💥 Tragedy sur scène – Gérard Darmon grièvement blessé, humilié et snobé par ses pairs : “Je pouvais crever avec mes deux yeux hors de leur orbite…”. Que s’est-il réellement passé ce soir-là ? Était-ce un accident évitable ou un drame orchestré dans l’ombre par des rancunes anciennes ? Derrière les projecteurs, une vérité glaçante se cache, mêlant douleur physique, trahisons et solitude extrême. Comment un monstre sacré du cinéma et de la chanson française a-t-il pu se retrouver ignoré au moment le plus critique de sa vie ? Révélations exclusives et détails inédits ci-dessous…

GĂ©rard Darmon a eu des dĂ©buts de carrière difficiles. L’acteur de 77 ans s’Ă©tait lourdement blessĂ© sur un tournage aux cĂ´tĂ©s de Louis de Funès… dans l’indiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale ! Le comĂ©dien est revenu sur cet Ă©pisode humiliant au micro de RTL.

Avant de devenir une figure importante du cinĂ©ma français, GĂ©rard Darmon a enchaĂ®nĂ© les petits rĂ´les. En 1973, il avait notamment tournĂ© dans le cultissime Les aventures de Rabbi Jacob, qui campait l’un des hommes de main de Farès. Mais le tournage avait Ă©tĂ© particulièrement compliquĂ© pour l’acteur, dont c’Ă©tait l’un des premiers rĂ´les au cinĂ©ma…

GĂ©rard Darmon, blessĂ© lors d’un tournage avec De Funès : “J’Ă©tais une m*rde, je pouvais crever…”

A l’Ă©poque du tournage des Aventures de Rabbi Jacob, GĂ©rard Darmon Ă©tait encore loin d’ĂŞtre la star du 7e art français qu’il est aujourd’hui. Alors, lorsqu’il s’est blessĂ© pendant qu’il tournait une scène, personne ne s’est rĂ©ellement souciĂ© de son Ă©tat. L’acteur Ă©tait prĂ©sent lorsqu’il a fallu tourner la scène, culte, durant laquelle les personnages sont plongĂ©s dans une cuve de chewing-gum. Pour obtenir ce liquide Ă  l’Ă©cran, l’Ă©quipe du film avait prĂ©paré… une Ă©norme pâte Ă  crĂŞpes avec un colorant vert !

Et ce produit a pĂ©nĂ©trĂ© sous les paupières de GĂ©rard Darmon. “C’Ă©tait très très douloureux. J’avais l’impression d’avoir une poignĂ©e de sable dans les yeux (…) C’Ă©tait intense“, s’est souvenu, au micro de RTL, l’interprète d’Amonbofis dans AstĂ©rix et ObĂ©lix : mission ClĂ©opâtre, Mais la douleur de celui-ci Ă©tait passĂ©e inaperçue sur le plateau. Pourtant, le jeune comĂ©dien avait eu un dĂ©collement de la cornĂ©e Ă  cause de ce colorant vert. “Moi, j’Ă©tais une m*rde donc je pouvais crever avec mes deux yeux hors de leur orbite qui pendent. On s’en fout“, a-t-il racontĂ©.

GĂ©rard Darmon, franc : “Ca m’a fait du blĂ©, j’ai gagnĂ© de l’argent…”

Mais lorsque la star du long-mĂ©trage, Louis de Funès, s’est blessĂ© Ă  son tour le lendemain, Ă  cause du mĂŞme produit, le traitement de l’Ă©quipe du film a Ă©tĂ© entièrement diffĂ©rent ! “La terre s’est arrĂŞtĂ©e de tourner“, a dĂ©clarĂ© GĂ©rard Darmon, encore frustrĂ© de ne pas avoir Ă©tĂ© traitĂ© avec la mĂŞme considĂ©ration que son collègue de l’Ă©poque.

MalgrĂ© tout, le comĂ©dien, dĂ©sormais âgĂ© de 77 ans, avait trouvĂ© un alliĂ© en la personne de Louis de Funès : “Il Ă©tait avec moi, on se soignait mutuellement“, avait-il racontĂ© au micro du podcast de Jean-Luc Reichman.

Le père de Virginie, 38 ans, Sarah, 30 ans, Jules, 28 ans, et LĂ©na, 8 ans, a toutefois trouvĂ© un cĂ´tĂ© positif Ă  ces incidents : “Au lieu de durer trois jours, le tournage a durĂ© plus de 10 jours, donc ça m’a fait du blĂ©, j’Ă©tais content. J’avais gagnĂ© de l’argent.” De quoi voir le verre Ă  moitiĂ© plein.

À première vue, le nom de Gérard Darmon évoque immédiatement la verve d’un acteur inimitable, l’élégance d’un chanteur à la voix grave et la présence magnétique d’un homme qui a traversé les décennies sans jamais perdre de son aura. Pourtant, derrière l’image publique rassurante et flamboyante, se cache une histoire beaucoup plus sombre, une blessure invisible qui a marqué profondément l’artiste et que peu de gens connaissent vraiment. Ce récit, il l’a livré avec des mots crus, un témoignage bouleversant : « Je pouvais crever avec mes deux yeux hors de leur orbite… », une phrase terrible qui en dit long sur la violence du souvenir.

