💔 TRAGÉDIE ! Le monde du cinéma en deuil… Jacques Charrier, l’ex-mari de Brigitte Bardot et père de son unique fils, s’est éteint à 88 ans. Une vie marquée par un amour passionnel et destructeur avec l’icône BB, une paternité assumée seul et une fin de vie loin des projecteurs. Découvrez les secrets d’un destin hors du commun. L’article complet en commentaire ! 👇

Acteur, producteur de cinéma et peintre, Jacques Charrier est décédé à l’âge de 88 ans. Il avait été l’époux de Brigitte Bardot de 1959 à 1962 et le père de son unique enfant Nicolas-Jacques.

C’est une triste nouvelle qui frappe à nouveau l’entourage de Brigitte Bardot après la mort de son ami de toujours Christian Brincourt. Son deuxième époux, Jacques Charrier, dont elle a partagé la vie de 1959 à 1962 est mort à Saint-Briac (Ille-et-Vilaine) à l’âge de 88 ans, a appris Paris Match. Né le 6 novembre 1936 à Metz, il avait été propulsé en pleine lumière grâce à son rôle dans « Les Tricheurs » de Marcel Carné, auprès de Laurent Terzieff, Pascale Petit, Andréa Parisy, Dany Saval et un certain Jean-Paul Belmondo en 1958. Il rencontre Brigitte Bardot sur le tournage de « Babette s’en va t’en guerre » de Christian-Jaque. Brigitte Bardot et Jacques Charrier se sont rencontrés sur le tournage « Babette s’en va t’en guerre ». À peine le film en boîte, les deux gamins de 25 et 23 ans ont filé à Louveciennes, fief de la famille Bardot dans les Yvelines, pour se marier, le 18 juin 1959.

Le père de l’unique enfant de Brigitte Bardot

De cette union immortalisée par Paris Match, un enfant naîtra : Nicolas-Jacques né en 11 janvier 1960. Le couple bat hélas rapidement de l’aile et ils divorcent le 30 janvier 1963. C’est Jacques Charrier qui en aura la garde et qui l’élèvera avec sa nouvelle épouse, France Louis-Dreyfus. Il aura trois autres enfants : Marie, Sophie (de son mariage avec France Louis-Dreyfus) et Rosalie, de sa troisième union. Au cinéma, on le retrouvera devant la caméra de Claude Chabrol, Gérard Oury ou Jean-Luc Godard. Devenu producteur aux côtés de son ami Jean-Claude Brialy, il produira les films de ce dernier. Également plasticien, il exposera notamment ses peintures à l’espace Cardin à Paris.

Le rideau est tombé sur une vie romanesque, complexe et marquée par l’une des plus grandes icônes du cinéma français. Jacques Charrier, acteur, producteur, artiste et second mari de Brigitte Bardot, s’est éteint ce jeudi 4 septembre 2025, à l’âge de 88 ans. Avec sa disparition, c’est une page d’une certaine époque du cinéma et de la presse à scandale qui se tourne, celle d’un amour fulgurant, d’une gloire écrasante et de blessures jamais totalement refermées. Pour le public, il restera à jamais le jeune premier au regard ténébreux qui a épousé et donné un fils, unique, à la femme la plus désirée du monde.

La rencontre : un coup de foudre sous les projecteurs

L’histoire commence en 1959, sur le plateau de tournage de la comédie “Babette s’en va-t-en guerre”. Brigitte Bardot est au sommet de sa gloire. “Et Dieu… créa la femme” l’a propulsée au rang de mythe vivant, un sex-symbol absolu dont chaque mouvement est scruté par le monde entier. Jacques Charrier, lui, est un jeune acteur de 23 ans, beau, bien élevé, fils de colonel, promis à une brillante carrière. On le compare déjà à Gérard Philipe pour son charme romantique et son talent naissant.

La rencontre est électrique. L’alchimie à l’écran se prolonge en dehors. “Il était le nouveau Gérard Philipe, romantique, beau, bien élevé”, écrira plus tard BB dans ses mémoires. Entre deux prises, la passion dévore les deux jeunes gens. Bardot, alors en couple avec le chanteur Sacha Distel, se retrouve prise dans un tourbillon de sentiments. Leur liaison devient rapidement le secret le moins bien gardé de Paris. L’idylle est si intense, si évidente, qu’elle précipite la fin de sa relation avec Distel dans un vaudeville médiatique.

