🤯 Émilien, le si sage Maître de Midi, cache bien son jeu ! Jean-Luc Reichmann a révélé en direct le job méconnu du champion et l’a charrié sans détour. Sa réaction timide face à l’attaque hilarante de l’animateur a fait fondre tout le monde. Vous ne devinerez jamais ce qu’il faisait avant de gagner des fortunes ! La séquence croustillante en commentaire ! 👇

Ce jeudi 28 août, un candidat prénommé Emilien a tenté sa chance dans le jeu de TF1. Ce qui a beaucoup amusé l’animateur.Le 6 juillet dernier, Emilien était éliminé des « 12 Coups de midi » après 647 participations et 2.566.931 euros de gains et cadeaux. Mais si son départ est regretté par de nombreux téléspectateurs, le jeune champion n’est jamais très loin du programme qui l’a révélé.

Emilien est en effet déjà revenu dans le jeu de TF1 à deux reprises depuis son élimination afin de se mesurer à d’autres anciens Maîtres de midi lors de primes spéciaux. Mais ce n’est pas tout puisque même quand il n’est pas là physiquement, le jeune homme est dans les pensées de l’animateur et des téléspectateurs.

En effet, ce jeudi 28 août, un candidat prénommé Emilien a fait son entrée sur le plateau. Un prénom qui n’a pas laissé indifférent Jean-Luc Reichmann. « Voici maintenant, et je vais demander le silence total (…) Oui c’est le retour : Émilien », a lancé l’animateur.

Les téléspectateurs ont alors découvert que ce n’était pas l’étudiant en histoire qui faisait son come-back mais bel et bien un nouveau candidat qui exerce la profession de chauffeur-porteur funéraire, comme l’indique Télé-Loisirs.

« On se demande ce que vous deveniez Émilien, vous êtes chauffeur funéraire. C’est normal, il a gagné 23 voitures le mec », a déclaré avec humour Jean-Luc Reichmann, en référence aux nombreux cadeaux remportés par le champion.

Quelques minutes plus tard, l’animateur a encore charrié le candidat en lui glissant : « Émilien, vous avez dû en baver les dernières années, les derniers mois »« On m’a mis un peu la pression quand même », a-t-il admis.

Notons qu’Emilien a été jusqu’en finale mais y a échoué face à Stéphane, un Bordelais coach de badminton. Ce dernier est donc devenu le nouveau Maître de midi.

Il est devenu le rendez-vous incontournable de millions de Français. Emilien, l’étudiant en Histoire de Toulouse, enchaîne les victoires avec une facilité déconcertante, alliant une mémoire prodigieuse à une humilité qui force le respect. Son visage est désormais familier, sa concentration presque palpable à travers l’écran. Mais ce que les téléspectateurs aiment par-dessus tout dans « Les 12 Coups de Midi », c’est la promesse que derrière le champion se cache un jeune homme, une histoire, des expériences. Et personne n’est meilleur que Jean-Luc Reichmann pour jouer les archéologues de l’âme humaine.

La plonge : le secret inattendu du champion

La séquence, en apparence anodine, a démarré comme des centaines d’autres. Entre deux questions, l’animateur, toujours curieux de connaître ceux qui partagent son quotidien sur le plateau, s’est intéressé au parcours de son champion avant qu’il ne devienne une figure emblématique du jeu. Loin des amphithéâtres universitaires et des livres d’histoire, Emilien a alors partagé une bribe de son passé professionnel : il a travaillé dans la restauration.

Mais pas en salle, ni en cuisine aux côtés d’un chef. Non, le futur grand Maître de Midi a connu l’envers du décor, le poste souvent le moins glamour mais pourtant essentiel de la brigade : la plonge. « J’ai fait la plonge dans un restaurant », a-t-il confié avec la simplicité qui le caractérise.

Il n’en fallait pas plus pour que l’œil de Jean-Luc Reichmann se mette à pétiller. L’animateur a immédiatement saisi la perche, voyant dans cette révélation le terreau parfait pour l’une de ses fameuses taquineries bienveillantes. Alors que le jeune homme décrivait brièvement cette expérience, l’animateur a planté son décor, imaginant le jeune étudiant, les mains dans l’eau, au milieu du bruit et de l’agitation des cuisines. C’est alors qu’il a décoché sa flèche, avec un sourire en coin : « Vous avez dû en baver ! ».

Le double sens d’une vanne parfaite

La phrase, lancée avec une fausse compassion, est un petit bijou de malice. Car l’expression « en baver » possède ce double sens délicieux qui fait tout le sel du moment. D’un côté, le sens premier, le plus courant : celui de la difficulté, de la souffrance, de l’effort pénible. Faire la plonge est un travail exigeant, et c’est assurément ce que Reichmann voulait souligner en premier lieu, reconnaissant la rudesse de la tâche.

Mais c’est le second sens, plus littéral, qui a provoqué l’hilarité générale. « Baver », c’est aussi saliver, désirer. L’image est instantanément apparue dans l’esprit de tous : le jeune Emilien, au milieu des assiettes sales, voyant passer des plats succulents et « bavant » d’envie devant une nourriture qu’il ne pouvait toucher.

La réaction d’Emilien fut à l’image du personnage : tout en retenue. Pas de grande esclaffe, mais un sourire timide, presque gêné, qui en disait long sur sa personnalité. Ce jeune homme, capable de citer des dates et des faits historiques complexes sans sourciller, redevenait soudainement un étudiant de 21 ans, amusé et légèrement embarrassé par cette incursion dans son passé. Le public, lui, a exulté, ravi de ce moment de légèreté qui venait briser la tension de la compétition.