🔥 À 88 Ans, Robert Redford Choque Hollywood En Révélant Les Noms De Sept Acteurs Qu’Il Affirme Avoir Détestés Toute Sa Vie, Une Confession Incroyable Et Brutale Qui Brise L’Image Lisse Du Cinéma Américain Et Déchaîne Une Tempête De Réactions Dans Les Médias Et Chez Les Fans !

À 88 ans, Robert Redford, le visage emblématique d’une époque dorée du cinéma américain, a toujours incarné une forme de mystère, une élégance discrète et une intégrité artistique farouche. Acteur, réalisateur, et figure de proue du cinéma indépendant avec son festival de Sundance, Redford a toujours prôné la primauté de l’art sur le commerce. Mais derrière ce vernis de gentleman intemporel, une frustration profonde, accumulée au fil de décennies de collaboration avec les plus grandes stars d’Hollywood, vient de faire surface, brossant un tableau bien moins idyllique des coulisses du septième art. Il s’est ouvert sur son profond mépris pour ce qu’il perçoit comme le summum de l’arrogance à Hollywood : le règne de l’ego sur la narration, un poison qui, selon lui, a compromis la pureté de ses œuvres. Son grand déballage, tel un murmure qui devient une tempête, met en lumière les raisons de ses inimitiés les plus célèbres et jette une lumière crue sur le côté obscur du glamour d’Hollywood.

La première cible de son ressentiment, et l’une des plus étonnantes, est Tom Cruise. En apparence, deux légendes qui se rencontrent sur le plateau de Lions for Lambs (2007) auraient dû créer de la magie. Mais l’expérience fut un cauchemar pour Redford. L’acteur et producteur Tom Cruise, avec son obsession du marketing et de son image, se serait heurté de plein fouet à la vision de Redford, qui visait une narration authentique et sans fioritures. Redford aurait ressenti que le film avait été « confisqué par le marketing », que l’histoire, le message profond sur la guerre en Afghanistan, avait été sacrifiée sur l’autel de la promotion du film et de l’image de Cruise. Un conflit de visions, un choc des titans où l’art a été supplanté par le commerce, un désaccord si profond que les deux hommes ne se seraient plus jamais adressé la parole après le tournage.

Le deuxième nom qui émerge est celui de Paul Newman. Leur alchimie à l’écran dans Butch Cassidy et le Kid et L’Arnaque est entrée dans la légende, mais leur relation hors écran était loin d’être aussi harmonieuse. Le respect et l’admiration se mêlaient à une rivalité sourde, une jalousie rampante. Paul Newman, déjà une star établie, aurait vu la montée fulgurante de Redford avec une certaine amertume, alors que Redford, de son côté, s’agaçait des tentatives de son aîné de contrôler les décisions de production. Ce qui semblait être une amitié fraternelle n’était en réalité qu’une relation de travail complexe et tendue, où la jalousie et la rivalité artistique ont constamment menacé leur collaboration.

Le troisième acteur à faire les frais des révélations de Redford est Dustin Hoffman. Leur travail sur le thriller politique Les Hommes du président (1976) a été salué par la critique, mais la collaboration aurait été des plus tendues. Redford, avec son approche méthodique et disciplinée, se serait heurté au style chaotique et imprévisible de Hoffman, adepte de l’improvisation et du désordre créatif. Le contraste entre leurs méthodes aurait créé une friction constante, une guerre froide sur le plateau où chaque prise était une bataille pour le contrôle artistique. Le fossé entre leurs philosophies de jeu était si grand que Redford aurait juré de ne plus jamais travailler avec Hoffman.

Le quatrième nom est celui d’une femme, et non des moindres : Jane Fonda. Leur collaboration, qui a engendré une alchimie indéniable dans des films comme Pieds nus dans le parc et Le Cavalier électrique, cachait un malaise persistant. Fonda a elle-même admis publiquement que Redford était « toujours de mauvaise humeur » et qu’il détestait les scènes de baisers, lui laissant un sentiment de culpabilité. Avec le recul, elle a conclu que Redford avait un « problème avec les femmes », une accusation qui, si elle est vraie, jette une ombre sur l’image de séducteur débonnaire qu’il a longtemps cultivée.

Le cinquième acteur est Gene Hackman. Leur collaboration sur le film La Descente infernale (1969) a été marquée par un conflit de personnalités. Redford, dans sa quête de réalisme, aurait pris des risques inconsidérés sur le plateau, ce qui a agacé Hackman au plus haut point. Ce dernier, n’hésitant pas à qualifier Redford « d’idiot » pour sa témérité, a détesté son attitude, tandis que Redford, de son côté, aurait trouvé la nature explosive et imprévisible de Hackman insupportable et perturbatrice.

La sixième artiste est la légendaire Barbra Streisand. L’expérience de Redford sur le tournage de Nos plus belles années (1973) a été une véritable épreuve. Il a trouvé Streisand contrôlante et a senti que sa propre présence à l’écran était éclipsée par le star-power démesuré de l’actrice-chanteuse. Le tournage se serait transformé en une lutte de pouvoir constante, un jeu du chat et de la souris où chacun tentait de prendre l’ascendant sur l’autre, laissant Redford épuisé et désabusé.

Enfin, Redford a réservé sa plus grande animosité pour un archétype, un acteur dont l’ego est démesuré et qui privilégie sa marque personnelle sur le film lui-même. Il a qualifié ce comportement de « pur baratin d’agent », une mentalité qui corrompt l’art du cinéma. Pour lui, le métier d’acteur n’est pas une question de célébrité ou de notoriété, mais de se mettre au service d’une histoire, de disparaître dans un personnage pour laisser la narration prendre le dessus. Ces révélations tardives de Redford ne sont pas de simples ragots de coulisses. Elles sont le testament d’un homme qui a consacré sa vie à un idéal artistique et qui, à la fin de sa carrière, a décidé de lever le voile sur les compromis et les frustrations qui ont marqué son parcours. C’est un cri de cœur pour l’intégrité, une mise en garde contre la marchandisation de l’art, et une réflexion sur ce que signifie vraiment être un artiste à Hollywood.