“« La maison était chargée de souvenirs » : Patrick Bruel se confie sur les incendies dévastateurs de Los Angeles et l’impact émotionnel !”

Patrick Bruel est revenu sur ce qu’il a perdu à la suite des violents incendies de Los Angeles. Un épisode triste de son début d’année.

Des souvenirs envolés. Ce mercredi 9 juillet, Patrick Bruel était l’invité d’honneur du Festival International du Film de Pauillac. À cette occasion, six mois plus tard, le chanteur est revenu sur les violents incendies qui ont touché la ville de Los Angeles, et plus particulièrement le quartier de Pacific Palisades où il avait posé ses valises depuis plusieurs années.

Face au feu, Patrick Bruel n’a rien pu faire. En effet, ces incendies d’une rare violence ont emporté avec eux de nombreux souvenirs du chanteur et de ses enfants. Alors qu’il se replonge dans ses souvenirs lors d’une conférence de presse, il témoigne : « C’est extrêmement violent. Extrêmement douloureux. La maison était chargée de souvenirs, de passages de l’histoire, d’objets… »

Il poursuit en affirmant être soulagé de ne pas déplorer de perte humaine mais ajoute que la perte des souvenirs est terrible : « Alors bien sûr on te dit : “Il n’y a pas de perte humaine, tant que c’est matériel ce n’est pas grave.” Évidemment que c’est essentiel. Mais dans le matériel il y a aussi des objets qui vous sont chers. Les dessins de mes enfants et notamment deux tableaux d’Oscar. La première chose à laquelle j’ai pensé quand c’est arrivé c’est ça. »

« Rien n’a résisté »

Patrick Bruel a poursuivi ses confidences lors de la conférence de presse des membres du jury organisée non loin du Château d’Armailhac. Alors que les flammes ont tout emporté de sa demeure, le chanteur révèle avoir pensé à un autre objet cher à son coeur.

Outre les dessins de ses enfants et souvenirs de famille, Patrick Bruel a pensé à un objet sentimental lorsque les flammes ont terrassé sa maison. Il raconte : « Une bouteille de whisky que j’avais cachée parce que je ne voulais pas qu’on me la pique ! » Après avoir mis longtemps à mettre la main sur ce whisky écossais, Patrick Bruel dévoile : « Je suis parti avec cette bouteille qui est un chef-d’œuvre et je l’ai cachée au fond d’un meuble. Je me suis même dit, quand il y a eu le feu : “Peut-être qu’elle a résisté !” Mais rien n’a résisté. »