« Emmanuel Macron est le plus nul » : le rejet historique et personnel qui menace la fin de son quinquennat

Article: « Emmanuel Macron est le plus nul » : le rejet historique et personnel qui menace la fin de son quinquennat
L’atmosphère est lourde et les mots claquent sur le plateau. Au-delà des chiffres et des analyses politiques habituelles, c’est un verdict d’une rare violence qui a été prononcé à l’encontre d’Emmanuel Macron : son bilan serait « le plus nul de la Cinquième République » et son rejet par les Français a pris une dimension profondément personnelle. L’émission de Pascal Praud est devenue le théâtre d’un constat cinglant : le président de la République ne subit pas seulement une crise politique ; il fait face à une vague de détestation qui remet en question, non seulement sa politique, mais son aptitude même à exercer la fonction suprême.
La Chute Libre : Une Cote de Popularité Historiquement Basse
La donnée est implacable et sonne comme un signal d’alarme historique : seuls 11 % des Français accordent encore leur confiance à Emmanuel Macron. Ce pourcentage n’est pas qu’un chiffre, c’est un séisme. Il représente le plus bas historique non seulement pour le président actuel, mais pour l’ensemble des présidents de la Cinquième République, égalant le score de François Hollande en septembre 2016. Une telle dégringolade est le signe manifeste d’un rejet total, payant au prix fort la crise politique récente qui a plongé le pays dans l’incertitude.
Ce qui frappe cependant, c’est la nature de cette désaffection. Le rejet dépasse largement la seule critique des réformes. Pour François Hollande, il y avait le mépris, mais pour Emmanuel Macron, le sentiment est plus acéré : il est « détesté personnellement » par une frange croissante de la population. L’analyse pointe du doigt son attitude, son comportement, cette manière qu’il a d’expliquer à tout le monde qu’il sait tout, qu’il a tout vu, sans jamais laisser la place au doute. Cette posture professoral, qui était jadis sa force, est aujourd’hui son pire fardeau. Elle nourrit une exaspération sourde, car en dépit de ce ton péremptoire, le bilan chiffré, selon les éditorialistes, est le plus décevant jamais enregistré, le reléguant au rang du « plus nul » des présidents.
L’Attitude Qui Exaspère : Un Narcissisme Déconnecté
Le fossé entre le discours présidentiel et la réalité perçue est abyssal. Tandis que le pays traverse des zones de turbulences, Macron donne l’impression que « rien ne le touche, tout va bien ». Ce manque d’humilité, ce refus d’admettre la moindre erreur, est perçu comme une tare fondamentale. Un éditorialiste émet l’hypothèse audacieuse que si le président faisait preuve de simplicité et reconnaissait que « la France est très dure à piloter » ou qu’il avait « mal compris des choses », il pourrait reconquérir une partie de l’opinion.
Mais l’analyse va plus loin, suggérant que l’homme est atteint d’une dimension narcissique qui le pousse à vivre sur deux tableaux : « Narcisse et le monde ». Cette déconnexion est rendue tangible par la présence constante d’une équipe de télévision réalisant un grand documentaire sur son mandat. Ce dispositif permanent pour la postérité, notamment au moment de la dissolution, révèle que le président est engagé dans la construction d’un récit maîtrisé pour nous « vendre » une histoire. Une histoire à laquelle, ironiquement, « plus personne n’y croit » aujourd’hui, mais qui sert à préparer son retour ou sa justification future, témoignant d’une « folie » de grandeur et de maîtrise.
Cette obsession de l’image est intrinsèquement liée à une perte : celle de « l’art de la conversation », qui exigeait d’« écouter l’autre jusqu’au bout ». Le président, en revanche, est décrit comme celui qui « n’écoute rien », préférant l’auto-célébration et la projection d’une image idéale à la confrontation humble avec la critique.
Le « Président Tiktokeur » et la Censure Politique des Réseaux
C’est dans ce contexte de rejet que les récentes déclarations d’Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux ont été scrutées. À l’occasion d’un forum, le président a expliqué que ces plateformes étaient d’« extrême droite », une caractérisation immédiatement nuancée et critiquée. Les réseaux sociaux ne sont « pas que ça, ils sont tout », affirment les éditorialistes. Mais derrière cette simplification, c’est le but politique de la démarche présidentielle qui est mis en lumière.
L’argument de Macron est que les plateformes comme X ou TikTok orientent l’information vers des contenus extrémistes ou salafistes, rompant leur « neutralité informationnelle ». Pourtant, ses détracteurs soulignent une contradiction flagrante et un glissement de la rhétorique. Lorsque le gouvernement prétend vouloir réguler, il avance des motifs louables : lutter contre la pédocriminalité, l’exposition des enfants au suicide ou les dérives algorithmiques. Mais dès que le président s’exprime « sans préparation », il révèle son véritable objectif, qui est « très politique » : la censure des opinions qui ne sont pas d’accord avec le pouvoir.
