🎥 Wimereux : un téléfilm avec Samuel Le Bihan en plein tournage nocturne ! Les lumières de la ville se sont éteintes pour laisser place à l’intensité de l’action sur le plateau. Découvrez les coulisses de ce tournage unique dans le décor pittoresque de Wimereux, où l’acteur se prépare à livrer une performance inoubliable dans un rôle mystérieux et captivant.

Wimereux : un téléfilm avec Samuel Le Bihan en tournage nocturne

Ce jeudi soir, les riverains de la digue de Wimereux ont assisté à un ballet de camions et de projecteurs, typique des tournages de films. Ce n’était pas pour un grand film à l’international, mais pour un téléfilm à venir intitulé T’en fais pas je suis là, qui, à n’en pas douter, captera l’attention des téléspectateurs sur France 2. L’acteur principal ? Samuel Le Bihan, un visage familier du grand public, bien connu pour ses rôles tantôt dramatiques, tantôt comiques.

Le téléfilm, réalisé par Pierre Isoard, raconte l’histoire poignante d’un père et son fils autiste, un quotidien perturbé mais plein d’espoir, où les liens familiaux et les défis liés à l’autisme sont au centre du récit. Samuel Le Bihan incarne le père, un rôle qui semble tout droit taillé pour sa capacité à transmettre la profondeur émotionnelle de ses personnages. La dynamique entre le père et son fils, jouée de manière intime et sincère, est au cœur du scénario, promettant d’être à la fois émouvante et éducative.

L’équipe de production, arrivée jeudi soir, a pris place sur la digue de Wimereux ainsi que dans les rues avoisinantes. Le décor, baigné par les lumières nocturnes, a offert une atmosphère unique, et la ville s’est transformée en un véritable plateau de tournage. Les Oyats, un restaurant bien connu des locaux, était à deux pas du lieu de l’action. Le tournage a eu lieu pendant la nuit, l’équipe ne repartant que le matin, une situation courante pour un tournage qui cherche à capturer des scènes de nuit ou à tirer parti de la lumière particulière des premières heures du jour.

Une ambiance particulière sur le plateau

“T’en fais pas je suis là” fait partie de ces projets qui vont au-delà du simple divertissement. Ce téléfilm cherche à aborder un sujet souvent mis de côté, celui de l’autisme, avec un traitement humain et réaliste. La prestation de Samuel Le Bihan dans le rôle du père est attendue avec impatience, étant donné son implication personnelle dans des causes telles que l’autisme, comme en témoigne son travail avec l’association Autisme Info Service.

Le tournage de ce téléfilm a commencé en février dans le Nord de la France et devrait se terminer autour du 9 mars. Bien que la date de diffusion précise n’ait pas encore été annoncée, ce projet semble avoir suscité un grand intérêt en raison de son sujet et de son casting. Le téléfilm, qui sera diffusé sur France 2, aborde des thèmes de résilience et d’amour familial, des sujets qui résonneront sans doute auprès de nombreux téléspectateurs.

Une polémique sur l’annonce de casting

Cependant, T’en fais pas je suis là a également fait parler de lui bien avant le début du tournage. En janvier dernier, l’annonce de casting a créé une controverse lorsqu’elle mentionnait la recherche de figurants ayant un « physique particulier, disgracieux ». Cette formulation, jugée inappropriée et stigmatisante, a rapidement été retirée, mais elle a fait couler beaucoup d’encre. Cette situation souligne une problématique récurrente dans l’industrie cinématographique et télévisuelle : la représentation des individus non conformes aux normes physiques traditionnelles. Toutefois, la production a pris acte de la polémique, retirant l’annonce, et a exprimé ses regrets pour ce qui a été perçu comme une erreur de communication.

Un téléfilm porteur de message

Au-delà de cette polémique, T’en fais pas je suis là se veut être un téléfilm porteur de message. La présence de Samuel Le Bihan dans un rôle aussi touchant et sensible témoigne de l’engagement de l’acteur dans des projets qui font écho à sa propre vie et à ses convictions personnelles. Son implication dans des causes sociales, notamment l’autisme, s’inscrit dans une logique où l’art et l’engagement se rejoignent. Dans cette œuvre, l’acteur donnera vie à un personnage complexe, devant jongler avec l’amour qu’il porte à son fils tout en faisant face aux défis du quotidien.

Cette production pourrait donc jouer un rôle essentiel dans la sensibilisation du public à l’autisme, une condition encore trop mal comprise, notamment dans la manière dont elle est abordée dans les films et les séries. En traitant ce sujet avec respect et honnêteté, T’en fais pas je suis là pourrait devenir bien plus qu’un simple téléfilm, mais une plateforme d’éducation et de dialogue.

Un tournage qui fait rayonner la ville de Wimereux

Le choix de Wimereux comme décor a également une portée symbolique. La digue et l’ambiance particulière de la ville, avec ses paysages marins et son architecture pittoresque, apportent une dimension supplémentaire au téléfilm. Ces lieux, qui ne sont pas souvent mis en lumière dans les productions françaises, permettent de mettre en valeur une région tout en servant d’arrière-plan à des scènes poignantes. Le contraste entre la tranquillité de la ville et le tumulte intérieur des personnages renforce l’intensité du film.

Les habitants de la ville, habitués aux tournages qui viennent régulièrement dans la région, ont sans doute été intrigués par ce nouvel arrivant sur leur digue. Le passage de l’équipe de tournage a transformé le paysage de Wimereux en un terrain d’action cinématographique, donnant à la ville une touche de glamour et d’excitation à la veille du printemps.

Conclusion : une œuvre à découvrir

Le téléfilm T’en fais pas je suis là s’annonce comme une œuvre émouvante et pleine de sens. Samuel Le Bihan, avec son expérience et son engagement, incarne parfaitement ce personnage de père face à des défis inattendus. Le scénario, qui explore les relations familiales et les difficultés de la vie avec un enfant autiste, sera sans doute un moment fort pour les téléspectateurs qui apprécieront non seulement la performance de l’acteur, mais aussi la manière dont le film aborde ce sujet sensible.

Le tournage nocturne à Wimereux ne sera qu’un des nombreux décors qui viendront enrichir l’histoire de ce père et de son fils, mais il restera gravé dans les mémoires comme un moment clé dans la préparation de ce téléfilm attendu avec impatience par le public de France 2.