“Drame soudain à Paris — Mort tragique de l’humoriste Bun Hay Mean à 43 ans — Accident ou mystère inexpliqué ? — Que révèle vraiment la vidéo de surveillance ? — Famille et enquête en quête de vérité — Détails exclusifs à découvrir, ne ratez pas les révélations.”

INFO LE PARISIEN. Un téléphone et un manche à balai ont été retrouvés dans la gouttière à proximité du balcon de l’appartement de l’artiste de 43 ans. Aucun indice accréditant un suicide n’a été retrouvé.

Une semaine après le choc de l’annonce de sa disparition à 43 ans, les circonstances autour de la mort de l’humoriste Bun Hay Mean semblent se dessiner. Selon nos informations, la thèse de l’accident est privilégiée.

Jeudi 10 juillet, le corps sans vie de l’ancien pensionnaire de la troupe du Jamel Comedy Club avait été retrouvé sur le trottoir du boulevard des Batignolles à Paris (XVIIe). Un décès visiblement consécutif à une chute de huit étages.

Le comédien, vu dans le dernier « Astérix » de Guillaume Canet sorti au cinéma en 2023, vivait depuis plusieurs mois dans cet appartement du 8e étage, trouvé par sa production. Dans l’appartement, aucune lettre annonçant un suicide, aucun indice laissant présager d’une mort volontaire.

Un téléphone retrouvé dans une gouttière

En revanche, un téléphone a été retrouvé dans une gouttière, à proximité du balconnet où l’humoriste avait l’habitude de fumer des cigarettes. Au même endroit, la présence d’un long manche à balai accrédite le scénario de la tentative de récupération du portable qui tourne au drame.

Dans l’appartement, sa valise, prête, attendait son départ imminent pour Montréal. Jeudi 10 juillet au matin, un assistant de production devait l’emmener à l’aéroport pour une date à l’Olympia, une salle canadienne d’environ 2000 places où l’humoriste devait jouer « Kill Bun », son nouveau spectacle dans lequel Bun Hay Mean revenait notamment sur sa mauvaise passe de l’été 2024.

Présent à cette époque sur l’île de La Réunion dans le cadre de sa précédente tournée, il avait dû être interné plusieurs semaines en hôpital psychiatrique à la suite de comportements erratiques. Un diagnostic de bipolarité avait alors été posé. L’humoriste était, depuis, sous médicament pour réguler son humeur. Après quelques mois de repos, il avait décidé de remonter sur scène, depuis le printemps dernier, jouant notamment jusqu’au 28 juin dernier à l’Apollo (Paris Xe).

Selon nos informations, l’autopsie n’a révélé aucun élément suspect. Aucune bouteille d’alcool n’a été recensée dans le logement de l’humoriste. Vu ce contexte, les enquêteurs n’ont pas décidé de pratiquer d’analyses toxicologiques. Et le parquet a autorisé la remise du corps à la famille qui, selon le producteur de l’artiste, Philippe Delmas, a signifié son souhait d’organiser des obsèques dans la plus stricte intimité.

La disparition de cette figure du stand-up français a provoqué une importante vague d’émotion. De très nombreux artistes ont exprimé leur peine de voir partir cet humoriste d’une si grande générosité, de Jamel Debbouze à Booder en passant par Guillaume Canet, Hakim Jemili, Oxmo Puccino, Blanche Gardin, Doully, Manu Payet, Éric Judor…

Le 17 juillet 2025, le monde artistique français a été profondément secoué par l’annonce de la mort de Bun Hay Mean, humoriste reconnu et apprécié pour son talent et sa capacité à mêler humour et réflexion. L’artiste, âgé de 43 ans, est décédé tragiquement après une chute depuis le huitième étage d’un immeuble parisien. Une perte douloureuse pour ses proches et ses nombreux fans, qui restent aujourd’hui dans l’attente de réponses claires sur les circonstances de ce drame.

Dès les premières heures de l’enquête, les autorités ont mis en avant la thèse de l’accident. Selon les premiers rapports, Bun Hay Mean tentait de récupérer son téléphone portable qui était tombé sur la gouttière d’un balcon en dessous. Une action qui, malheureusement, a conduit à une chute mortelle. Les images de la caméra de surveillance, dévoilées partiellement à la presse, montrent l’humoriste s’approchant du bord du balcon avant de perdre l’équilibre et de tomber dans le vide.

Ce scénario, bien que tragique, semble aujourd’hui privilégié par les enquêteurs qui n’ont trouvé aucun élément indiquant une implication extérieure ou une volonté de suicide. La police poursuit toutefois ses investigations pour exclure toute autre hypothèse. La famille, tout en étant dévastée, appelle à respecter la présomption d’innocence et à ne pas alimenter des rumeurs infondées.

La configuration du balcon et de la gouttière a également été étudiée. Certains experts soulignent que les protections présentes ne sont pas suffisantes pour empêcher ce type d’accident, notamment lorsqu’une personne tente de récupérer un objet tombé dans un endroit difficile d’accès. Ce fait relance le débat sur la sécurité des immeubles anciens et la nécessité d’adapter les normes aux risques réels.

Par ailleurs, les proches de Bun Hay Mean évoquent un homme passionné par son travail mais aussi confronté à des moments de stress intense. Cependant, aucun signe tangible de mal-être profond n’a été communiqué publiquement. Les fans, en revanche, se souviennent d’un artiste plein de vie, capable de faire rire tout en abordant avec finesse des sujets délicats.

L’émotion suscitée par cette disparition a donné lieu à de nombreux hommages dans le monde culturel et au-delà. Des collègues humoristes, des acteurs, ainsi que des personnalités publiques ont rendu hommage à Bun Hay Mean, saluant son talent unique et sa générosité.

Cette affaire soulève également une prise de conscience importante sur les dangers que peuvent représenter des objets du quotidien dans des situations inattendues. Qui aurait pensé qu’un simple téléphone portable puisse provoquer un drame aussi terrible ?

Au-delà de la tragédie personnelle, cet incident met en lumière la fragilité de la vie et la nécessité de rester vigilant face aux risques, même dans notre environnement familier. Il rappelle aussi l’importance de soutenir les artistes, souvent exposés à des pressions considérables, que ce soit dans leur vie professionnelle ou privée.

L’enquête se poursuit donc, avec l’espoir de clarifier tous les détails et de rendre justice à Bun Hay Mean. La vérité, une fois révélée, permettra peut-être à ses proches de trouver un semblant de paix dans ce moment difficile.

En attendant, ses œuvres continuent de vivre dans le cœur de ceux qui l’ont admiré et écouté. Sa capacité à mêler humour et humanité restera un héritage précieux, témoignant d’un artiste qui a marqué son temps.

Le 17 juillet restera une date gravée dans la mémoire collective, un rappel brutal de la fragilité humaine et des mystères parfois insondables qui entourent la vie et la mort.