en larme au sol.

Il il a essayé de me quoi ? Hurle Geneb. Suleimman lève les mains. Ce n’est pas ce que tu crois. Elle me drague depuis des jours. Elle m’a piégé. Mais Geneba ne veut rien entendre. Dégage de chez moi immédiatement. Suleimman tente de l’approcher. Elle le repousse. Il sort en larme, humilié, brisé. Il ne dormira pas cette nuit.

Il ne mangera pas pendant trois jours et dans la grande maison vide. Jeneba pleure. Quelque chose ne tourne pas rond. Elle repense à tout. Elle revoit les attitudes étranges de sa fille. Puis un matin, elle décide d’agir. Elle va voir les caméras de surveillance de la maison. Elle appelle son technicien. Je veux voir tous les enregistrements des derniers jours. Et là, elle voit tout.

La robe trop courte, les regards, les entrées dans la chambre, les provocations et surtout elle voit le moment exact où Aata embrasse Souleimman avant de crier. Jenba s’effondre, elle appelle sa fille. Viens, assiè-toi, regarde ça. Et elle lui montre les vidéos. Silence. Puis Aata s’effondre. Pardon maman, j’étais jalouse.

Je voulais pas te perdre. Tu m’as tout pris, mon bonheur, ma dignité. Sors de ma maison. Maman, je t’ai adopté avec amour, mais ce que tu as fait, je ne peux pas le pardonner. Tu n’es plus ma fille. Jeneba change les serrures. Elle bloque son numéro et elle prend une décision. Elle prend son téléphone, compose le numéro de Suleimman.

Pas de réponse. Elle envoie un message, un autre, un appel, rien. Et puis elle reçoit une information. Souleiman est à l’aéroport. Il quitte le pays. Elle fonce les larmes aux yeux. À toute vitesse, Geneba l’aéroport. Elle court, les larmes aux yeux. À la porte d’embarquement, elle le voit. Souleiman.

Dos tourné, sac à la main. Il avance. Soulean ! Hurle-t-elle, il se fige, se retourne, il la voit en pleur, essoufflé, tremblante. Elle court jusqu’à lui, se jette à ses pieds, sa genouille. Je t’en supplie, ne pars pas. J’ai découvert la vérité. J’ai vu les vidéos. C’est elle. C’est Aata. Souleimman ne dit rien. Il la regarde blessé, hésitant.

Et là, Jenba sort une petite boîte, elle ouvre. C’est une bague. Veux-tu m’épouser ? Suleimman baisse les yeux, secoue la tête. Tu n’aurais jamais dû me croire capable de ça. Je sais, je suis désolé. Je t’en supplie. Il prend la bague puis il s’agenouille à son tour. C’est moi qui devais te demander ça. Et là, devant tous les voyageurs, les agents, les curieux, il lui passe la bague au doigt.

Il s’embrasse et tous applaudissent. Quelques semaines plus tard, Geneba et Suleimman se marient dans une cérémonie sobre mais remplie d’amour. Pas de chichi, pas de monde inutile, juste les vrais, ceux qui les soutiennent vraiment. La famille de Soulean, d’abord absente, finit par s’excuser. Ses sœurs demandent pardon.

Sa mère reconnaît qu’elle a été injuste. Si elle rend mon fils heureux, alors elle est la bienvenue. Geneba les accueille sans rancune, mais elle garde ses distances avec Aata. L’adoption est officiellement rompue. Suleimman recommence sa vie avec la femme qu’il aime. Il voyage, il rine, il viv. Mais ce que personne n’attendait, c’est ce que le destin leur réservait.

Un matin, Jeneba se réveille avec des nausées. Elle se dit que c’est sûrement la fatigue, le stress, mais ça continue plusieurs jours. Elle va à l’hôpital, on lui fait une prise de sang, une échographie. Et là, le médecin s’arrête, il regarde l’écran puis regarde Jeneba. “Madame, vous êtes enceinte ?” “Pardon ?” dit-elle en riant nerveusement.

sainte et pas d’un ni deux mais de trois bébés. Vous attendez des triplés. Genba tombe de sa chaise. Suleiman lui reste boucheb. Tu tu veux dire que je vais être papa de triplé ? Mais les examens sont clairs. C’est un miracle. La nouvelle fait le tour du quartier puis de tout Bamo. Certains crient au mensonge, d’autres à la sorcellerie.

Mais la grossesse est bien là. Geneba est suivi par les meilleurs médecins. Chaque jour, Soulman est à ses côtés. Il parle au bébé à travers le ventre. Il masse ses pieds. Il cuisine, il veille. Je t’ai dit que je t’aimerais jusqu’au bout. Non. Elle sourit, fatiguée mais heureuse. Je t’aime Souleiman. Merci de m’avoir rendu vivante.

Quelques mois plus tard, Jen donne naissance à trois enfants magnifiques, deux garçons, une fille. Tout le monde pleure de joie. Elle les nomme Moussa, Aminata et Abdouaï. Et là, dans la chambre, elle prend la main de Souleimman et lui murmure : “Maintenant, plus personne ne pourra dire qu’on a pas d’avenir.” Il embrasse son front.

Puis il chuchote à son tour. Tu es mon miracle et eux sont notre lumière. Tu vois, l’amour ne connaît pas l’âge. Ce n’est pas les rides, ni l’argent, ni le passé qui compte. C’est la sincérité. Like et mets un cœur en commentaire si tu crois que l’amour peut triompher de tout. Alors dis-moi, est-ce que tu penses que Geneba mérite d’avoir été mère à 60 ans ? laisse ton avis en commentaire.