Le PDG d’un grand groupe surpris en fâcheuse posture avec une collègue sur l’écran géant d’un concert de Coldplay : la séquence fait le tour des réseaux sociaux, la direction garde le silence, mais des témoins parlent enfin — cliquez sur le lien pour en savoir plus.

Ce devait être une soirée inoubliable sous les étoiles, bercée par la voix de Chris Martin et l’euphorie collective d’un concert de Coldplay. Mais pour l’un des spectateurs, le souvenir restera teinté de gêne, de panique… et d’un parfum de scandale. En quelques secondes seulement, il est passé du statut d’inconnu discret parmi la foule à celui de sujet brûlant sur tous les réseaux sociaux. Pourquoi ? Parce qu’un écran géant l’a surpris en pleine posture très intime avec une collègue, et qu’il ne s’agissait pas de n’importe qui : l’homme identifié par plusieurs internautes serait le PDG d’un des plus puissants groupes français de l’énergie.

La scène a été captée samedi soir au Stade de France, lors du deuxième rappel du concert. Alors que Coldplay entame la ballade “Fix You” dans une ambiance tamisée, les caméras de retransmission filment aléatoirement des spectateurs pour les diffuser sur l’écran géant. Sourires, accolades, larmes d’émotion… jusqu’à ce que l’objectif s’arrête sur un couple au comportement inhabituellement proche. L’homme, cravate légèrement desserrée, tient une femme par la taille, sa main glissant lentement sous sa veste. La femme, rieuse et manifestement complice, lui chuchote quelque chose à l’oreille avant de l’embrasser brièvement mais intensément.

Rien de bien choquant en soi, sauf qu’à peine les images diffusées, plusieurs spectateurs se mettent à chuchoter. Et pour cause : certains reconnaissent immédiatement l’homme en question. Il s’agirait de Julien G., 54 ans, PDG du groupe EnerHexa, géant français de l’hydrogène vert, récemment valorisé à plus de 8 milliards d’euros. Et la femme à ses côtés ? Une de ses collaboratrices directes, responsable juridique du pôle innovation, mariée et mère de deux enfants.

En moins de deux heures, la vidéo est partagée sur TikTok, reprise sur X (ex-Twitter), puis relayée par des comptes d’actualité people. Le hashtag #PDGColdplay devient viral, avec des centaines de commentaires allant de la moquerie à la consternation. “Ils pensaient que personne ne regardait ?”, ironise un internaute. “Quand tu vas au concert pour te détendre et que tu perds ton job en prime”, ajoute un autre.

Mais ce qui n’était qu’un instant volé devient rapidement une affaire d’entreprise. Dès le lendemain, plusieurs salariés d’EnerHexa confient anonymement à des journalistes que “l’ambiance est glaciale au siège”. Aucun communiqué officiel n’est publié, mais le PDG en question aurait annulé plusieurs réunions importantes le lundi matin, et son bureau serait resté fermé toute la journée.

Le service de communication, quant à lui, se retranche derrière un laconique “pas de commentaire”. Mais les langues commencent à se délier. Un cadre du service RH, sous couvert d’anonymat, déclare :
“Tout le monde savait qu’ils étaient très proches. Mais on pensait que c’était purement professionnel. Là… c’est un choc.”

Les réactions en interne oscillent entre gêne et indignation. Certains dénoncent un comportement déplacé, non pas parce qu’il s’agit d’un moment d’intimité, mais parce qu’il implique une hiérarchie directe entre les deux protagonistes. “Quand le pouvoir entre dans le privé, c’est toujours explosif”, analyse un expert en éthique d’entreprise. “Et dans le contexte actuel de vigilance accrue sur les abus d’autorité, cette vidéo tombe au pire moment.”

D’autant plus que Julien G. n’en est pas à son premier incident. Il avait déjà été visé, en 2022, par une enquête interne pour des “gestes inappropriés lors de soirées de représentation”. L’affaire avait été classée sans suite, faute de preuves. Mais avec cette nouvelle vidéo, de nombreux employés s’interrogent : n’est-ce pas le signe qu’un comportement inapproprié persiste, dans l’impunité ?

Face à la pression médiatique grandissante, une cellule de crise aurait été mise en place. Des avocats spécialisés en droit de l’image ont été contactés pour tenter de faire supprimer les vidéos virales, mais l’effet Streisand semble s’être enclenché : plus on essaie de faire disparaître la séquence, plus elle se diffuse.

Dans les jours qui suivent, la presse s’empare de l’affaire. Des chroniqueurs débattent sur les plateaux : “La vie privée doit-elle rester privée, même pour un PDG ?” “Et s’il avait été un simple salarié, l’entreprise aurait-elle réagi différemment ?” La question fait débat.

Mais au-delà du scandale lui-même, c’est l’effet d’amplification par les réseaux sociaux qui inquiète. Une simple soirée festive, filmée en direct par une caméra de stade, a suffi à ébranler la réputation d’un homme public, déclencher une crise dans une multinationale, et provoquer des remous dans la vie personnelle de plusieurs personnes.

Du côté du couple filmé, aucune déclaration officielle. Mais selon un proche, la collaboratrice aurait été placée en congé “pour raisons personnelles” dès le lundi suivant. Quant au PDG, il aurait quitté Paris “quelques jours pour se mettre au vert”, selon les termes d’un attaché de direction.

Le public, lui, continue de s’interroger. Et certains y voient une forme de justice populaire spontanée. “Si vous êtes puissant et que vous dérapez en public, vous devez en assumer les conséquences”, écrit une internaute. D’autres sont plus mesurés : “On peut tous faire une erreur de jugement. Est-ce qu’on mérite pour autant de voir notre vie entière exposée ?”

Mais le mal est fait. Ce qui ne devait être qu’un instant volé dans un concert se transforme en cauchemar de communication. Un simple écran géant, quelques secondes de diffusion, et toute une carrière vacille. Comme un rappel cruel : aujourd’hui, tout est filmé. Et surtout, tout peut devenir viral.