Le 18 juin 1959, quelques semaines seulement après leur rencontre, ils se disent “oui” à la mairie de Louveciennes. Le mariage est un événement planétaire. Des hordes de photographes et de journalistes prennent d’assaut la petite commune des Yvelines, transformant ce qui aurait dû être un moment intime en un cirque médiatique sans précédent. C’est le début d’une nouvelle ère pour le couple, qui devient l’incarnation de la jeunesse, de la beauté et de l’amour fou. Mais cette surmédiatisation, qui les a portés aux nues, sera aussi le poison qui détruira leur union.

La paternité et la fracture

Peu après leur mariage, Brigitte Bardot tombe enceinte. Une nouvelle qui, loin de la combler de joie, la plonge dans une profonde angoisse. L’icône de la liberté, la femme-enfant insouciante, se sent piégée par cette maternité qu’elle n’a pas désirée. “C’était un peu comme une tumeur qui s’était nourrie de moi”, confiera-t-elle avec une franchise brutale des années plus tard. La grossesse est un calvaire, vécu sous le siège permanent des paparazzis qui campent jour et nuit devant leur domicile.

Le 11 janvier 1960, Nicolas-Jacques Charrier voit le jour. La naissance est un événement national, mais pour la jeune mère, c’est un traumatisme. Elle peine à créer un lien avec ce bébé, submergée par un baby-blues qui ne dit pas son nom et la pression insoutenable de son statut. C’est Jacques Charrier qui, à l’inverse, embrasse pleinement son rôle de père. “C’est lui qui, de nous deux, avait la fibre maternelle !”, reconnaîtra Bardot. Il se dévoue corps et âme à son fils, changeant les couches, donnant les biberons, tentant de protéger ce petit être de la folie médiatique qui les entoure.

Cette divergence fondamentale face à la parentalité creuse un fossé infranchissable entre eux. Le couple, déjà fragilisé par la jalousie et les exigences de leurs carrières respectives, implose. Sur le tournage du film “La Vérité” d’Henri-Georges Clouzot, Brigitte Bardot s’éprend de son partenaire, Sami Frey. Le divorce avec Jacques Charrier est prononcé en 1962, dans la douleur et l’amertume.

Une vie après Bardot : l’ombre et la renaissance

La décision est sans appel : c’est Jacques Charrier qui obtient la garde exclusive de Nicolas. Un fait rarissime pour l’époque, qui témoigne à la fois du désarroi de Bardot et de la détermination du jeune père. Il décide alors de mettre sa carrière d’acteur entre parenthèses pour se consacrer entièrement à l’éducation de son fils, loin de l’agitation parisienne. Il veut lui offrir une enfance normale, un sanctuaire à l’abri du nom et de l’image écrasante de sa mère.

Il s’éloigne des plateaux de cinéma, ne tournant que sporadiquement. L’homme qui était destiné à devenir une des plus grandes stars de sa génération choisit l’ombre pour protéger son enfant. Cette décision courageuse lui coûtera sa carrière cinématographique mais lui vaudra le respect de ceux qui connaissaient son histoire.

Dans les années qui suivent, Jacques Charrier se réinvente. Il retourne à ses premières amours : la peinture. Il s’inscrit à l’École des Beaux-Arts et se lance dans une nouvelle carrière d’artiste-peintre, trouvant dans la création une forme d’apaisement. Il se remarie, a d’autres enfants et mène une vie discrète, presque secrète. Il ne parlera que très rarement de son histoire avec Brigitte Bardot, refusant de monnayer ses souvenirs ou de participer au cirque médiatique qu’il avait fui.

Pendant ce temps, Nicolas grandit, élevé par son père. Il ne nouera que tardivement des liens avec sa mère. Aujourd’hui, Nicolas-Jacques Charrier vit en Norvège avec sa famille, père de deux filles, Anna-Camilla et Théa-Joséphine, faisant de Brigitte Bardot une arrière-grand-mère.

Le départ de Jacques Charrier laisse un vide et ravive le souvenir d’une époque révolue. Il fut plus que “l’ex-mari de”. Il fut un acteur talentueux fauché en plein envol, un père aimant et protecteur qui a sacrifié sa gloire pour son fils, et un artiste qui a su trouver la paix loin du tumulte. Son histoire est celle d’un homme qui a connu les sommets de la célébrité et la violence de son revers, un prince charmant au destin maudit par un amour trop grand, trop exposé, trop destructeur. En s’éteignant, Jacques Charrier emporte avec lui les secrets d’une des plus fascinantes et tragiques histoires d’amour du 20ème siècle.