Mort de Matthew Perry : derrière l’icône de Friends, un médecin aujourd’hui au cœur d’un scandale glaçant. Celui qui devait l’aider aurait-il sciemment aggravé son état ? Accusé d’avoir entretenu l’addiction de l’acteur à la kétamine, ce professionnel de santé vient de plaider coupable. Une relation trouble, des prescriptions hors de tout cadre médical, et une fin tragique qui interroge : comment un soignant a-t-il pu se transformer en complice du désespoir ? Cette affaire bouleverse tout ce que l’on pensait savoir sur les derniers mois de l’acteur. Cliquez sur le lien pour voir les détails.

a mort de Matthew Perry, survenue en octobre 2023, avait déjà provoqué une onde de choc dans le monde entier. L’acteur de 54 ans, connu pour son rôle culte de Chandler Bing dans la série Friends, luttait depuis des décennies contre diverses addictions. Ce combat silencieux, qu’il avait lui-même raconté dans une autobiographie bouleversante, semblait derrière lui pour beaucoup. Mais l’enquête entourant sa mort vient aujourd’hui révéler une réalité beaucoup plus trouble.

Le 23 juillet 2025, un médecin californien a plaidé coupable devant un tribunal fédéral, reconnaissant avoir prescrit illégalement de la kétamine à l’acteur. Il est accusé d’avoir largement contribué à entretenir – voire aggraver – la dépendance de Perry à cette substance puissante. L’affaire soulève de nombreuses questions sur la responsabilité médicale, les dérives du système de soin et la solitude profonde qui peut frapper même les célébrités les plus aimées.

La kétamine est un anesthésique utilisé en médecine humaine et vétérinaire, mais aussi parfois dans le cadre de traitements expérimentaux contre la dépression. Utilisée hors protocole strict, elle devient une drogue puissante et dangereuse. Matthew Perry, selon les sources médicales, suivait des “thérapies à la kétamine” depuis plusieurs années, dans l’espoir de soulager ses douleurs physiques et psychologiques. Mais les conditions dans lesquelles ces traitements ont été administrés sont désormais au cœur d’un scandale.

Le médecin en question, dont le nom reste confidentiel pour raisons de sécurité, aurait prescrit de très fortes doses de kétamine à Perry, bien au-delà des seuils admis. Plus grave encore : plusieurs de ces prescriptions auraient été faites en dehors de tout cadre thérapeutique déclaré, sans surveillance ni documentation officielle. Le tribunal a eu accès à des relevés bancaires et à des communications privées montrant que ces actes étaient loin d’être isolés ou accidentels.