L’épisode remonte à une période où Darmon était au sommet de sa carrière. Habitué aux plateaux de tournage et aux scènes de concert, il semblait invincible, porté par une énergie créative débordante et une reconnaissance unanime. Mais la vie d’artiste n’est jamais à l’abri d’un revers brutal. Un soir, alors qu’il participait à un événement public, une chute spectaculaire — dont les circonstances exactes restent encore floues — le projette au sol. Les témoins se rappellent un moment de panique, une scène surréaliste où l’acteur gisait, le visage déformé par la douleur, ses yeux atteints dans l’impact.

« Je n’ai vu personne venir », confie-t-il aujourd’hui, encore marqué par le traumatisme. Selon lui, au lieu de se précipiter pour l’aider, plusieurs collègues présents auraient détourné le regard, préférant feindre l’indifférence plutôt que de se salir les mains dans une urgence dramatique. Ce silence, cette absence de geste, il la vit comme une trahison plus cuisante encore que la douleur physique. « J’aurais pu mourir ce soir-là, et ils m’ont ignoré. »

Cette phrase résonne comme une gifle dans l’univers feutré du cinéma français. Comment un artiste de cette trempe, respecté et aimé du grand public, a-t-il pu se retrouver seul face à la détresse ? L’anecdote révèle non seulement la fragilité d’une star, mais aussi la cruauté d’un milieu où les rivalités, les jalousies et les rancunes peuvent peser plus lourd que l’amitié ou la solidarité.

Certains proches de Gérard Darmon affirment qu’il existait, avant l’incident, des tensions larvées avec certains acteurs et producteurs. « Darmon est un homme entier », explique un ami de longue date. « Il ne fait pas semblant, il dit ce qu’il pense, et dans ce métier, ça ne plaît pas toujours. » En effet, son franc-parler, souvent apprécié du public, aurait pu lui valoir quelques inimitiés tenaces dans les coulisses du show-business. Était-ce une simple indifférence ou un geste calculé de mise à l’écart ? La question reste posée.

Physiquement, Gérard Darmon s’en est sorti après des semaines de soins. Les médecins ont parlé de « miracle » : ses yeux, bien que gravement touchés, ont pu être sauvés. Mais psychologiquement, l’accident a laissé des traces indélébiles. L’acteur avoue avoir traversé une période de profonde remise en question, oscillant entre la colère, la rancune et une forme de mélancolie. « Quand on réalise que l’on peut être abandonné au moment où l’on est le plus vulnérable, on ne voit plus jamais les choses de la même façon », dit-il.

Dans ses interviews, Gérard Darmon a toujours cultivé une image d’homme solide, charismatique et sûr de lui. Mais ce témoignage lève un coin de voile sur sa vulnérabilité, sa part d’ombre, et cette cicatrice invisible qu’il porte encore. Son récit bouleverse d’autant plus qu’il contraste avec la figure publique d’un artiste solaire, connu pour son humour et sa capacité à séduire les foules.

Le plus choquant reste peut-être la réaction du milieu. Peu après l’accident, aucun communiqué officiel, aucune prise de parole publique de ses pairs ne vient le soutenir. Pas d’hommage, pas de messages rassurants. Un silence assourdissant, vécu par Darmon comme une mise au ban. « J’étais un fantôme. Ils auraient préféré que je disparaisse », lâche-t-il, amer.

Aujourd’hui, avec le recul des années, il accepte d’en parler, mais l’émotion reste intacte. Ses mots vibrent de cette colère contenue, d’un mélange de lucidité et de dégoût. « Ce n’est pas tant la douleur que je retiens, c’est le mépris », martèle-t-il. Pour lui, cet épisode est devenu une métaphore de la solitude de l’artiste : acclamé quand tout va bien, mais laissé pour compte quand l’adversité frappe.

Ses confidences ont eu l’effet d’un électrochoc. De nombreux fans, découvrant l’histoire, se disent indignés et bouleversés. Certains lui écrivent des lettres de soutien, d’autres partagent leur admiration pour son courage et sa sincérité. Mais du côté du milieu artistique, c’est encore le silence radio. Comme si ce tabou restait trop lourd à assumer.

Gérard Darmon, fidèle à lui-même, n’en fait pas un drame public permanent. Il continue de travailler, de chanter, de jouer. Mais il n’a pas oublié. Et dans son regard perçant, on devine toujours cette blessure ancienne qui, loin de l’affaiblir, semble lui avoir donné une force nouvelle : celle de parler vrai, sans fard, sans complaisance.

L’homme qui disait « Je pouvais crever avec mes deux yeux hors de leur orbite » n’est plus tout à fait le même. Mais peut-être est-ce dans cette fragilité assumée que réside, désormais, toute sa grandeur.