💪👗 « Pourquoi faut-il faire du 36 pour être aimée ? » : Michèle Bernier dénonce l’injustice et l’élitisme envers les femmes aux rondeurs – Un message fort sur la pression sociale et les standards de beauté, avec un appel à l’acceptation de soi.

Comédienne adorée du grand public, Michèle Bernier n’a jamais eu sa langue dans sa poche. Et elle l’a de nouveau prouvé en interview dans les pages de “Télé 7 Jours”.

Alors que les téléspectateurs de France 3 retrouvent très prochainement Michèle Bernier dans la 10e saison de sa série à succès, La Stagiaire, la comédienne a fait quelques confidences en promotion. A son image : franches !

Pourquoi Michèle Bernier aurait choisi ce domaine pour être stagiaire ?

Interrogée par Télé 7 Jours sur le domaine professionnel dans lequel elle aurait aimé être stagiaire, l’actrice aujourd’hui âgée de 69 ans a répondu sans hésitation : “La mode, parce que je l’aime bien, mais elle ne me le rend pas assez !” Force est d’accorder à la star du petit écran que la mode a encore énormément de chemin à faire vis-à-vis de toutes celles qui ont des rondeurs et ne peuvent pas s’habiller comme elles le voudraient ni ne sont représentées sur les défilés ou les campagnes publicitaires. Et cela ne concerne pas uniquement les enseignes de luxe…

“Si je pouvais aller fouiner, je comprendrais peut-être pourquoi il faut faire du 36 pour être aimée. Je le dis sans aigreur, mais c’est une vision tellement sectaire !“, a ajouté Michèle Bernier. D’ailleurs, sa fille, la comédienne Charlotte Gaccio (Demain nous appartient) avait elle aussi déjà poussé un coup de gueule en ce sens sur Europe 1, en 2021. “Je ne peux pas m’habiller où je veux, je ne peux pas voyager en étant tranquille parce que je ne sais pas si les accoudoirs ne vont pas me rentrer dans les fesses… parce que ‘la société’ en fait !”

Quel rapport entretient Michèle Bernier avec son image ?

La comédienne et pensionnaire des Grosses Têtes de RTL n’a jamais tourné autour du pot quand il est question de son image. “J’ai passé ma vie à vouloir être mince, eh bien, je ne le serai jamais (…) Le bonheur n’a rien à voir avec ce qui est sur la balance et il serait bon qu’on arrête de culpabiliser les gens avec ça. C’est un vrai racisme !“, avait-elle clamé il y a quelques années dans les pages de Nous Deux.

Par ailleurs, n’allez pas croire que les kilos en trop qu’assume l’interprète de Constance Meyer sont simplement le fait d’une mauvaise hygiène de vie ou d’un je-m’en-foutisme avec lequel elle aurait bien le droit d’être en paix. “Moi, c’est la ménopause qui m’a fait passer du 38 au 46“, avait-elle ainsi tenu à clarifier dans TV Grandes Chaînes. Voilà qui est dit.