đŸ”„đŸ’ƒ Quand Nagui dĂ©barque sur le plateau de Vendredi tout est permis avec Arthur, personne ne s’attendait Ă  ce qu’il mette littĂ©ralement le feu au dancefloor, en surprenant tout le monde par des pas endiablĂ©s, une Ă©nergie folle et une folie contagieuse qui a laissĂ© public et invitĂ©s bouche bĂ©e, cliquez pour dĂ©couvrir ce moment inoubliable !

Il est des soirĂ©es tĂ©lĂ©visĂ©es qui s’annoncent comme un simple divertissement et qui, Ă  la surprise gĂ©nĂ©rale, se transforment en vĂ©ritable Ă©vĂ©nement. C’est exactement ce qui s’est produit lors de la derniĂšre diffusion de Vendredi tout est permis, l’émission culte animĂ©e par Arthur. L’ambiance Ă©tait au rendez-vous dĂšs les premiĂšres minutes, mais personne n’avait prĂ©vu que l’invitĂ© vedette, Nagui, allait s’emparer de la scĂšne avec une telle intensitĂ© qu’il allait Ă©lectriser le plateau entier. Retour sur un moment de tĂ©lĂ©vision qui restera dans les mĂ©moires.

DĂšs le lancement, Arthur installe son rituel : faire danser les invitĂ©s pour chauffer le public et donner le ton de la soirĂ©e. Claudia Tagbo, Emmanuel Levy, Rachid Badouri, Baptiste Lecaplain, Philippe LeliĂšvre et Ariane Brodier se prĂȘtent au jeu, chacun avec son style et son humour. Mais quand vient le tour de Nagui, l’ambiance bascule. Le prĂ©sentateur de N’oubliez pas les paroles et de Tout le monde veut prendre sa place arrive en trombe, sourire aux lĂšvres, comme s’il attendait ce moment depuis toujours.

Loin de se contenter de quelques pas timides, Nagui enflamme le dancefloor. Il se lance dans une chorĂ©graphie improvisĂ©e, mĂ©lange de mouvements de hip-hop, de disco et de gestuelles totalement dĂ©jantĂ©es. Les spectateurs, d’abord surpris, Ă©clatent de rire puis se lĂšvent pour l’acclamer. Certains dĂ©crivent l’instant comme une « tornade d’énergie » qui a balayĂ© le plateau. Arthur lui-mĂȘme, pourtant habituĂ© aux excĂšs de ses invitĂ©s, reste bouche bĂ©e avant de lĂącher un Ă©clat de rire complice : « Mais qu’est-ce qu’il nous fait lĂ  ?! »

Ce qui frappe le plus, ce n’est pas seulement la technique – bien que Nagui n’ait pas dĂ©mĂ©ritĂ© – mais l’engagement total de l’animateur. À 63 ans, il prouve qu’il n’a rien perdu de son sens du show. Ses pas dĂ©sordonnĂ©s mais rythmĂ©s, son regard complice vers les camĂ©ras et son envie manifeste de s’amuser dĂ©clenchent une vague d’enthousiasme contagieuse. Claudia Tagbo se joint Ă  lui, improvisant une battle de danse hilarante. Rachid Badouri, lui, essaie de le suivre mais finit pliĂ© de rire.

TrĂšs vite, ce qui devait ĂȘtre une simple mise en jambe devient un vĂ©ritable spectacle improvisĂ©. Nagui se met Ă  imiter des chanteurs, reproduisant Ă  sa maniĂšre exagĂ©rĂ©e les gestes de Mick Jagger, Freddie Mercury ou Michael Jackson. Chaque imitation dĂ©clenche une salve d’applaudissements. Le public, ravi, filme la scĂšne avec ses tĂ©lĂ©phones, conscient d’assister Ă  un moment tĂ©lĂ©visuel rare. Sur les rĂ©seaux sociaux, les extraits circulent dĂ©jĂ  et les commentaires fusent : « Nagui roi du dancefloor », « On veut le voir dans Danse avec les stars », « Le comeback de l’annĂ©e ».

Mais derriĂšre la performance, certains y voient aussi un signe : celui d’un Nagui plus libre, moins contraint par le cadre formel des Ă©missions qu’il prĂ©sente habituellement. Sur le plateau de Vendredi tout est permis, il n’est plus l’animateur sĂ©rieux et rigoureux, mais un showman complet, capable de surprendre et de sĂ©duire par sa folie douce. « J’ai juste envie de m’amuser, comme tout le monde ici », confie-t-il, encore essoufflĂ©, aprĂšs sa prestation.

Le moment culmine lorsqu’Arthur, piquĂ© au vif par cette dĂ©monstration, dĂ©fie Nagui dans un duel de danse. Les deux amis se lancent alors dans une compĂ©tition amicale, multipliant les acrobaties improbables et les poses finales spectaculaires. L’assistance n’en peut plus de rire et d’applaudir. La camĂ©ra capte des visages rayonnants, ceux des invitĂ©s aussi bien que ceux du public. L’émission atteint son pic d’audience pile Ă  ce moment-lĂ .

Ce qui aurait pu ĂȘtre une simple sĂ©quence divertissante s’est transformĂ© en leçon de lĂącher-prise. Car au-delĂ  des pas de danse, c’est un message implicite que Nagui envoie : peu importe l’ñge, le statut ou l’image publique, l’important est de savoir s’autoriser Ă  ĂȘtre soi-mĂȘme et Ă  partager sa joie. Dans un paysage tĂ©lĂ©visuel souvent formatĂ©, cet Ă©clat de spontanĂ©itĂ© fait figure d’exception rafraĂźchissante.

La presse spĂ©cialisĂ©e n’a pas manquĂ© de saluer cette prestation. Plusieurs critiques parlent d’« un moment culte », « un tournant de l’émission » ou encore « la preuve que Nagui reste un incontournable du PAF ». Certains vont jusqu’à suggĂ©rer qu’Arthur devrait inviter Nagui plus rĂ©guliĂšrement, tant leur complicitĂ© Ă  l’écran est Ă©vidente et efficace.

Quant au principal intĂ©ressĂ©, il a rĂ©agi dĂšs le lendemain sur ses rĂ©seaux sociaux. Postant une courte vidĂ©o de son passage, il a lĂ©gendĂ© : « Quand Arthur dit danse, je danse
 mais Ă  ma maniĂšre ! Merci pour cette soirĂ©e de folie. » Les rĂ©actions des fans ont Ă©tĂ© immĂ©diates et massives, entre fous rires et remerciements pour ce « pur moment de bonheur ».

Ce soir-lĂ , Vendredi tout est permis a prouvĂ© une fois encore sa capacitĂ© Ă  surprendre et Ă  crĂ©er des instants mĂ©morables. Et Nagui, loin de son image d’animateur posĂ©, a rĂ©vĂ©lĂ© une facette inattendue, presque adolescente, qui a sĂ©duit aussi bien ses collĂšgues que les tĂ©lĂ©spectateurs. Un rappel prĂ©cieux que la tĂ©lĂ©vision, au fond, n’a de valeur que lorsqu’elle procure du plaisir et de l’émotion.

Il reste Ă  savoir si ce passage restera un coup d’éclat isolĂ© ou s’il marquera le dĂ©but d’une nouvelle Ăšre plus libre et dĂ©jantĂ©e pour Nagui. Quoi qu’il en soit, une chose est certaine : ce soir-lĂ , il n’a pas seulement dansĂ©, il a enflammĂ© le cƓur du public.