Radio, 8h12 : la phrase de Cyril Hanouna qui lui coûte sa carrière – C8 coupe tout, annonce choc en coulisses, témoins parlent d’une pression énorme et d’un scandale encore plus grave que ce que le public imagine. Elles ne… Voir le 1er c 👇👇

Tout a commencé un mardi matin apparemment banal, dans les studios feutrés d’Europe 1, où Cyril Hanouna était invité pour une interview en direct. L’animateur star de Touche Pas à Mon Poste, habitué aux phrases chocs et aux débats enflammés, s’est lancé dans un commentaire sur la situation politique française qui allait tout faire basculer.

Sur un ton mi-sérieux, mi-provocateur, Hanouna a déclaré : « Ce pays a besoin de leaders courageux, pas de marionnettes manipulées par Bruxelles et les technocrates. » Puis, quelques minutes plus tard, il a lâché la phrase qui allait mettre le feu aux poudres : « Et si on disait enfin ce que tout le monde pense tout bas ? » Un sous-entendu jugé par beaucoup comme un appel direct à critiquer certaines figures politiques de premier plan.

Les réactions sur les réseaux sociaux n’ont pas tardé. Le hashtag #BoycottHanouna est apparu en quelques minutes, accompagné d’un autre, #SoutienHanouna, révélant une fracture nette entre ses détracteurs et ses fidèles fans. Les uns saluent “le courage de dire la vérité”, les autres dénoncent “des propos irresponsables qui mettent de l’huile sur le feu dans un contexte déjà tendu”.

Mais le coup de théâtre est venu quelques heures plus tard. C8, la chaîne qui diffuse Touche Pas à Mon Poste depuis plus de dix ans, a annoncé par communiqué « la suspension immédiate » de l’émission, évoquant des « propos incompatibles avec les valeurs éditoriales de la chaîne ». Une décision éclair qui, selon plusieurs sources internes, aurait été prise sous la pression directe de plusieurs annonceurs majeurs.

« C’était ça ou perdre des millions en revenus publicitaires », confie un cadre de la chaîne sous couvert d’anonymat. Un autre, plus amer, parle d’“exécution publique” et accuse la direction d’avoir “sacrifié” Hanouna pour sauver l’image de C8.

L’animateur, joint par téléphone par Le Parisien, s’est dit « abasourdi » : « Je ne retire rien. On ne peut plus rien dire dans ce pays sans risquer sa carrière. Moi, je continuerai à parler vrai, quitte à tout perdre. » Une déclaration qui, loin d’apaiser la tempête, a relancé le débat sur les limites de la liberté d’expression dans les médias français.

Des personnalités politiques se sont emparées du sujet : certains députés condamnent fermement Hanouna, d’autres dénoncent une “censure politique” et un “climat de peur dans les médias”. Les plateaux télé s’enflamment, les éditorialistes dissèquent ses mots, sa gestuelle, son ton — tout devient matière à polémique.

Pendant ce temps, ses fans se mobilisent. Une pétition en ligne demandant le retour de Touche Pas à Mon Poste a dépassé les 200 000 signatures en moins de 48 heures. Des dizaines de supporters se rassemblent chaque soir devant les studios de C8, brandissant des pancartes “Rendez-nous Baba” (surnom affectueux de Hanouna) et chantant le générique de l’émission.

Mais du côté des opposants, les appels au boycott s’intensifient. Une association de téléspectateurs a même adressé une plainte au CSA, estimant que les propos de Hanouna « incitent à la division » et violent les règles de neutralité politique.

La tension est telle que plusieurs chroniqueurs réguliers de TPMP ont choisi de rester silencieux, par crainte de voir leur propre carrière compromise. Un ex-collaborateur confie : « Dans ce métier, on marche tous sur un fil. Un mot de travers et tout peut s’écrouler du jour au lendemain. »

L’avenir de Hanouna reste incertain. Certains parient sur un retour fracassant via une plateforme indépendante ou YouTube, où il aurait les mains libres. D’autres pensent qu’il devra s’éloigner un temps des écrans pour laisser passer l’orage. Lui, en tout cas, promet : « Baba n’est pas fini. On se reverra plus vite que vous ne le pensez. »

Cette affaire restera dans les annales comme un rappel brutal : dans le paysage médiatique actuel, la liberté d’expression a ses limites, et franchir la ligne peut coûter plus cher que prévu. Pour Hanouna, le prix est lourd : une émission culte suspendue, une image ternie… et une tempête qui, pour l’instant, ne montre aucun signe d’accalmie.