Le comble de l’ironie est qu’Emmanuel Macron est lui-même un fervent utilisateur de ces plateformes, étant qualifié de « président Tiktokeur, le président Instagrameur ». Il est le « pompier pyromane » qui, après avoir lui-même mis en scène des vidéos sur les réseaux, vient expliquer qu’il faut s’en méfier et les réguler. L’échange met en évidence que la critique fondamentale de Macron contre ces plateformes — qu’elles ne « sélectionnent pas l’information comme les médias » — est précisément la raison pour laquelle le public les apprécie : elles offrent un espace où la vérité, même lorsqu’elle contredit le consensus officiel (comme l’efficacité des vaccins contre la transmission au début de la crise Covid), finit par émerger.
Pour résister à ce « cloaque des réseaux sociaux », la solution ne serait pas la censure, mais le renforcement de l’école et des intelligences, afin que les citoyens puissent développer la distance nécessaire pour juger ce qu’ils voient et entendent, et rétablir l’idée qu’une « vérité existe » en dehors de tout récit contrôlé.
L’Indifférence Face à l’Otage : Le Silence sur Boilem Sansal
Ce refus de voir la réalité se manifeste de manière troublante dans l’affaire Boilem Sansal. L’écrivain algérien est incarcéré depuis plus d’un an, simplement pour avoir écrit des romans qui « ne plaisent pas au pouvoir » algérien. Les nouvelles de sa détention sont jugées « inquiétantes » : conditions inhumaines, isolement et conseil aux autres détenus de ne pas le fréquenter.
Face à cette situation, l’inaction du gouvernement français et le silence du monde de la culture sont dénoncés avec virulence. Malgré l’espoir que le dossier soit « prioritaire » pour le président, la méthode choisie, celle de ne pas aller au bras de fer diplomatique, est contestée. Marine Le Pen, dont la position est saluée par le panel, a souligné que le portrait de Boilem Sansal devrait être affiché sur les bâtiments de France Télévisions ou France Inter. Mais « rien. Rien. »
L’analyse conclut que le silence est politique. Boilem Sansal pourrait être l’« otage » d’une négociation plus large, liée à la possible révision des accords franco-algériens de 1968, une proposition émanant du Rassemblement national. La dégradation des relations diplomatiques, notamment après la reconnaissance par la France de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, est perçue comme l’élément déclencheur. Ce silence assourdissant du milieu culturel et du gouvernement sur le sort d’un écrivain emprisonné pour ses écrits est perçu comme une nouvelle preuve de l’alignement des priorités présidentielles, privilégiant la stratégie diplomatique complexe aux principes de liberté et de défense des compatriotes.
Conclusion : Le Bilan d’une Présidence sous le Signe de l’Arrogance
Le portrait qui émerge de cette discussion est celui d’un président coupé de son peuple, dont le mandat est menacé non seulement par des bilans politiques jugés « nuls », mais par une antipathie personnelle profonde. Emmanuel Macron, engoncé dans son narcissisme et sa volonté de contrôler le récit, se montre incapable d’admettre l’erreur ou d’écouter la critique. Qu’il s’agisse de son propre usage hypocrite des réseaux sociaux ou de son silence calculé sur des dossiers emblématiques comme Boilem Sansal, tout concourt à renforcer le sentiment que cette présidence, loin de l’humilité qu’elle exige, est dominée par l’arrogance et le manque de contrainte. Il est désormais clair que pour une large partie des Français, Emmanuel Macron a perdu toute légitimité, tant sur le plan des actes que sur celui de l’attitude.
News
La vérité scellée de Neverland : ce que contenait le garage secret de Michael Jackson, ouvert après 15 ans de silence
La vérité scellée de Neverland : ce que contenait le garage secret de Michael Jackson, ouvert après 15 ans de…
La vérité scellée de Neverland : ce que contenait le garage secret de Michael Jackson, ouvert après 15 ans de silence
La vérité scellée de Neverland : ce que contenait le garage secret de Michael Jackson, ouvert après 15 ans de…
Le Jardin Secret de Jean : Comment une Découverte Archéologique Sous le Tombeau de Jésus Valide l’Évangile au Mot Près.
Le Jardin Secret de Jean : Comment une Découverte Archéologique Sous le Tombeau de Jésus Valide l’Évangile au Mot Près….
Le Mythe Brisée : À 73 ans, Jean-Jacques Goldman Révèle la « Tension Latente » et le « Mépris » qui ont Défini sa Collaboration avec Johnny Hallyday.
Le Mythe Brisée : À 73 ans, Jean-Jacques Goldman Révèle la « Tension Latente » et le « Mépris »…
7 Minutes de Vérité : Le Réquisitoire de Lecornu sur AUKUS qui a humilié Londres et secoué l’OTAN.
7 Minutes de Vérité : Le Réquisitoire de Lecornu sur AUKUS qui a humilié Londres et secoué l’OTAN. Article: 7…
Le Sacifice Émotionnel de Brigitte Bardot : Pourquoi l’Icône de la Sensualité a Rejeté 60 Millions d’Euros pour un Héritage Qui Touche Toute la France
Le Sacifice Émotionnel de Brigitte Bardot : Pourquoi l’Icône de la Sensualité a Rejeté 60 Millions d’Euros pour un Héritage…
End of content
No more pages to load






